L’intelligence collective : un nouveau leadership
Dans un monde incertain, changeant, global et ultra connecté, les modes de leadership traditionnels qui intronisaient un chef clairvoyant, omniscient et omnipotent, une hiérarchie affirmée et un mode d’information descendant ne sont plus vraiment réalistes ni souhaitables. Cela signifie-t-il, pour autant la fin du besoin de "leaders", d’autorité, de cadre et de leadership ? L’intelligence collective peut-elle s’autoproclamer, être autogérée et se passer de leaders ? La ligne est si facilement franchie dans les esprits et la confusion si commune entre "l’intelligence collective", la vraie, l’efficace, et un "participatif sans limites et sans cadre permettant tout et son contraire parce que nul ne devrait trancher pour ne pas risquer de remettre en question la responsabilité donnée à chacun de co-construire". Pour qu’il y ait fertilisation croisée lors du travail en commun, il faut en effet qu’il y ait, à minima : 1) un objectif affirmé et partagé ("Que cherche-t-on à atteindre ?"
Article - L'intelligence collective
Le public est un joker fiable. Pour un candidat de la série télévisée « Qui veut gagner des millions ? », c’est souvent un très bon choix d’interroger le public : il donne la bonne réponse dans 90 pour cent des cas. © Vallon Fabrice / Corbis Sygma Len Fisher est physicien à l’Université de Bristol en Angleterre. Deux réponses fausses ne font pas une réponse juste. Francis Galton, l’un des pionniers de la statistique, fut le premier à montrer que l’estimation du groupe est d’autant plus exacte que le groupe est nombreux. Un statisticien à la foire aux bestiaux L’occasion se présenta en 1906, lorsqu’il visita une foire agricole de la ville portuaire anglaise de Plymouth. Aux yeux de Galton, ce concours était un exemple de processus démocratique puisque « le participant moyen était probablement aussi apte à estimer le poids d’un bœuf que l’électeur moyen l’était pour juger des questions de politique ». Galton fut étonné de la précision de l’estimation collective. L’objectif de S.
Méthodes d’animation
Une mine de ressources en animation participative . Les incontournables pour une rencontre réussie : – avant la rencontre – pendant l’animation – après l’animation et 65 outils pour : – déclencher ou amorcer les échanges – explorer et réfléchir collectivement – faire... Des jeux pour animer un groupe . 48 fiches – jeux simples destinés à permettre l’émergence ou l’expression de la parole dans un groupe – Jeux de de déconditionnement verbaux ou corporels – Jeux de communication verbale – Jeux de communication non verbale –... 19 outils d’animation . 19 outils (28 pages – PDF) : Se Présenter Le Salut Croisé – Le Portrait Chinois – Les Présentations Croisées – Le Positionnement dans le groupe – Des Prénoms et des Lettres – Le Photolangage – Le CV Imaginaire S’exprimer Le... 12 outils low-tech . 12 outils low-tech pour animer une session en intelligence collective – Cartes d’inspiration – Gestion de parole – Supports de narration – Conversation Starters – Outils de prototypage Voir :... . . . .
revue de presse, prise de note
Design de Services, la ressource francophone et collaborative d'une discipline innovante
Le cloud computing bouscule l'informatique traditionnelle
Changement de méthode, de culture, de compétence. L'informatique "en nuage" impose aux vendeurs de logiciels de réinventer leur stratégie et leurs modèles. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Catherine Pitkowsky Evolution pour certains, révolution pour d'autres. Si la sémantique diverge, le constat est formel : le cloud computing transforme la façon de consommer l'informatique. A la base, il y a toujours - et même de plus en plus - de gros serveurs installés dans des data centers, qui vont abriter des logiciels puis stocker et diffuser des données. Mais alors que, depuis quarante ans, ces serveurs étaient sur les sites des entreprises ou chez un prestataire dans un lieu identifié, ils peuvent aujourd'hui être n'importe où dans le monde, reliés à l'utilisateur par une simple connexion Internet. Pour le client, plus besoin d'acheter du matériel ni même des logiciels, il lui suffit de louer la ressource nécessaire. De fait, le modèle commercial du cloud a de quoi inquiéter des investisseurs.
Le cloud computing expliqué aux nuls
Le phénomène du "cloud computing" prend de plus en plus d'ampleur dans les entreprises et le grand public commence à le connaître sous la forme de services de stockage à distance, ou encore de musique en streaming. Le cloud est sur toutes les lèvres. Bernard Ourghanlian est directeur technique et sécurité de Microsoft France. Comment définissez-vous le cloud computing ? Le grand public utilise depuis longtemps le cloud computing sans le savoir. Peut-on dire que le cloud computing est une révolution pour l'informatique ? C'est une révolution économique, mais pas technologique. Quel est l'intérêt du cloud computing ? Il est surtout économique. Que nous permet de faire le cloud, que l'on ne pouvait pas faire avant ? Par exemple, préserver le contexte quand on change de terminal. Où se trouvent ces ressources informatiques, qui ne sont plus en local ? Les grands acteurs du cloud sont en effet peu nombreux. L'internaute lambda ne peut pas savoir. Ce genre de services existe. Pas vraiment.
revue de presse sur le cloud computing
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