Trade Routes and Cities in Europe from Rome to the Middle Ages Powered by WorldMap Trade Routes and Cities in Europe from Rome to the Middle Ages Sign in | Create Map | View Map | Help Rectify Images Use WorldMap WARP to upload and rectify scanned maps for use in WorldMap. Maps rectified using this tool can be brought into WorldMap by following the instructions under Section 4.5 in WorldMap Help. Submit a Map Service URL Submit a Map Service URL 200 km 100 mi Center for Geographic Analysis The Harvard WorldMap Project WorldMap is an open source web mapping system that is currently under construction. The first instance of WorldMap, focused on the continent of Africa, is called AfricaMap. Introduction to the WorldMap Project WorldMap solves the problem of discovering where things happen. The WorldMap project aims to accomplish these goals in stages, with public and private support.
"Ciao Italia !", 100 ans d'immigration italienne en France Skip to main content Search form 3 avril 2017 | @Frédérique Cantu "Ciao Italia !" Pays : France Tags : Immigration, Culture Du milieu du 19e siècle jusqu'au milieu du 20e siècle, près de 30 millions d'italiens ont quitté leur pays. @Frédérique Cantu - Dernière màj le 3 avril 2017 Oyonnax : la ville coupée en deux Social, France Le Making-of de l'AFP Culture, International Les trahisons politiques inspirent le théâtre Tous droits de reproduction et de diffusion réservés © 2017 ARTE G.E.I.E.ARTE G.E.I.E. 4, quai du chanoine Winterer CS 20035 F- 67080 Strasbourg Cedex Haut de page
Ciao Italia ! | Musée national de l'histoire de l'immigration Des figurinai aux mouleurs Toulouse. Petit italien marchand de statuettes et platres. Carte postale © Musée national de l'histoire et des cultures de l'immigration La notoriété des figurinai - artisans ambulants fabriquant des statuettes en plâtre appelées figurine - se propage un peu partout en Europe à partir du XVIIIe siècle. Les maçons Loaded: 0% Progress: 0% Entretien avec François Cavanna, 2008 © Atelier du Bruit "L’avenir c’est pas un problème… ils seront maçons" écrit, dans Les Ritals, François Cavanna, fils d’un maçon italien de Nogent-sur-Marne, à propos des jeunes immigrés transalpins. Les entrepreneurs : les frères Ponticelli Montage de la cheminée à la centrale électrique de Saint-Denis. À sa mort, en 2008 à 110 ans, Lazare Ponticelli entre dans l’histoire comme le "dernier des poilus". Les industriels : la société Simca Usine Simca à Nanterre. Les artisans et les commerçants Emporio Italiano, journal et librairie italienne rue du Faubourg Saint-Antoine à Paris. Les agricultureurs
Et les Gaulois sont devenus romains... | lhistoire.fr Après la conquête de la Gaule par les Romains, la situation est celle, inédite, de communautés locales diverses intégrées dans un ensemble impérial dirigé par Rome. Une réalité nouvelle, qui a amené les populations des Gaules à se tourner vers l'avenir et la construction d'identités fondées sur l'adoption progressive de la citoyenneté romaine. La Gaule, des Pyrénées au Rhin, fut conquise par César entre 57 et 51 av. Au-delà de la conquête, comment cette Gaule, morcelée en multiples peuples gaulois autonomes, est-elle devenue partie intégrante de l'empire ? La première tâche des conquérants fut de pacifier des territoires ravagés par la guerre, puis de les réorganiser. Partout où l'empire s'étendit, le pouvoir romain favorisa l'éclosion de ce cadre politique propre aux civilisations méditerranéennes, et que l'on peut définir comme une communauté organisée depuis une ville principale. En Gaule, cette entreprise fut parachevée entre 16 et 13 av. La langue, elle aussi, a évolué très vite.
