Les sites collaboratifs réclament le soutien de Bercy Ce sont des entreprises d'un nouveau genre. Des enteprises du numérique, des sites internet qui proposent des services entre particuliers : co-voiturage, location de logements ou dîner chez l'habitant, échange d'appartements, mutualisation d'achats, etc Ces entrepreneurs se sont réunis, mardi 25 juin, à Bercy pour un "BercyJam" au cours duquel ils ont pu faire part de leurs besoins et doléances à Fleur Pellerin. Des demandes multiples Création d'un statut à part entière, labellisation, fiscalité ad hoc (TVA réduite) pour les sociétés et clarification pour les utilisateurs (franchise fiscale), aide au financement par le biais de prêts participatifs et/ou incitations en direction des investisseurs : les demandes ont fusé. "Allez-y, c'est Noël", a lancé l'un des participants à ses acolytes lorsqu'il s'est agit de suggérer à l'Etat comment aider financièrement ces entreprises d'un nouveau genre. Des fablabs lancés cet automne Des avantages pour les consommateurs
Plateforme Ipamac | Un site utilisant Réseau Culture 21 Depuis 2006, les Parcs naturels du Massif central se mobilisent autour des politiques d’accueil à travers l’art et la culture, contribuant à l’objectif des six Régions du Massif central et de la Délégation interministérielle à l’Aménagement du Territoire et à l’Attractivité Régionale (DATAR) de donner un souffle de jeunesse, d’attractivité et de dynamisme au Massif central à travers des politiques d’accueil actives et innovantes. L’arrivée de nouvelles populations est un enjeu fort pour nos territoires qui connaissent un attrait certain et pour une partie d’entre eux un renouveau démographique. Elle transforme en profondeur nos différents espaces de vie et interroge nos relations sociales et culturelles : Comment créer du lien entre les habitants des territoires ruraux du Massif central aujourd’hui ? Dans le cadre de ses activités, l’association a rencontré et capitalisé un certain nombre d’expériences menées par les territoires sur le thème de l’accueil.
Imprimantes 3D : illusoire émancipation par la technologie, par Johan Söderberg Ce serait la révolution industrielle du XXIe siècle : ce qui devait auparavant être acheté en magasin pourrait désormais être fabriqué chez soi grâce à des outils comme une découpeuse laser, une imprimante 3D, une fraiseuse à commande numérique, etc. (1). Ces machines suivent toutes un même principe technologique : guider les mouvements d’un outil mécanique à l’aide d’un logiciel. Les plus célèbres d’entre elles fonctionnent comme des imprimantes, mais en trois dimensions : passage après passage, une buse se déplace sur trois axes et superpose des couches de matière (le plus souvent une résine synthétique) en suivant un modèle numérisé, jusqu’à obtention du volume désiré. Même si cette technologie suscite un foisonnement de petites entreprises créatives, son développement est essentiellement l’œuvre d’amateurs, qui se définissent comme des makers. Il suffit toutefois de se promener dans les allées de ce Salon pour constater une certaine dissonance au sein de la révolution annoncée.
Bercy ouvre une aide aux Fab Labs pour encourager le DIY Vidéo : Bercy ouvre une aide aux Fab Labs pour encourager le DIY Estimant que les Fab Labs sont au coeur d'un "changement de paradigme de notre système économique", avec une mise en valeur du partage des ressources et des savoirs, le Gouvernement a lancé mercredi un appel à projets visant à financer la création de nouveaux Fab Labs, ou l'amélioration d'ateliers existants. "Oui, nous voulons des Fab Labs partout en France", avait assuré la ministre déléguée aux PME, à l'innovation et à l'économie numérique, Fleur Pellerin, dans un tweet en fin d'année dernière. Six mois plus tard, le Gouvernement vient de lancer un appel à projets dans le cadre d'une aide au développement des ateliers de fabrication numérique, qui améliorent le concept du "Do It Yourself" (DIY) vers un "faire ensemble", avec des outils perfectionnés mis à disposition de tous dans des ateliers ouverts. "Un changement de paradigme de notre système économique"
La Maker Faire, le rendez-vous des créateurs de l'extrême | Makers | Tracks | Culture #Psychovinyle #Trackshare #Replay Fabrication numérique et économie de l'atelier - Semaphore (Texte paru dans La Planète Laboratoire N°4) La Solar FabLab House1 construite en cette année 2011 par l'Institute for Advanced Architecture of Catalonia2 en partenariat avec le Center for Bits and Atoms du Massachusetts Institute of Technology3 est sans doute la représentation la plus significative à ce jour de la jonction vertueuse de la fabrication numérique et de l'adaptabilité environnementale. Au-delà de son caractère passif et de sa gestion selon les principes intégrés du métabolisme domestique, ce qui nous intéresse ici est que cette maison est fabriquée en pièces détachées préparées sur des machines CNC (Computer Numeric Control) de grande taille ou issues du fablab (fabrication laboratory) de l'institut d'architecture, machines qui interprètent les fichiers de fabrication et les traduisent en code (code G) compréhensible par les outils mécaniques qui vont couper, fraiser, imprimer ou former les matériaux bruts en pièces à assembler. Arts & Métiers Autogouvernance 11W.
