http://monumentsmorts.univ-lille3.fr/
Related: Devoir de mémoire • Histoire-GéoUne exposition virtuelle sur la Première Guerre mondiale - OCIM À l’occasion du Centenaire de la Grande Guerre, le Département des Hauts-de-Seine invite le grand public à remonter le temps et (re)découvrir ce pan de l’histoire sur le site www.14-18.albert-kahn.hauts-de-seine.fr. L’exposition virtuelle 1914-1918 : la Première Guerre mondiale dans les Archives de la Planète présente l’importante collection de photographies et de films originaux du musée départemental Albert-Kahn qui est encore en grande partie inédite (vues en couleurs, sujets cinématographiques inhabituels…). L’achèvement en 2015, de la numérisation de la totalité des images du musée relatives à la Première Guerre mondiale, a permis d’appréhender pour la première fois dans sa globalité un corpus représentant 20 % du fonds d’images des Archives de la Planète, soit 10 000 autochromes, 500 photographies en noir et blanc et 800 séquences de films, couvrant une période allant de 1914 à 1926. Renseignements Grégoire Leboucglebouc@hauts-de-seine.frwww.hauts-de-seine.fr
Conseil Général de Tarn-et-Garonne - Accueil Au début du premier conflit mondial, les belligérants pensent s'engager dans une guerre courte. Cette illusion est fondée sur l'idée que le système économique ne peut encaisser le choc d'un conflit prolongé. Dès 1915, l'économie de paix cède la place à l'économie de guerre, afin de fournir l'armement indispensable à la victoire. Elle s'organise autour d'un État dirigiste, qui s'assure la participation de l'ensemble de la population à l'effort de guerre au moyen de la propagande, à laquelle participent de nombreux artistes. L'affiche est le principal moyen utilisé.
Les monuments aux morts de la premiere guerre mondiale dans le département du Rhône, section sud-ouest Les monuments aux morts de la premiere guerre mondiale dans le département du Rhône, section sud-ouest Kim DANIERE Ancien étudiant en histoire, en poste au SGRED de l'Université Lyon 2 In Cahiers d'Histoire Rhône 89. pp. 93-102., 1997 Les monuments aux morts A l'instar de la mairie, de l'église ou de l'école, le monument aux morts est devenu, depuis 90 ans, l'un des éléments obligés du paysage urbain français. Et ce dans les grandes métropoles comme dans les plus petits villages. En effet, à quelques exceptions près, chacune des 36.400 communes de la France métropolitaine érigea son monument. Il en fut de même dans les actuels départements et territoires d'outre-mer, ainsi que, avec une moindre fréquence, dans les anciennes colonies et comptoirs français au Maghreb, en Afrique Noire, en Indochine et en Inde (Pondichéry). Sans oublier tous les monuments paroissiaux, les mémoriaux corporatistes dressés par tel groupe social ou professionnel (anciens élèves d'une école, médecins, employés d'un ministère...), ou encore les stèles, statues ou groupes érigés sur les anciens champs de bataille ou dans les casernes à la mémoire des disparus d'un régiment, d'une arme ou d'une bataille.
1914 - 1918 : quand la guerre est un jeu Une série photo exceptionnelle racontée par son auteur. Les Rencontres internationales de la photographie à Arles s’associent à la Société française de photographie (SFP, Paris) pour présenter cette « Guerre des gosses ».. Ces photographies et le commentaire sont signés Léon Gimpel, photographe normalement spécialisé dans les objets scientifiques ou l'aéronautique. Il a croisé en août 1915 dans Paris des petits soldats plein d’enthousiasme et les a mis en scène pour en faire une série d'images.
MémorialGenWeb - Accueil portail C'est une question qui revient quotidiennement, mais ou est donc passé Mémorial, comment je fais pour accéder à ceci ou cela, mais qu'est-ce qui se passe, Mémorial n'est plus en ligne ? Mémorial n'est plus en ligne ? Et bien si, le site Mémorial est toujours en ligne, il a juste changé d'adresse. Mini rappel historique Le projet Memorial-FranceGenWeb est né en mai 2000 sous l'impulsion d'Éric Blanchais et a grandi au sein de l'association FranceGenWeb jusqu'en 2015. Ben alors qu'est-ce qu'il se passe ? Les perquisitions de locaux du Parti communiste clandestin de 1941 à 1944 : un essai de géolocalisation – PAPRIK@2F Depuis avril dernier, l’instrument de recherche du fonds de la section spéciale auprès de la cour d’appel de Paris (Z/4) est disponible sur la Salle des inventaires virtuelles des Archives nationales. Nous avons fait le choix dans l’élaboration de cet instrument de recherche de retranscrire les informations présentes sur les cartons de scellés dans la mesure du possible dans leur intégralité. Des adresses des locaux et domiciles perquisitionnés ont ainsi pu être collectées. À partir de ce recensement des scellés nous vous proposons ici un travail de géolocalisation des locaux utilisés par les militants communistes perquisitionnés par les autorités françaises durant la période 1939-1944. Nous avons utilisé pour ce faire un logiciel libre et maniable permettant de retranscrire sur un fond de carte des points auxquels sont associés des cartels ou fenêtres descriptives présentant un nombre de champs défini librement
Sous les bleuets Les Allemands sont installés sur une barrière naturelle, le plateau du Chemin des Dames, au nord de la vallée de l'Aisne. On peut comparer leur situation à celle du défenseur d'une forteresse médiévale, sur sa muraille au pied de laquelle circule un fossé rempli d'eau. Cette situation explique la dureté des combats lorsque, en avril 1917, le général Nivelle lance une offensive qui devait être la dernière, qui se révéla un sévère échec. Certaines positions comme celle-ci, la Caverne du Dragon, l'isthme d'Hurtebise, Craonne et le plateau de Californie, avaient une importance considérable.