Series of photographic documents of social conditions, 1905-1939 - NYPL Digital Collections Collection History Photographs by the pioneering social photographer Lewis W. Hine (1874-1940) came to the Library primarily in two ways. Romana Javitz, head of the Library's Picture Collection, began to solicit gifts and buy prints from Hine himself shortly after he exhibited his photographs of the Empire State Building in 1931. Then, in 1949, the Russell Sage Foundation transferred to the Library a series of prints it had commissioned from Hine for its library. All of these photographs were transferred in the late 1980s to the Photography Collection of the Miriam and Ira D. Background Growing up in the populist tradition of his native Wisconsin, Hine was no stranger to hard work or family tragedy. Hine was drawn to Ellis Island and the "new immigration," a contemporary term for the waves of newcomers arriving from southern and eastern Europe and elsewhere. Regrettably, the photographer's age and individualism worked against him in his later years. Related Resources Brooklyn Museum.
Drapeau des États-Unis Les italiens en France : jalons d’une migration | Musée national de l'histoire de l'immigration Déjà au Moyen-Âge, clercs, marchands, banquiers, artistes mais aussi colporteurs et paysans de ce pays qui n’est encore qu’une "expression géographique" trouvent en France une terre d’accueil. À partir de la Renaissance, certains participent au gouvernement du royaume (Catherine de Médicis, Concini, Mazarin) tandis que d’autres contribuent à son rayonnement culturel (Vinci, Goldoni, Lully), conférant aux Italiens une grande visibilité et les affublant de stéréotypes tenaces, alors que leur nombre demeure restreint. Ce n’est qu’au milieu du XIXe siècle que l’immigration devient massive et continue jusqu’aux années soixante du siècle suivant. Une nation d’émigrants Les émigrants italiens à la gare de Saint-Lazare, L'Illustration, 28 mars 1896 © Musée national de l'histoire et des cultures de l'immigration. En 1913, année culminante de la "grande émigration" d’avant la Première Guerre mondiale, ils sont 872 000 à partir. La France, terre d’accueil Visages d’Italie "Petites Italies" 1936.
Le massacre des Italiens. Aigues-Mortes, 17 août 1893 | Musée national de l'histoire de l'immigration Le 17 août 1893, dans les marais salants d’Aigues-Mortes - où la récolte du sel et les vendanges rassemblaient plusieurs milliers de travailleurs saisonniers - s’est déroulé le plus sanglant « pogrom » de l’histoire française contemporaine, faisant une centaine de victimes (morts ou blessés) parmi les ouvriers italiens. En dépit des preuves accablantes réunies contre eux, tous les assassins seront acquittés. Ce massacre et ce déni de justice vont placer la France au ban des nations européennes et à deux doigts d’une guerre avec l’Italie. Finalement, afin de préserver la paix, les deux gouvernements choisiront d’enterrer l’affaire. En mobilisant les outils forgés par la socio-histoire, en exploitant les archives du procès, conservées à Angoulême, Gérard Noiriel revient sur ce drame pour comprendre les raisons d’agir des acteurs du massacre et mettre en lumière le rôle des élites dans la construction de l’innocence nationale. Le massacre des Italiens.
Webdossier : Archéologie et histoire du Moyen Age | lhistoire.fr L’élève qui a appris l’histoire du Moyen Age dans les manuels jusqu’aux dernières années du XXe siècle – et parfois dans ceux du XXIe siècle – pourrait bien ne pas reconnaître les hommes et la société qu’on lui a patiemment décrits. Il, ou elle, a recopié une chronologie bien arrêtée : de 476 à 1492, trois temps se seraient suivis. Le haut Moyen Age, grand désordre post-chute du brillant Empire romain, ne serait là que pour accoucher du temps d’une féodalité brutale, guerrière, masculine, où les bruits d’épées résonnent dans les donjons, avant que la Grande Peste et la Guerre de Cent Ans mettent fin au beau siècle de Saint Louis, dans un bas Moyen Age déclinant, dont la Renaissance et l’humanisme ont heureusement extirpé l’Occident. Bien sûr, dès les travaux d’historiens du XXe siècle, ce miroir déformant est critiqué. Les archéologues ont davantage encore décapé les acquis. Fabien Paquet. I) Généralités : le nouveau visage de l’Occident médiéval Carte 1. Carte 2. Graphique 1.
