Définitions L’identité numérique, c’est à dire l’ensemble des informations associées à une personne disponibles sur Internet, est interrogée par le thème de la Journée européenne de protection des données personnelles : Safer Internet Day 9 février "Tu publies ? Réfléchis", et elle a été une des thématiques abordées lors de la rencontre annuelle fin janvier des interlocuteurs académiques Tice&Documentation.1 Faites un essai avec les moteurs de recherche des personnes 123people ou webmii, ou tout simplement avec Google en tapant votre prénom et votre nom. Vous découvrirez ce que le Web a gardé comme traces sur votre identité professionnelle ou privée, un ensemble d’informations qu’un jour vous (ou quelqu’un d’autre) avez mis en ligne en y associant votre nom. Ces informations peuvent être publiques par choix, dans ce cas rien à dire, mais est-t-on toujours conscient de la durée de vie de ces données ? Yourtango.com Le guide des bonnes manières sur Facebook. 4 min. 13. Educnet.
La dimension internationale de la cybercriminalité Les communautés internationales ont récemment pris en compte et srtout pris conscience des enjeux liés au développement des technologies numériques : - 23 Novembre 2001 : Convention du Conseil d'Europe sur la cybercriminalité - 7 Novembre 2002 : lancement du protocole additionnel de la Convention du Conseil d'Europe sur la Cybercriminalité relatif à l'incrimination d'actes de natue raciste et xénophobe commis par le biais de systèmes informatiques Les dispositions contenues dans ces deux textes sont donc inégrées dans le droit français. Il y a aussi de nombreuses directives européennes: - 8 Juin 2000: loi relative à certains aspects juridiques des services de la société de l'information, et notamment du commerce électronique, dans le marché intérieur - différents travaux accomplis au sein du G8, d'EUROPOL, ou du groupe de travail sur la criminalité liée aux technologies de l'information d'INTERPOL .
Touche pas à ma e-réputation ! Enquête. Sur Internet, le contenu circule à très grande vitesse. Le partage d'une info, d'une photo se fait en un clic. Tout se propage facilement et rien ne s'oublie, rien ne s'efface vraiment. Que faire quand son image a été touchée, ternie sur la Toile ? Comment procéder pour faire disparaître à jamais des propos diffamants, une mauvaise expérience professionnelle ou encore des photos de soirées arrosées ? Comment ne pas être victime de rumeurs ? En 2012, de nombreux individus, pour ne pas dire la plupart, ont une existence numérique et par conséquent une net-réputation à protéger, à défendre et pourquoi pas à travailler. C'est ainsi que se construit au fil du temps l'identité numérique d'un internaute suivie de près par la fameuse réputation numérique. Quand tout se passe bien, ou quand rien ne se passe, tant mieux. Construire et surveiller sa propre réputation numérique La génération Y, particulièrement active sur la Toile, est en première ligne. Nettoyer une réputation souillée
Tribunaux, cours d'appel (...) des solutions sévères mais efficaces Le cyber-espace: instrument actif qui favorise la commission de l’infraction Compte tenu de l’éventail des nouvelles technologies mises à la disposition des personnes malveillantes et qui font une large place à l’ingéniosité d’une part et de la spécificité des délits informatiques d’autre part, l’usage des N.T.I.C pour commettre des nouvelles infractions est devenu un phénomène international. Internet a fait fleurir une multitude d’infractions liées à la circulation de l’information telle que les violations du droit d’auteur , les violations de vie privée et du secret des correspondances, les délits de presse et de diffamation, etc. La pédophilie est un exemple particulièrement saisissant de criminalité ayant pris de l’ampleur grâce au cyber-espace. Les pédophiles peuvent reproduire des informations ou des photos, l’anonymat y est préservé, la distribution de documents est simple et la quantité de matériaux que l’Internet peut transporter est sans limites. Sources: Ibid et voir aussi C.
Identité numérique : de nouveaux outils à la disposition des entreprises Eric Besson vient de présenter un plan d'actions pour accélérer la diffusion des technologies de l'information dans les petites entreprises. L'ensemble des contenus pédagogiques du Passeport de l'économie numérique sera prochainement disponible sur internet. PagesJaunes Groupe et Google sont par ailleurs associés à cette initiative : avec de nouveaux services pour aider les entreprises à développer leur identité numérique. Le plan d'actions annoncé par le ministre chargé de l'Economie numérique prévoit le "renforcement du contenu pédagogique du Passeport pour l'économie numérique et sa mise à disposition à l'ensemble des entreprises sur Internet". Google et PagesJaunes groupe associés au plan d'actionsParmi les autres volets de ce plan d'actions : le lancement de l'appel à projets "Entreprise 2.0" avec un million d'euros à la clé, répartis entre 10 entreprises portant des projets de R&D innovants dans le web 2.0.
