Pinterest se pique aux règles du droit d’auteur Élu meilleure startup par TechCrunch en 2011, le réseau social Pinterest a le vent en poupe aux Etats-Unis et commence à faire parler de lui en France. Déjà considéré comme « le nouveau Facebook » par certains, le site est le premier début 2012 à avoir atteint aussi rapidement une audience de 10 millions de visiteurs par mois. Ce succès fulgurant cache néanmoins une polémique grandissante à propos du respect par le site des règles du droit d’auteur, car la contrefaçon semble inscrite dans ses principes même de fonctionnement. Mais cette forme de compensation n’a pas paru suffisante à un nombre grandissant de producteurs de contenus graphiques, et notamment des photographes, qui ont considéré que Pinterest se livrait à une forme de parasitisme dommageable, et ce d’autant plus que le site a développé très tôt un modèle économique, basé sur l’affiliation de liens. Pinterest, sage comme une image ? Fair use or not ? Most people in the world are good people. L’opt-out comme solution ? J'aime :
Peer-to-peer, gravure, échanges Une étude inédite des comportements des internautes - Que Choisir en ligne L'Université Paris XI (laboratoire ADIS) et l'UFC-Que Choisir rendent publique une étude inédite qui décrit et analyse les pratiques de copiage des internautes en France à partir d'un échantillon national de 4000 personnes. Cette étude, dont il n'existe pas d'équivalent en France et en Europe, permet enfin de mieux comprendre (statistiques descriptives) et d'expliquer (tests économétriques) les usages et les comportements des internautes et par la même occasion fait tomber ou relativiser certains a priori sur les motivations des copieurs et les effets supposés « catastrophiques » de leurs pratiques sur l'économie des industries culturelles. Du point de vue du profil des copieurs, il apparaît que l'échange de copie est une pratique très répandue qui concerne pratiquement toutes les catégories sociales. Les copieurs ne peuvent pas uniquement être assimilés à des jeunes irresponsables ou à des resquilleurs. En effet, ce projet de loi, qui ne devrait pas être adopté en l'état :
Le profilage aboutit à des recoupements potentiellement dangereux L'analyse des informations engrangées par les systèmes capables de pister la navigation d'un internaute n'est pas une science exacte. D'autant plus avec les réseaux sociaux. Analyser les habitudes des visiteurs d'un site est déjà une pratique courante. Rapportée aux réseaux sociaux, cela menace l'anonymat de données récoltées. Voici la conclusion des chercheurs à l'Institut Polytechnique de Worcester, qui ont étudié le mécanisme permettant aux sites d'associer les habitudes de navigation aux personnes surveillées.
Science et curation : nouvelle pratique du Web 2.0 Internet permet de publier et d’échanger chaque jour des milliards de données, auxquelles accèdent plus de 2 milliards de personnes dans le monde. Cette masse d’information rend difficile, lorsque l’on mène une recherche, la différentiation entre le bruit de fond et les informations pertinentes et utiles. De plus, ces recherches sont chronophages et peuvent dépasser largement le temps que nous avons à y consacrer. Aujourd’hui, Google et les moteurs de recherche spécialisés comme Google Scholar reposent sur des algorithmes éprouvés. Mais ces algorithmes sont-ils suffisamment en phase avec le besoin des utilisateurs ? La curation sur le World Wide Web ©Beboy-Fotolia Web 2.0 : nouvelles pratiques, nouveaux usages Pour répondre à ce besoin, c’est naturellement que des intermédiaires humains encapacités par la vague participative du web 2.0 sont venus affiner le tri de l’information et apporter un angle d’analyse et du contexte. ©Zothen-Fotolia Pour en savoir plus :
Société: une jeunesse à l'humeur pirate Chris Anderson, rédacteur en chef de Wired, a donné une interview coup de poing au journal Spiegel. Journalisme? Média?: «Je ne pense pas que ces mots aient désormais une quelconque signification. Ce sont des barrières. Comment vous tenez-vous informé? publicité Le journaliste expert peut-il entrer dans la compétition avec les blogueurs et des journalistes amateurs? On pourrait oublier les provocations de Chris Anderson face au journaliste passablement secoué si, de fait, sa vision des pratiques culturelles n'était pas en train de devenir largement partagée par les internautes. D'un côté, les experts s'interrogent toujours sur le modèle économique du futur qui se dessine pour l'information et la culture -apparemment Chris Anderson aussi, mais en bon cyber converti il nage dans l'optimisme. Plusieurs étapes mènent à ce renversement. Le terme piratage, en outre, dans le contexte d'aujourd'hui, recèle une puissance symbolique contre l'évolution des formes de l'économie. Monique Dagnaud
RadicalBuy : le-commerce de la "Long tail" sur Facebook - Capitaine Commerce : la conception de sites de commerce électronique Les bonnes applications ecommerce de Facebook ne se sont pas bousculées au portillon Facebook, à son lancement, déchaîna les velléités créatives des marketeurs qui voyaient dans l’APPLICATION sociale 2007 la Graal du marketing Direct : vendre exactement le produit qu’il fallait exactement à l’exactement bonne personne. Mais depuis, pshiiit, plus rien ou pas grand chose. Les applications ecommerce intelligente et valable ne se sont pas bousculées au portillon et le ecommerce sembla devenir le parent pauvre des applications débiles (Hot or Not Hot, Are you Interested, Bumper Sticker, Owner et autres Send Beer), spécialitées patentées de Facebook. RadicalBuy pourrait bien mettre un terme à cette traversée du désert en proposant un concept qui, comme on dit, tient la route. Le principe en est simple : Explication sur la commission RadicalBuy vous permet de demander à vos amis (les vrais) de vendre la serpillère pour vous. Achetez mon petit ours C’est très beau sur le papier.