Des grainothèques : cultiver son jardin et l'esprit de partage Le dialogue est connu probablement plus que l'hymne national : - Je sais aussi, dit Candide, qu'il faut cultiver notre jardin.- Vous avez raison, dit Pangloss : car, quand l'homme fut mis dans le jardin d'Éden, il y fut mis ut operaretur eum, pour qu'il travaillât, ce qui prouve que l'homme n'est pas né pour le repos.- Travaillons sans raisonner, dit Martin ; c'est le seul moyen de rendre la vie supportable. Mais si l'on proposait dans les bibliothèques que ce soient les usagers qui "cultivent" leur jardin, en proposant des graines à disséminer ? Avec S.I.Lex Mon intérêt pour les biens communs m'a peu à peu fait découvrir la problématique des semences, dont les enjeux sont aujourd'hui considérables et rejoignent par certains côtés ceux de la Culture libre. Le sujet est donc de première importance et récemment, une initiative a attiré mon attention. La médiathèque de Lagord en Charente maritime a déjà adopté une de ces grainothèques proposées par Graines de Troc.
Les makers seront-ils les prochains maîtres du monde ? Après la Longue traîne (2006) et Free ! Entrez dans l’économie du gratuit (2009), Chris Anderson revient nous narrer les tendances du futur dans Makers, La nouvelle révolution industrielle. Si ces précédents ouvrages restaient cantonnés au domaine des écrans, celui-ci explore le vaste champ du numérique et des objets « autofabriqués ». Super geek dad Makers est un livre agaçant et passionnant. Changer le monde rien qu’avec une idée n’était pas facile. L’introduction nous plonge dans l’intimité du grand-père de l’auteur, qui bricolait des systèmes d’automatisation pour arroseurs de pelouses pavillonnaires. Chris Anderson nous raconte ses après-midis passés à bricoler avec ses enfants. La fibre entrepreneuriale le rattrape, puisque ce projet donnera naissance à sa start-up. Géographies industrielles La fabrication numérique devient ainsi l’élément clé d’une relance de l’industrie, solution au retrait des grandes usines. Les pays sérieux fabriquent des choses (6) Fables labs Notes
Liaisons Entre Action de Développement de l'Economie Rurale Cet axe fait suite à trois générations, depuis 1990, de programmes d’initiative communautaire (PIC) Leader I, Leader II et Leader + co-financés d'abord par les trois fonds structurels puis par le seul FEOGA-Orientation. La période 2007-2013 marque un tournant pour Leader puisque cette méthode est à présent intégrée à part entière dans le deuxième pilier de la Politique agricole commune (PAC) et déclinée en France à travers les six programmes de développement rural. L’autorité de gestion du programme de développement rural hexagonal (PDRH) est le Ministère de l’agriculture, de l'alimentation et de la pêche y compris pour l’axe Leader; il apporte également son appui aux autorités de gestion et accompagne la mise en œuvre de l'axe 4 dans le cas des cinq programmes régionaux. Les 7 principes qui résument l'approche Leader
Demain, des usines dans nos salons, par Sabine Blanc Se réapproprier les moyens de production : Karl Marx en rêvait, un chercheur du Massachusetts Institute of Technology (MIT) l’a fait. En 1998, le physicien américain Neil Gershenfeld met en place un cours intitulé « Comment fabriquer (à peu près) n’importe quoi », comportant des séances sur la conception de prototypes pour aider les élèves à mener à bien leurs projets d’étude. Ils disposent pour cela de toute la panoplie des moyens de fabrication numérique, et en particulier des machines-outils assistées par ordinateur : imprimante 3D — c’est-à-dire une machine numérique qui, en appliquant des couches de plastique les unes sur les autres, transforme un fichier en un objet bien réel —, découpeuse laser capable de trancher le bois ou le fer, fraiseuse numérique, etc. Les étudiants adorent, au point de revenir pendant leur temps libre traîner leurs baskets dans le laboratoire pour y concrétiser leurs envies. Créer plutôt que consommer L’imprimante qui s’imprime elle-même M.
Z - revue itinérante d'enquête et de critique sociale