Etats-Unis : vers des peines plus sévères pour les hackers Jeudi 12 mai, l’administration Obama a annoncé que de nouveaux projets de loi seraient présentés au Congrès afin de renforcer les sanctions contre le piratage de systèmes informatiques. Conscient des coûts élevés d’un tel dispositif, la Maison Blanche déclare ne pas vouloir appliquer de règlementation stricte, obligeant les entreprises à ériger plus de barrières informatiques. Ainsi, la solution serait de mettre en place un système incitatif pour pousser les compagnies à améliorer leur sécurité informatique. « Le secteur privé a tout intérêt à garantir ses propres systèmes » déclare Gregory T. Nojeim, avocat et conseiller pour le Center for Democracy and Technology. « Un coupe –circuit » Bien que le gouvernement ne mentionne pas la mise en place d’une coupure à distance de l’accès à Internet, le département de la sécurité intérieure pourrait alors disposer de pouvoir accrus afin prendre la main sur la gestion des systèmes informatiques privés. Des peines plus lourdes
L'usurpation d'identité numérique face à la loi - Maître benjamin jacob Alors que les cas d’usurpation d’identité se sont multipliés avec le développement de la communication en ligne (on parle – peut être exagérément - de 210.000 cas par an en France), la loi d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (LOPPSI), adoptée le 14 mars 2011, crée un nouveau délit d’usurpation d’identité. En effet, le nouvel article 226-4-1 du Code pénal prévoit que : « Le fait d'usurper l'identité d'un tiers ou de faire usage d'une ou plusieurs données de toute nature permettant de l'identifier en vue, de troubler sa tranquillité ou celle d'autrui, ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende. Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu'elle est commise sur un réseau de communication au public en ligne. » Le Tribunal a ainsi consacré la notion d’identité numérique et sanctionné civilement son usurpation par l’octroi de dommages et intérêts. Cabinet PDGB
gendarmerie nationale Identités numériques, e-réputation et Ressources humaines…Les jeunes ont tout compris ! inPartager17 Il y a quelques jours j’ai été confronté à un groupe d’étudiant assez intéressant. je ne sais pas s’il s’agissait d’un cas à part ou d’une vraie tendance mais 90% de la promotion possédait un profil Facebook avec un faux nom ! L’idée de base est bien évidemment de profiter de Facebook et de son réseau sans avoir besoin de cacher certaines informations. En effet, une des grande pratiques du web est de googler ses amis, mais également collègues et futurs employés. Mais quid de la liberté d’expression ? Puisque facebook est considéré, à tord comme un réseau privé, de nombreux utilisateurs racontent leur vie mais également critiques tels ou tels individus. Et les paramètres de confidentialité ? la plupart d’entre vous vont me dire qu’ils n’ont qu’à utiliser les paramètres de confidentialité du réseau… mais tel n’est pas leur objectif. ils utilisent Facebook comme une sorte de twitter enrichi ou l’objectif est d’avoir un maximum d’amis/followers. Mais comment les retrouver ?
INTERPOL L'usurpation d'identité sur Internet bientôt pénalisée, actualité Mon petit droit m'a dit : Le Point Les faux profils pullulent sur les réseaux sociaux, à commencer par celui de Nicolas Sarkozy. Revêtir l'accoutrement numérique d'un autre est un jeu d'enfant. Il suffit en effet de connaître les identifiants de messagerie d'une personne pour envoyer des e-mails à sa place. 210.000 cas d'usurpation d'identité sont recensés chaque année en France et près d'une victime sur deux ignore la façon dont le fraudeur a obtenu ses données personnelles. Que faire face à ce petit jeu qui peut tourner au drame ? Vide législatif Pour le moment, le simple fait d'utiliser la boîte e-mail d'une personne n'est pas punissable. Dans tous les autres cas, le vol d'identité n'est sanctionné que lorsque la victime de l'usurpateur encourt une condamnation pénale. Condamnation d'un internaute ayant créé un faux profil sur Facebook La violation du droit à l'image qui peut aussi servir de fondement à une action judiciaire à la suite de la publication sur Internet de photos de la victime. Ce que prévoit la Loppsi 2
L’usurpation de l’identité virtuelle : un délit? | LES MÉDIAS SOCIAUX + New .COMs $7.49/yr plus 18 cents/yr ICANN fee. Discount based on new one-year registration prices as of 4/8/2011 with sale price reflected in your shopping cart at checkout. Discount applies to new registrations and renewals and cannot be used in conjunction with any other offer or promotion. Domains purchased through this offer will renew at regular price after the initial term has expired. 1 GoDaddy.com is rated the world's largest hostname provider according to Netcraft®.