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Découverte d’une calculatrice intégrée aux plantes

Découverte d’une calculatrice intégrée aux plantes
Longtemps les plantes n’ont été appréciées que pour ce qu’elles produisaient (graines, fleurs, fruits, racines, tubercules, bois, oxygène…). Aujourd’hui, on s’intéresse de plus en plus à ce qu’elles sont, à la manière dont elles fonctionnent et réagissent à leur environnement. Effacée l’image caricaturale du sous-être vivant, passif parce que privé de la possibilité de se mouvoir, insensible parce que n’exprimant rien face aux agressions. On sait aujourd’hui que, à l’instar des animaux, les plantes sont douées de capacités sensorielles variées et qu’elles communiquent aussi entre elles, notamment dans le but de se défendre. Les plantes ressentent, les plantes s’expriment et maintenant… elles comptent ! Publiée le 25 juin dans la revue eLife, cette dernière découverte est à mettre au crédit d’une équipe du John Innes Centre, un organisme de recherche installé en Grande-Bretagne, spécialisé dans la botanique et la microbiologie. Related:  zigueVISIONS DU MONDE

Les plantes communiqueraient par des clics sonores Publiant leurs travaux dans la revue Trends in Plant Science, des chercheurs britanniques et australiens suggèrent, à partir de données expérimentales, que les plantes pourraient communiquer entre elles non seulement chimiquement, mais aussi à l’aide de cliquetis inaudibles pour l’oreille humaine. Si les scientifiques de l’Université d’Exeter avaient déjà montré, récemment, que des choux 's’avertissent' entre eux de la présence de chenilles en émettant un gaz perceptible par les plants voisins, ceux de l’Université de Bristol pensent avoir mis en évidence un autre système de communication entre les plantes. Sonore, celui-là. Utilisant de puissants amplificateurs, ils ont en effet ‘écouté’ des pousses de maïs... et entendu des cliquetis, inaudibles tels quels à l’oreille humaine, provenant de leurs racines. Émettant ensuite artificiellement un bruit continu à une fréquence similaire à ces clics, les chercheurs ont constaté que les plantes poussaient en direction de cette source sonore.

Le Musée du Bardo, haut-lieu du tourisme à Tunis Théâtre d'une attaque meurtrière et d'une prise d'otages, mercredi 18 mars, le Musée du Bardo à Tunis est l'un des principaux établissements culturels du continent africain et l'un des plus anciens et des plus importants de Tunisie. De renommée mondiale, il figure parmi les endroits les plus visités du pays. Inauguré le 7 mai 1888, au temps du protectorat français, dans un palais du Bey, le Musée du Bardo, mitoyen du Parlement, s'est longtemps appelé Musée Alaoui, avant de prendre son nom actuel après l'indépendance de la Tunisie. C'est principalement un musée archéologique, qui conserve, dans une architecture arabo-musulmane richement ornée, les produits des fouilles des sites lybico-puniques – à commencer par Carthage – et surtout romains, accumulés au temps où le pays était une province de l'Empire et où cités et villas abondaient. Commencées au XIXe siècle, ces campagnes archéologiques ont mis à jour des ensembles d'une exceptionnelle qualité. Des mosaïques remarquablement conservées

Acoustic communication in plants: do the woods really sing? Carel ten Cate + Author Affiliations Address correspondence to C. ten Cate. E-mail: c.j.ten.cate@biology.leidenuniv.nl. Received November 7, 2012. Accepted November 23, 2012. I applaud Gagliano (2012) for exploring the unchartered area of plant bioacoustics, but note that although her paper rightly calls for studies on the subject, it provides no hint of such communication yet. Can plants benefit from acoustic communication?

Les arbres sentent-ils et communiquent-ils ? Avertissement : l’article qui suit ne procède nullement d’une vision spiritualiste, idéaliste ni mystique de la nature ou de l’arbre. Il n’est nullement question d’attribuer un esprit aux arbres ou de les transformer en modes d’expression d’un quelconque "esprit supérieur"... Pas question ici d’"esprit" de l’arbre, d’"aura" de l’arbre, de volonté de l’arbre, d’âme de l’arbre, etc. Cependant, sans l’ombre d’un animisme, d’un point de vue scientifique, la question se pose : Comment les arbres sentent-ils et communiquent-ils ? Il faut connaitre le langage des VOC ! Nous sommes d’autant plus intéressés à comprendre les arbres que nous, humains, sommes aussi des arborescences qui, avant d’être capables de penser par notre liaison corps/cerveau, sommes en communication avec le monde par notre arborescence qui échange avec le monde des molécules. "Arbres" – de Jacques Prévert N’oubliez pas votre petite amie arbres de ma forêt. Comme on le dit couramment, les forêts ne parlent qu’aux poètes.

