Ateliers pédagogiques d’exploration urbaine Les Ateliers pédagogiques s’adressent à un public jeune (de 10 à 18 ans). L’objectif est de les initier à la lecture de la cité, à travers l’acquisition d’outils de compréhension, de décryptage et de création, mais aussi par l’interaction avec l’environnement urbain et humain, et l’ouverture sur des pratiques artistiques… Les ateliers reposent sur une «méthodologie de projet» où l’enjeu porte moins sur les résultats obtenus que sur les processus qui y conduisent. Chaque projet se construit au début sur la base de propositions que nous faisons, puis progressivement à partir des idées et initiatives des jeunes. La thématique centrale des ateliers pédagogiques est le cadre de vie : architecture, urbanisme, paysage, arts, comportements… Elle se décline à travers différentes entrées: l’espace public / La vie de quartier / La ville en chantier / L’habitat / Les espaces en attente…
Collporterre | scoop.it Logotomisé Tous les jours, des centres-villes aux périphéries urbaines, depuis les moyens de transports jusqu’au net ou à la télévision, nous sommes immergés dans des messages visuels. Logos colorés, placards publicitaires, slogans politiques, branding d’entreprise ou de région clignotent, s’accumulent, se confondent. Les signes graphiques tels que « OnlyLyon », « Nike », « I Amsterdam », « Disneyland », « Accor » ou « KLM » adoptent des langages similaires. Ce monde dominateur des images des marques avait déjà été démasqué et animé avec humour par le court métrage d’animation Logorama, réalisé en 2009 par le studio français H5. Les « stars » en étaient notamment deux logos-personnages, le Bibendum de Michelin, et Ronald McDonald, la mascotte des restaurants de hamburgers… les rendant au final sympathiques. Comme ils apparaissent plats ces totems interchangeables : Ville de Paris, Ville d’Antony, Ville de Vénissieux. Face au brand territorial. Ruedi baur, le médiateur
Cinq chiffres alarmants sur la préservation des milieux naturels en France Z.A.D. Zone à défendre, Trois lettres, trois mots hissés en étendard par des militants écologistes et défenseurs de l'environnement. A Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), à Sivens (Tarn), à Roybon (Isère), des citoyens mènent un combat contre des projets contestés, qu'il s'agisse d'un aéroport, d'un barrage ou d'un Center Parcs. Ils se font les portes-paroles d'un environnement menacé. Mais ces zones défendues ardemment par les opposants à ces projets sont-elles réellement en danger ? 1 68 000 hectares de terres disparaissent chaque année Le constat. Les risques. L'extension des pôles urbains sur les terres se fait également à 90% au détriment des "bonnes terres" pour l'agriculture, signale le rapport. 2 14 % du littoral est artificiel Le constat. Les risques. Par ailleurs, la pression démographique et l’artificialisation des sols aggravent l'érosion côtière et les risques de submersion marine. 3 Toujours des constructions en zone inondable Le constat. Les risques. Le constat.
Le mille-feuille participatif « Il est temps aujourd'hui de réinterroger le concept de participation et sans doute de le dépasser », assure Philippe Audic, président du Conseil de développement de Nantes métropole. « A force de demander leur avis, les citoyens aimeraient qu'on puisse de temps en temps… en tenir compte. Dans le cas contraire ils en ressortent encore plus frustrés », estime-t-il à quelques semaines des élections municipales. La question de la participation des citoyens au processus de décision publique est posée dans la campagne municipale. De la part des candidats, cette mise au premier rang de la nécessité d'associer les citoyens à la vie publique est parfaitement louable. Mais la promesse de la participation a-t-elle été toujours tenue ? La réponse est oui si l'on considère la quantité : la multiplication des dispositifs qui permettent aujourd'hui la consultation et le débat avec les citoyens témoigne d'une avancée démocratique réelle.
Maison écocitoyenne Le design suédois, version politiques publiques Billet publié par Stéphane Vincent dans la catégorie Les 27 et 28 janvier, l’Université de Malmö et ses partenaires* organisaient deux journées de séminaires sur l’application du design aux politiques publiques. A la maoeuvre, Per-Anders Hillgren, "vieille" connaissance de l’Université de Mälmo. L’occasion pour nous de croiser la nouvelle garde formée par les jeunes designers des écoles de design scandinaves, mais aussi de prendre l’ambiance d’un secteur émergent, même au pays du design… Design in the public sector, opportunities and challenges L’idéologie managériale face à la pratique L’intervention majeure visait à repartir des pratiques de gestion des administrations, et à aider les designers à "mieux cerner l’ennemi", comme l’a indiqué son auteur. Objectifs précis et opérationnels, impact facile à mesure, recherche de rationalité et logique organisationnelle…dans la réalité les objectifs restent flous, ambiguës, et l’impact des politiques difficile à apprécier.
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