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Prisonniers de guerre français 1914-1918

Prisonniers de guerre français 1914-1918
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Sépultures de guerre Les fichiers des sépultures de guerre ont été constitués au moment de la création des nécropoles nationales à la fin de la Première Guerre mondiale. Ils comportent environ 700 000 fiches cartonnées rédigées à la main, dont la saisie informatique a débuté en 1997 et se poursuit à l'heure actuelle. Les fiches originales sont souvent incomplètement remplies et comportent des erreurs, notamment dans l'orthographe des noms et la numérotation des tombes. Compte tenu du nombre de sépultures, il est difficile de procéder à des vérifications systématiques. Office National des Anciens combattants et Victimes de GuerrePôle des Sépultures de Guerre et des Hauts Lieux de la Mémoire Nationale Cité administrative CS 71075 57036 METZ cedex 01 Tel : 03.87.34.77.57 Fax : 03.87.34.79.39 sepultures.pennhlm@orange.fr

Cercle Genealogique de Maisons-Alfort | Le lien entre les adhérents Paris au XIXe siècle en photo Quelques photographies de Paris au XIXe siècle : des travaux du baron Haussmann à la Commune et l’Exposition Universelle de 1889 qui a vu l’édification de la Tour Eiffel. Paris sous la Monarchie de Juillet La Révolution française de 1848 à Paris Paris sous la Seconde République et le Second Empire La Commune de Paris 1871 Paris sous la Troisième République Photographies de Londres au XIXe sièclePhotographies de Nantes au XIXe sièclePhotographies de la Côte d’Azur (Menton, Nice, Antibes, Cannes…) au XIXe sièclePhotographies de Lille au XIXe siècle A lire aussi :

Morts pour la France de la Première Guerre mondiale Plus de 1,3 million de militaires décédés au cours de la Grande Guerre et ayant obtenu la mention "Mort pour la France" figurent dans cette base de données. A l’occasion du 11 novembre 2014 et dans le cadre du centenaire du conflit, la direction des Patrimoines, de la Mémoire et des Archives met également à disposition les 95 000 fiches des soldats n’ayant pas obtenu la mention et composant le reste du fichier général. Ces fiches correspondent en partie à des cas non instruits pour l’obtention de la mention. Cette base a été constituée par la numérisation et l’indexation des fiches élaborées au lendemain de la Première Guerre mondiale par l’administration des anciens combattants et aujourd’hui conservées par le ministère de la Défense. La mention "Mort pour la France" est accordée, suivant certaines conditions, en vertu des articles L488 à L492bis du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la guerre.

La Grande Guerre en dessins, des artistes pendant la premiere guerre mondiale 14-18 Quand un fait divers anonyme devient l'occasion de rejoindre la Grande Histoire Les passionnés d’aujourd’hui, débutants ou chevronnés, ont à leur disposition sur Internet des collections entières de journaux locaux numérisés. La recherche plein texte est même possible : le résultat est sous nos yeux, à n’importe quelle heure du jour... ou de la nuit [1] ! La lecture assidue de ces anciens journaux régionaux permet bien des découvertes de faits divers locaux... faits divers qui souvent posent bien des questions et suscitent de passionnantes recherches. « Le Rappel » du 2 août 1903 Qui est Mademoiselle B ? Pour tenter de l’identifier, je reprends mes notes : il y a plus de 15 ans, j’avais fait des recherches dans le dossier des « écoles libres » aux archives départementales de l’Isère [2] et dans les recensements de Saint-Clair-du-Rhône ; aujourd’hui disponibles sur leur site. Peut-être s’agit-il de Victorine Ballefin qui se présente le 26 septembre 1902 en mairie de Saint-Clair pour exercer « à l’école primaire privée » ? Recensement de Saint-Clair-du-Rhône 1906

Régime de Vichy 1940-1944 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nom de régime de Vichy désigne le régime politique dirigé par le maréchal Philippe Pétain, qui assure le gouvernement de la France au cours de la Seconde Guerre mondiale, du au durant l’occupation du pays par l’Allemagne nazie[3], et dont le siège se situe à Vichy[5], situé en zone libre jusqu'en novembre 1942. Au cours de la guerre, cette collaboration prendra plusieurs formes : coopération économique, arrestations de résistants, de francs-maçons, et d'opposants politiques ainsi que de rafles de Juifs sur le territoire métropolitain. Sur le plan militaire, le régime n’est pas un allié officiel pour le Troisième Reich mais le gouvernement Laval reconnaît la Légion des volontaires français (LVF) comme une association d’utilité publique[9] et contribue aussi à l’effort de guerre allemand via la collaboration de son industrie militaire — comme défini dans les conditions d’armistice[10]. Les circonstances[modifier | modifier le code]

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