Euro 2016 : quand Nike et Adidas fuient leur « responsabilité sociale » pour payer des salaires toujours plus bas Quel est le point commun entre Cristiano Ronaldo, star du Real Madrid et de la sélection nationale portugaise qui dispute l’Euro 2016 en France, et un ouvrier d’une usine textile vietnamienne ? Une marque : Nike. Le premier bénéficie d’un contrat de sponsoring avoisinant les 25 millions d’euros annuels pour arborer chaussures et maillots estampillés du célèbre logo. Le second les confectionne pour environ 170 euros mensuels [1], un revenu très inférieur au « salaire vital » nécessaire à la satisfaction des besoins fondamentaux – logement, énergie, eau potable, alimentation, habillement, santé, éducation… – d’une famille vietnamienne. Explosion des dividendes et des dépenses marketing C’est tout le paradoxe de l’industrie des équipementiers sportifs, incarnés par ses principaux acteurs, Nike, Adidas et Puma, qui pèsent ensemble plus de 70 % du marché mondial des chaussures et de vêtements de sports. Pour les ouvriers, maintenir les salaires au plus bas « Audits » et effets d’annonce
Marketing Durable — LIMITE – agence de communication responsable De la neige, des sapins, du cliché et de l’humour, de l’émotion et du rire, voici le best-of des campagnes spécial Noël 2015 qui ont marqué LIMITri. Bonnes fêtes de fin d’année ! Lire la suite Fin de nos interviews COP21 aujourd’hui avec Yonnel Poivre-Le Lohé, consultant en communication responsable. Avec son interview et toutes celles que nous avons souhaité vous faire partager, nous espérons avoir réussi à vous faire vivre la COP21 côté com’. Qu’est ce que la com’ peut faire pour lutter contre le dérèglement climatique ? « Si la communication pouvait permettre aux gens de savoir ce qui est et ce qui n’est pas, ça serait déjà remettre les choses à leur place » Pour découvrir la réponse complète : Audio Player Lire la suite De la créativité, de l’émotion, du rire et des campagnes astucieuses pour se réchauffer dans les 5 liens de la semaine. Avant dernier rendez-vous de nos entretiens avec Laurence Veyne, directrice de la communication de Greenpeace France. Lire la suite Lire la suite
Développement Durable et Communication Images de mode et images de femmes : des représentations de la presse magazine féminine aux représentations d’un public féminin. — Étude d’un message médiatique : stéréotypage de genre et mascarade. Il s’agit pour nous aujourd’hui de proposer de nouvelles pistes de réflexions dans le champ des sciences de l’information et de la communication, nous nous devons donc de produire une problématisation à la mesure d’un projet de thèse de doctorat. Pour ce faire, nous partirons d’une représentation ayant cours dans la société contemporaine, concernant les médias. Plus précisément, nous nous attacherons à développer une analyse de la presse magazine féminine pour proposer une relecture de son dispositif à la lumière des connaissances apportées par les sciences sociales. La presse magazine féminine, catégorisée dans un genre répondant à des critères de construction autour de modalités de présentation et de thématiques dédiées à une figuration de la féminité, constitue donc ici notre terrain de recherches. ‘« La presse féminine développe progressivement un triptyque : informer, distraire, conseiller les femmes. »5 ’
Goodvertising | Éthique, publicité & créativité Sidièse Blog De l’intérêt et de la difficulté d’exploiter un tableau de bord Investir les médias sociaux est un travail de longue haleine qui vous demandera plusieurs années d’efforts avant de démontrer son plein potentiel. Contrairement aux campagnes d’acquisition de trafic via des mots-clés qui offrent un impact immédiat, une présence sur les médias sociaux est difficilement quantifiable à l’aide d’indicateurs numériques (cf. Calculer le ROI des médias sociaux est une perte de temps). Cependant, une démarche ambitieuse mobilisant plusieurs personnes en interne et de nombreux prestataires et sous-traitant doit nécessairement être surveillée, les indicateurs de performance sont là pour ça. Mais tout n’est pas si simple, car encore une fois, les KPIs traditionnels reposant sur des valeurs numériques ne traduisent pas forcément bien la valeur ajoutée d’une présence active sur les médias sociaux (cf. 3 approches différentes des social media analytics). Plusieurs solutions commencent donc à se positionner sur ce créneau :
Presse française : qui possède quoi, par Marie Beyer & Jérémie Fabre (Le Monde diplomatique, juillet 2016) Dernière mise à jour : décembre 2023 Ce graphique prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui, pour la plupart, dépendent d’intérêts industriels ou financiers, ou de l’État : publications (principalement) généralistes nationales, quotidiens et hebdomadaires régionaux, médias en ligne, audiovisuel national et quelques chaînes de télévision locales. Les titres et groupes de presse indépendants ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés. Malgré les nombreux changements intervenus depuis la dernière publication papier, le principe demeure : les entreprises de presse constituent une marchandise de luxe très prisée des grandes fortunes. Documentation et réalisation : Le Monde diplomatique et Acrimed (Jérémie Fabre, Cécile Marin, Yann Burler, avec Guillaume Barou, Boris Séméniako, Suzy Gaidoz, Vincent Caron, Marie Beyer). Des erreurs peuvent subsister.
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