Un scoop : des scop ! Les SCOP vous connaissez ? Leur présence reste encore marginale mais s’inscrit de plus en plus comme une alternative à une forme classique de l’entreprise. La publicité du Crédit Mutuel (qui est une coopérative) témoigne de son positionnement en faveur d’actionnaires « particuliers » Vous avez dit SCOPE ? Non SCOP (Société COopérative de Participation). C’est une société de capitaux (SA ou SARL) dont les actionnaires sont majoritairement ses salariés. Qu’est ce qu’une « société CLASSIQUE » ? Par comparaison avec une SCOP, une « société classique » est caractérisée par une séparation des objectifs, fonctions, attentes entre les actionnaires et les salariés. Ça existe encore les SCOP ? Les premières formes de sociétés coopératives sont apparues au début du XIXe siècle. Il n’y a que des « micros SCOP » ! Il est vrai que les SCOP sont généralement de petite taille. A titre d’exemples : « ACOME » : Chiffre d’affaires de 425 Millions € et plus de 1400 salariés. Une SCOP pourquoi pas ? [……..]
Portraits d'un Nouveau Monde Hongkong, la ville extrême Hongkong fut la dernière colonie de la Couronne britannique en Asie. Depuis le 1er juillet 1997, le territoire est de nouveau rattaché à la Chine. Cette autonomie reste relative car Pékin a le dernier mot sur les affaires politiques de Hongkong. Densité et verticalité de l'urbanisme Ce qui frappe tout visiteur à Hongkong, c'est d'abord la concentration de population et la verticalité de son urbanisme. Avec le développement économique de Hongkong, la main d'oeuvre chinoise venue du continent commença à peupler massivement ce territoire d'à peine 1000 km². Les zones non-constructibles représentent 80% du territoire. Une terre d'immigration Lorsque le Japon envahit la Mandchourie en 1932, des centaines de milliers de Chinois vinrent trouver refuge dans la colonie britannique de Hong-Kong. Pendant la Révolution culturelle en Chine entre 1966 et 1976, le flot de réfugiés de la Chine populaire s'accentua de nouveau. La population a donc grandi très rapidement. Crédits
SafeSync for Business Disponibilité 99,9 % de niveau de disponibilité de service, avec contrat de niveau de service et garantie de remboursement Confidentialité Centre de données géré par Trend Micro : personne n'a accès aux données sur le serveur. Surveillance 24H/24, 7J/7 Accès aux classeurs et aux serveurs par contrôle biométrique avec une surveillance permanente Chiffrement Le transfert de vos données au service SafeSync s'effectue à l'aide du même chiffrement AES de 256 bits que celui utilisé par les institutions financièresLes données sont chiffrées au moment de leur enregistrement sur les serveurs des centres de données Trend Micro à l'aide de la technologie innovante Trend Micro SecureCloud™ Administration Centralisée à Distance Vous avez la possibilité de contrôler les comptes d'utilisateurs et d'autoriser ou de refuser l'accès à vos fichiers partagés à tout moment Sécurité de Réseau et de Serveur Pare-Feu Protection de l'équipement contre les cyber-attaques avec plusieurs pare-feu Équilibreurs de Charges
La diffusion de vidéos de qualité HD par Akamai « Quand il est question de valider la localisation de l'utilisateur et les abonnements, et de diffuser des vidéos de haute qualité adaptées à TV Everywhere, Akamai fournit une gamme d'outils incroyablement performants ». Mike Folgner, PDG, SnappyTV La présence généralisée de vidéos en ligne a fait croître les attentes des consommateurs à un tel point qu'un affichage de très haute qualité est devenu la norme sur quasiment tous les supports disposant d'un accès à Internet. Et le niveau de contenus compte également... Les fournisseurs de médias font également monter la pression quant à la monétisation et la mesure de leurs contenus. Les solutions média basées sur le Cloud d'Akamai simplifient les défis posés par les vidéos en ligne de haute qualité en donnant aux entreprises médias la liberté de se concentrer sur la création de contenus exceptionnels. Cas clients
Financements et aides de l'UE Les financements de l'UE sont gérés selon des règles rigoureuses afin de garantir un strict contrôle de leur utilisation et de s'assurer qu'ils sont dépensés de façon transparente et responsable. Ce sont des activités complexes, qui englobent toute une série de programmes gérés par différents organes. Les États membres gèrent plus de 76 % du budget de l'UE, et notamment les fonds structurels, qui financent la politique régionale, les programmes sociaux et de formation, ainsi que l'agriculture (et l'aide aux agriculteurs). Les deux grands types de financement Les subventions: elles sont accordées à des projets spécifiques, généralement à la suite d'une annonce publique («appel à propositions»). Elles proviennent en partie de l'UE et en partie d'autres sources. Les contrats publics d'achat de services, de biens ou de travaux, qui permettent d'assurer le fonctionnement des institutions ou programmes de l'UE. Bénéficiaires Les petites entreprises Les ONG et les organismes de la société civile