Aigues-Mortes | Musée national de l'histoire de l'immigration "C’est à Aigues-Mortes que le 17 août 1893 a eu lieu le plus grand « pogrom » (au sens du dictionnaire : « émeute accompagnée de pillages et de meurtres, dirigée contre une communauté particulière»), de toute l’histoire contemporaine de la France. Ce jour-là, les ouvriers italiens travaillant dans les salins ont été littéralement massacrés par la population locale. Bilan : 9 morts et une cinquantaine de blessés, selon les autorités français. 9 morts, 17 disparus et une centaine de blessés selon les autorités italiennes. Cet événement a marqué le paroxysme des violences anti-italiennes perpétrées en France au cours des années 1880-1890. Il a été à la une de l’actualité pendant plusieurs semaines, non seulement en raison de la sauvagerie de ce massacre collectif, mais aussi parce que les partis et les journaux transalpins s’en sont emparés pour alimenter une violente campagne contre la France, à une époque où l’Italie était l’alliée militaire de l’Allemagne.
1893 : le massacre d'Aigues-Mortes - Presse RetroNews-BnF Le 18 août 1893, dans Le Journal, les télégrammes évoquent des "rixes sanglantes entre Français et Italiens" à Aigues-Mortes : "La rixe sanglante qui a eu lieu mardi soir, entre Français et Italiens s'est produite aux Salines de Peccais, qui occupent 800 ouvriers. Il y a eu quatre morts et plusieurs blessés. Et la dépêche de conclure laconiquement : "les morts et les blessés sont tous des Italiens." Dans son numéro du lendemain, Le Journal revient sur le contexte des troubles : "Les bagarres qui se sont produites hier et avant-hier [...] ont été causées par le refus d'embauchage de la Compagnie des Salins de Mourgues qui, lorsque les ouvriers français se sont présentés pour exécuter, comme il le font chaque année à cette époque, des travaux de lavage, a répondu qu'on ne pouvait les recevoir. À leur arrivée, les Italiens "qui, de leur côté, se considéraient comme engagés" décidèrent de s'attaquer aux ouvriers français "à coup de pierre et de pelle américaine".
Comment la Savoie et Nice sont devenues françaises | lhistoire.fr « Réjouissez-vous, serrez ces noeuds intimes,/ Toi qui descends pour nous du trône du Mont-Blanc,/ Et toi, reine toujours des Alpes maritimes,/ Qui sens battre ton coeur si près de notre flanc !/ C'est le jour où la France étend sur vous son aile,/ Un jour de saint transport, de fête solennelle/ Et d'un grand avenir l'heureux avant-coureur. » Nous sommes le 15 juin 1860 et le poète Joseph Barthélemy célèbre, dans cette ode lue au Théâtre-Français, l'annexion de la Savoie et du comté de Nice, jusque-là possessions piémontaises, à la France1. La veille, à Chambéry et à Nice, les représentants du roi de Piémont-Sardaigne Victor-Emmanuel II ont remis les deux territoires aux envoyés de l'empereur des Français Napoléon III, en application du traité conclu à Turin le 24 mars 1860 après plusieurs mois de tractations diplomatiques et de mobilisation des opinions publiques. Le débat se poursuit à l'automne 1859, alors que les diplomates négocient à Zurich la carte de la péninsule.
L'intégration des élites gauloises La conquête des Gaules par César en 51 av. J-C amène à leur provincialisation, et ainsi à leur intégration dans l’Empire, en particulier avec Auguste qui créé la Lyonnaise, l’Aquitaine et la Belgique, alors que la Transalpine est devenue la Narbonnaise. Qu’en est-il toutefois des élites gauloises ? Les notables ont-ils réussi eux aussi à s’intégrer aux élites impériales ? Quels sont leurs rapports avec Rome et l’empereur ? Les sources Evoquer les élites gallo-romaines pose un problème de sources, car elles sont peu nombreuses. L’épigraphie est une source majeure, les inscriptions étant le plus souvent faites par les élites. Quelles élites ? Nous traiterons ici des élites gallo-romaines au sens large, c’est-à-dire les notables gaulois suite à la romanisation des Gaules. Une élite gauloise « pro-romaine » ? Bien avant la Guerre des Gaules, il existe déjà une élite que l’on peut qualifier de « pro-romaine ». Toutefois, les Eduens ne sont pas les seuls à déjà être proches de Rome. En 12 av.