ILLUSIONS OPTIQUES …si, si, ces lignes sont bien parallèles… Elles sont droites leurs lignes? Non, non, c'est pas celle d'Herman! Ici il y a des points qui disparaissent! Coupe ou têtes? Celui-ci est traître! Regardez deux fois plutôt qu'une! La belle et la sorcière! Celui-ci est pour les pros seulement! Bon allez!

Are plants “actually doing maths”? | Oscillator Can plants do math? That is the assertion of a new paper published in the journal eLife this week titled “Arabidopsis plants perform arithmetic division to prevent starvation at night.” The plants in question aren’t spitting out numerical answers to word problems on their leaves, but doing normal plant stuff: using energy stored as starch at different rates depending on environmental conditions. It’s not that much of a leap of logic to assume that the availability of sunlight and the circadian rhythm control how photosynthetic plants behave, especially when it comes to the metabolism of starch. The authors agree that it is “conceptually unclear how such a computation might be performed,” but it is conceptually and rhetorically very interesting at least how the paper develops this extended metaphor of cellular calculations. Are plants “actually doing maths”?

Les plantes entendent-elles ? Ceux qui, comme moi, aiment Franquin, ont probablement le souvenir de cette planche savoureuse où Gaston Lagaffe, pensant que les plantes sont sensibles à la musique et désireux d’accroître le bien-être d’un pied de lierre, veut lui jouer un petit air. Mais aux premières notes affreuses émises par le tristement célèbre gaffophone, la plante tente de s’échapper par la fenêtre ouverte… Ce que dit le gag, c’est que le son de cet instrument générateur de catastrophes doit vraiment être horrible si « même un végétal » ne le supporte pas. Encore faut-il que les plantes ne soient pas sourdes comme leurs pots et qu’elles puissent percevoir les vibrations sonores. La notion de communication dans le monde végétal a longtemps été tenue pour marginale (voire inexistante) quand elle n’a pas été raillée. Dans une nouvelle étude publiée le 22 mai par PLoS ONE, une équipe italo-australienne a voulu explorer tous les modes de communication possibles entre deux plantes, le piment et le fenouil.

Proâme : le blog de l'avenir. Changement d'époque A method for automated individual, species and call type recognition in free-ranging animals Highlights Artificial neural networks and cepstral coefficients were used for vocal recognition. The algorithm can correctly classify species, call type and caller identity in monkeys. It outperforms traditional vocal recognition algorithms used in animal research. Software based on this algorithm can be a powerful tool in animal research. The ability to identify individuals reliably is often a key prerequisite for animal behaviour studies in the wild. Keywords artificial neural network; blue monkey; Cercopithecus mitis; mel frequency cepstral coefficient; voice recognition

Comment les arbres communiquent. Rien de plus agréable préparer une salade avec de jeunes feuilles d'arbres caducs : notamment les chênes et les tilleuls. Il suffit d'arracher les feuilles les plus jeunes et de les ranger dans la besace. Si vous goûter toutes les dix secondes les feuilles cueillies, vous vous rendrez compte qu'au bout de deux minutes elles deviennent de plus en plus amères jusqu'à être quasi immangeables. Que s'est-il passé ? (c) Illustration de Serge Elissalde L'arbre s'est rendu compte que l'on déchiquetait ses feuilles et à envoyé dans chacune d'elles une substance chimique amère appelée "tanin". Mais ce n'est pas tout...Faites de même avec l'arbre voisin et commencez par goûter une feuille. Que s'est-il passé (n°2) ? Les arbres non seulement se défendent mais communiquent entre eux. Compliquons la situation pour nous rapprocher de la réalité : il y a souvent du vent. Dès lors l'éthylène ne sera perçu que par les arbres en aval (par rapport au vent) de l'arbre attaqué. Partager l'article ! inShare

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