Le Guide de la Curation (4) - Les cas d'usage : la veille avec @jeanlucr 01net le 17/03/11 à 18h29 Jean-Luc Raymond est consultant indépendant en projets numériques citoyens, chargé de cours au CELSA, formateur et ancien journaliste en agence de presse. Avec ses 235 000 abonnées, @jeanlucr est le plus gros compte Twitter francophone, ce qui lui confère une influence indéniable. Son fil Twitter, exclusivement de nature professionnelle, égrène en permanence une veille technologique sur les réseaux sociaux et internet. Sa particularité : dénicher régulièrement des sources et des informations inédites. 01netPro. Jean-Luc Raymond. Chez les utilisateurs, ce n’est pas nouveau. Pour les journalistes de données, le besoin est évident : capitalisation d’informations, classification, redistribution. Avec la curation, on essaie de recréer un Huffington à la française, une rediffusion stratégique. Quels sont les outils que vous utilisez ? J-LR : Des outils très basiques. Des expériences avec d’autres outils ? Le mode journal est sympa, certes, mais ça s’arrête là.
RIP: A Remix Manifesto Les e-commerçants ont leur coach Smilehouse propose une solution intégrée comprenant logiciel de création, système de maintenance et réseau social. Le but : encourager les commerçants à se lancer sur le web. Pour les e-commerçants, il est désormais possible de proposer aux clients une découverte de leurs produits en trois dimensions : reproduction de boutique en 3D, essayage virtuel...
Curation: la fin du «paradigme du Powerpoint» 01net. le 04/04/12 à 07h00 Le terme de curation s'est progressivement imposé dans le paysage 2.0. Ce n'est pas un énième buzzword internet, mais bien une façon de faire du sens. Il désigne l’action de sélectionner, organiser et partager le contenu sur internet. La curation : une veille collective de l’ensemble des salariés La veille concurrentielle était historiquement une sorte de curation réservée à un groupe de personnes dédiées dont c'était le métier. Une mise en contexte des informations collectées La mise en contexte par thèmes des données collectées aide à la production de nouvelles informations grâce, notamment, à l’agrégation manuelle d’autres sources. A chaque besoin son outil Souvent, les entreprises ont le tort d’essayer de tout concentrer dans une seule boîte à outils. Antoine Perdaens Antoine Perdaens est PDG et cofondateur de Knowledge Plaza, une solution de Social Knowledge Management s'appuyant sur la dynamique des réseaux sociaux d'entreprise.
The secrets of aXXo, BitTorrent's top movie pirate. - By Josh Levin BitTorrent is TiVo for the tech-savvy and the ethically flexible—a way to watch what you want when you want it without having to pay for it. Instead of flipping through the channels or putting on a DVD, you can head for the Web to grab pirated digital copies of whatever movies and television shows you want. As you might expect, downloaders gravitate to popcorn flicks and nerd-friendly TV fare—among the top search phrases on one BitTorrent search engine are Quantum of Solace, Max Payne, Saw V, Heroes, Prison Break, and Fringe. No matter what metric you choose, aXXo is BitTorrent's biggest name. BitTorrent, as Paul Boutin explained in a 2004 Slate piece, is the smartest file-sharing mechanism yet conceived by man. While simple peer-to-peer programs like Napster enabled music piracy to take off in the bandwidth-challenged 1990s and early 2000s, it was BitTorrent's rise five or so years later that allowed Web-based movie piracy to become widespread.
Plus d'un tiers des français consultent des réseaux sociaux - Actualité sur Journal du Net E-business Les réseaux sociaux font partie des sites collaboratifs les plus consultés en France. Mais tous ne disposent pas de la même notoriété ni du même réservoir de membres. Les sites collaboratifs au sens général du terme occupent aujourd'hui une place de choix dans l'actualité de l'Internet en France comme à l'international. Mais quels usages en ont vraiment les internautes ? Tous ces sites peuvent-ils se faire une place pertinente sur la Toile ? Premier constat : les sites collaboratifs rencontrent effectivement un véritable succès auprès des internautes français. 60 % d'entre eux déclarent consulter ce type de site. Mais là encore, il existe d'importantes différences entre réseaux sociaux. Mais une fois de plus, il existe une grosse différence entre connaître le nom d'un réseau social, en être membre et être un membre actif, c'est-à-dire un membre qui s'est effectivement connecté récemment.