Action de l'Union européenne – Audiovisuel et médias Télévision et services à la demande L'UE réglemente les services de radiodiffusion télévisuelle transfrontaliers depuis 1989. Depuis lors, elle a dû actualiser les règles pour tenir compte de l'offre de plus en plus vaste de services télévisés (dont la télévision à la demande) au moyen d'un large éventail d'appareils, comme les téléphones portables et les tablettes (voir la directive sur les services de médias audiovisuels). La législation de l'UE protège les enfants contre les contenus préjudiciables. En vertu de la directive, les États membres doivent coordonner leurs législations nationales, afin que: L'UE soutient les réalisateurs européens. Service audiovisuel public Les États membres de l'UE se sont engagés en faveur de l'audiovisuel public: le traité d'Amsterdam de 1999 reconnaît le rôle qu'ils jouent dans la satisfaction des besoins démocratiques, sociaux et culturels et dans la sauvegarde de la pluralité des médias face au risque de concentration du secteur. Haut de la page
Les nouveaux membres de la commission nouveaux médias (CNC) Véronique Cayla, Présidente du CNC, a nommé Gustave Kervern président de la commission d’aide aux nouveaux media, pour une durée de deux ans. Elle tient à remercier chaleureusement Alain Le Diberder pour le travail qu’il a eu à cœur d’accomplir à la tête de cette commission pendant trois ans. Véronique Cayla salue également l’engagement de l’ensemble des membres sortants qui a été fondamental dans la mise en place de cette aide créée en 2007. Ces trois années de fonctionnement ont permis d’aider environ 150 projets sur 570 dossiers déposés, pour plus de 5 M€. En 2010, l’enveloppe globale de l’aide s’élève à 2 M€. Le comité d’experts en charge d’étudier et de sélectionner les projets est composé de 11 membres, un Président et 10 personnalités, issus de secteurs différents (jeu vidéo, Internet, télévision et cinéma) qui présentent des profils et des compétences variés de façon à favoriser les passerelles entre les nouveaux médias, le cinéma et la télévision. Président : M. Experts : M. M.
Le webdoc tisse sa toile La révolution sémantique sur Internet continue : voici maintenant le webdoc. Sous ce néologisme se cache un documentaire diffusé sur la Toile et travaillé avec ses outils spécifiques : interactivité et multimédia. Une révolution journalistique, sans doute aussi, mise en lumière par la 3e édition du Festival européen des 4 écrans (lire ci-contre). "Les journalistes et les photographes de presse ont pris le numérique de plein fouet et ont été les premiers à s'emparer du Web", explique Alexandre Brachet, fondateur de l'agence Upian et pionnier en la matière. En 2005, il produit La Cité des mortes, une enquête sur la disparition de femmes à Ciudad Juarez, au Mexique. Du coup, les formes d'écriture évoluent pour coller aux comportements de ces nouveaux "lecteurs". Les chaînes de télévision et les sociétés de production traditionnelles ont pris le train en marche. Si le webdoc commence à trouver ses formes, son modèle économique est inexistant.
« Webdoc recherche financements » | Journalistiquement vôtre Alors qu’ils étaient encore méconnus voilà une dizaine d’années, les web-documentaires sont devenus un véritable phénomène sur la Toile. Consécration pour ce nouveau genre, un prix lui est dédié, celui de France 24-RFI du web-documentaire qui sera remis pour la seconde année consécutive le 12 septembre prochain, dans le cadre de Visa pour l’image. Alors qu’il n’en paraissait qu’une petite dizaine il y a encore trois ans, ces nouvelles productions ont acquis leurs lettres de noblesse avec près d’une quarantaine de web-documentaires publiés ou à venir en 2010. Pour l’internaute averti, impossible en effet de passer au travers des mailles du filet de Prison Valley, Voyage au bout du Charbon, Thanatorama, Gaza Sderot… NIRVANA HORS DE PRIX. Une nouveauté qui nécessite cependant des interfaces de plus en plus sophistiquées et une interactivité de plus en plus élaborée. Gaza Sderot et Prison Valley en quelques mots : A L’IMAGE DU DOCUMENTAIRE. La fourchette des coûts varie cependant.
France5 et CuriosphereTV expérimentent les web-documentaires Vous connaissez les documentaires à la télé, vous connaissez les livres dont vous êtes le héros, alors vous allez forcément apprécier ce web-documentaire : L’obésité est-elle une fatalité ? Selon les promoteurs (Honkytonk Films et Curiosphere.tv), ce nouveau format place l’internaute au cœur du documentaire et luis permet de choisir son parcours, de conduire ses propres interviews. Autant le dire tout de suite : c’est une véritable réussite car l’immersion est très bien restituée et le minutage est parfait pour maintenir votre attention. Dans les fait, ce web-documentaire est un mélange de séquences vidéo et d’animations Flash (avec photos en pleine largeur d’écran messages qui défilent et fond sonore). Des chiffres-clés sont affichés en sur-impression de temps en temps. Les interviews sont en fait des extraits sonores avec des sous-titres si elles sont en langues étrangères : Par contre la question qui reste en suspend est la suivante : Comment insérer dans ce tableau les annonceurs ?
Comment une entreprise devient l'affaire de toute une ville. Ceralep fabrique des isolateurs électriques en céramique utilisés par les réseaux à très haute tension. Installée dans la vallée du Rhône depuis 1921, elle exporte dans le monde entier. A Saint Vallier, dans la Drôme, tous les habitants ont un parent, un ami qui a travaillé dans cette usine qui marque l'entrée du bourg. En 2004, après sa liquidation judiciaire, une cinquantaine de salariés ont décidé de la faire redémarrer. by nperchat Oct 25