Comment devenir une « entreprise libérée ? 4 case studies pour l’illustrer | «Le blog de l'entreprise collaborative On entend parler de l’entreprise libérée. Tout cela est très bien, mais concrètement, ça veut dire quoi ? Vous trouverez dans cet article 4 case studies qui vous décrivent les changements organisationnels effectués et aussi leurs conséquences positives sur la performance de l’entreprise. Je n’aurais jamais cru trouver cette précieuse source d’information sur ce site là…mais comme quoi, le bon contenu, la bonne idée ne vient pas que des experts… Je disais donc, je n’aurais jamais pensé trouvé cette précieuse sources d’informations sur ce site là, mais le mérite du contenu de ce billet revient à Marion Senand de …Cadreemploi.fr, dont j’ai mis le lien des 5 articles originaux à la fin de cet article. Pour ma part, je vous en propose une synthèse qui a le mérite de centraliser l’ensemble des informations. Pourquoi faut-il libérer l’entreprise ? Commençons par le commencement à savoir, pourquoi faudrait-il libérer l’entreprise ? En conclusion J'aime : J'aime chargement…
Lentreprise autrement Personnage détonnant et étonnant, impertinent mais surtout pertinent, Jean-François Zobrist n’a pas laissé son public indifférent. Invité par l’Ecole Centrale de Nantes (qui nous a permis de participer), l’ancien directeur de FAVI, fonderie située dans le nord de la France, s’adressait à 4 formations centraliennes. Jean-François Zobrist nous invite à réfléchir autrement. Par des détours plus ou moins éloignés dans notre histoire (références à Darwin, la Mésopotamie ou encore la 1ère guerre mondiale), l’ancien patron souligne l’importance des signaux faibles, l’un des maîtres mots de sa conférence. Ce qui est centrale dans le discours de cet ancien patron, c’est l’importance de la production. En termes d’organisation, il a tout remis en cause. A de nombreuses reprises, lors de son intervention, j’ai pu faire des parallèles avec le projet de recherche sur lequel nous travaillons avec Nicolas Arnaud et Céline Legrand.
L’entreprise libérée : salariés responsabilisés, créativité débridée… leaders retrouvés ? EUREKA. Notion née aux Etats-Unis il y a 30 ans, l’entreprise libérée renverse la gestion pyramidale des organisations. Ce modèle peut-il aller jusqu'à refonder le pacte social entre salariés et entreprise ? Selon une étude de l’institut Gallup, en 2012, seuls 9% des salariés s’estiment "engagés" dans leur entreprise, 65% travailleraient dans une relative neutralité et 26% des salariés se sentent activement désengagés. La Fondation ManpowerGroup soutient des projets dans le domaine de l'accès à l'emploi des jeunes et de l'échec scolaire, mais elle encourage également l'engagement des salariés hors de l'entreprise sur des projets à vocation sociale : "tous se réjouissent d'avoir pu s'engager dans des missions d'intérêt général dont les effets sont visibles, tous ont trouvé cela gratifiant de contribuer de manière réelle et effective. Lire aussi L'entreprise idéale ? Les fonctions de managers ne sont plus basées sur le contrôle ou l’autorité mais deviennent des fonctions supports.
L’entreprise qui croit que l’Homme est bon L’entreprise qui croit que l’Homme est bon L’expérience de la fonderie picarde FAVI est celle d’une entreprise libérée. Jean-François Zobrist, son directeur à partir de 1971 y a introduit un management à contre-courant des pratiques habituelles qui libère les énergies et a permis à ce sous-traitant de l’industrie automobile de rester localisé dans son village d’Hallencourt, de devenir leader sur son marché et d’innover pour garantir l’avenir. Le constat de base : il n’y a pas de performance sans bonheur, et il n’y a pas de bonheur sans responsabilité. Supprimer les échelons hiérarchiques. libérer les énergies, concentrer les forces sur 2 missions : la création de valeur et la génération de chiffre d’affaire. Jean-François Zobrist nous raconte ici en quelques minutes ses fondamentaux du management ou l’art de faire en sorte que les choses se fassent d’elles-mêmes. Question de confiance, c’est aussi le titre du reportage de 45′ de François Maillart, diffusé sur France 3, disponible > ici.
entreprise libérée, agile ou startup : les 7 secrets des entreprises qui surperforment Recevez un extrait de notre guide de survie aux réunions pour transformer vos réunions en moments funs et productifs ! Mais quel est le point commun entre Spotify, le service de streaming musical, FAVI, une fonderie en Picardie et Google, que l’on ne présente plus. A priori pas grand chose, et pourtant ces 3 entreprises ont au moins une chose en commun : elles surperforment dans leurs domaines d’activité. Spotify, c’est l’entreprise agile par excellence. FAVI, c’est certainement la première entreprise libérée en France. Enfin Google, c’est l’exemple même de la startup qui a réussi et domine aujourd’hui son marché. Mais ces entreprises ont plus de points communs qu’il n’y parait, regardons ça de plus près. 1. Dans ces 3 entreprises le modèle managérial est atypique. Chez Spotify, comme dans toutes les entreprises pratiquant l’agilité, on ne parle d’ailleurs pas de manager ou de chef de projet mais de servant leader. Moins de managers et plus de confiance donc. 2. 3. 4. 6. 7. Sources
Favi, l’usine qui tourne sans chefs Posée comme un ovni au milieu des champs, à Hallencourt, commune coincée entre Amiens et la baie de Somme, l’usine Favi – Fonderie et ateliers du Vimeu – tourne sans discontinuer au rythme des trois huit. Il est 13 heures pile : le moment précis où l’équipe de l’après-midi doit, comme chaque jour, prendre le relais. En fait, dans le grand hangar éclairé aux néons, tous les opérateurs sont déjà en place, installés devant leurs machines depuis cinq bonnes minutes. «Ça a commencé avec le retrait des pointeuses, explique l’un d’eux. Quand il y en avait, tout le monde faisait la queue et on commençait plus tard.» Bienvenue chez Favi, la PME qui laisse ses ouvriers se débrouiller tout seuls. “L’homme est bon.” Embauché en 1984 comme dessinateur industriel, ce fidèle poursuit l’œuvre de son prédécesseur et mentor, Jean-François Zobrist. La philosophie Favi s’applique évidemment au-delà de ces symboles. Leaders cooptés. Ces chefs-qui-n’en-sont-pas-vraiment ont-ils l’autorité suffisante ?
Le management trop souvent en mode auto-destruction Par Philippe Deloeuvre, directeur de la stratégie La plupart des outils de management et des principes d’organisation, pensés et recommandés depuis des décennies, se retournent en ce moment contre nous. Lorsque c’est le prestigieux Boston Consulting Group (BCG) -- par la voix d’Yves Morieux[1] -- qui le dit, çà mérite de tendre l’oreille. Tout le monde est d’accord, les changements qu’induit la révolution numérique, et le rythme rapide auquel ils se produisent, sont tels qu’il y a urgence à repenser les principes d’organisation qui prévalent dans nos entreprises, ont estimé les experts, qui ont planché il y a quelques jours à Paris, lors de la 8ème conférence annuelle de l’USI. Car la plupart des grandes firmes continuent de travailler globalement comme par le passé, constate Aaron Dignan, en lançant la conférence. Dignan enchaîne : aux Etats Unis, 68% des salariés des entreprises se déclarent non investis. « Personne n’a de théorie », poursuit il. Alors, où trouver l’inspiration ?