L'Amérique-Latine lance "la Banque du Sud" et défie le FMI (Publico) -- Daniel Fernandez L’Amérique Latine continue à renforcer son processus d’intégration régionale tout en construisant une alternative au système économique à tendance néolibérale, en vigueur dans les pays du Nord. La banque du Sud, dont le premier Conseil des Ministres a eu lieu le 12 juin dernier à Caracas, constitue la dernière étape de cette construction. Crée en 2007 à l’initiative des défunts Hugo Chavez et Nestor Kirchner, ex présidents de la République Venezuela et de la République d’Argentine, la Banque du Sud cherche à collecter 20.000 millions de dollars, bien que ses actionnaires n’aient réussi à débourser que 7.000 millions : les pays qui sont à son origine, sont pour le moment l’Equateur, Paraguay, Uruguay, Brésil, Bolivie, Argentine et le Vénézuela, c’est-à-dire, les pays intégrant le MERCOSUR plus l’Equateur. Impulser le développement Un modèle en confrontation avec le FMI Les Etats Unis en position de guetteur Un futur incertain Daniel Fernandez
Main Safe Harbor Homepage The European Commission’s Directive on Data Protection went into effect in October of 1998, and would prohibit the transfer of personal data to non-European Union countries that do not meet the European Union (EU) “adequacy” standard for privacy protection. While the United States and the EU share the goal of enhancing privacy protection for their citizens, the United States takes a different approach to privacy from that taken by the EU. In order to bridge these differences in approach and provide a streamlined means for U.S. organizations to comply with the Directive, the U.S. Department of Commerce in consultation with the European Commission developed a "Safe Harbor" framework and this website to provide the information an organization would need to evaluate – and then join – the U.S. The U.S. To get started, please use the following links: U.S. U.S.
La piste française dans « l'affaire Rosbank » 29 juillet, 2013 RIA Novosti De nouveaux détails sont survenus dans l'affaire criminelle scandaleuse de l'ex-président de Rosbank Vladimir Goloubkov, écrit le 29 juillet 2013 le quotidien Izvestia. Le Comité d'enquête russe a interrogé 10 hauts responsables de la banque, dont le Français François Bloch. Il a déclaré que Goloubkov ne pouvait prendre aucune décision sans son collègue – le vice-président de la banque Juan Carlos Albizzati, ni sans l'autorisation de la direction de la banque-mère – le Groupe Société Générale. Parmi les hauts responsables de Rosbank interrogés figurent la directrice du département des opérations créancières Elena Fateeva, la vice-présidente de la banque pour la gestion des risques Perizat Chaïkhina, le directeur du Corporate Banking Michel Macagno, le vice-président Juan Carlos Albizzati et le premier vice-président de Rosbank François Bloch. Source : RIA Novosti