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6 – Livre blanc sur la data visualisation, le retour de 30 entreprises

6 – Livre blanc sur la data visualisation, le retour de 30 entreprises
01net le 28/06/13 à 11h50 Si Napoléon est connu pour ses conquêtes et son rôle d’empereur, il l’est beaucoup moins en tant que précurseur involontaire de ce qui est devenu une mode dans le secteur IT, la « data visualisation ». Charles Joseph Minard, ingénieur civil français, a retracé en 1969 les pertes humaines de la Grande Armée lors de la campagne de Russie. En représentant par un graphique une grande quantité de données (les quelque 600 000 grognards), le trajet effectué et une courbe présentant la variation de température dans le temps, il a fait ce que l’on appelle de la « data visualisation ». SAS définit ce phénomène comme « l’exploration visuelle et interactive et la représentation graphique des données, quelles qu’en soient la volumétrie (du small data au big data), la nature ou la provenance. L'évolution de la Grande Armée lors de la campagne de Russie, par Charles Joseph Minard. Pourquoi faire de la data visualisation ? © impactvisuel.net Related:  dataviz

5 – Rendre visuelles des données brutes La data-v isualisation c’est LA nouvelle tendance de création de contenu. Un mot anglais (une fois de plus) pour décrire une nouvelle forme de traitement de l’information. Sur le site de France Inter, Julien Baldacchino présente le concept comme « l’art d’exposer, de façon graphique, des données brutes ». - Rendre les données, parfois complexes, plus digestes pour le lecteur, accessibles à tous pour créer un lien avec le lecteur - Rendre esthétiques, attractives les données pour obtenir la confiance du lecteur Autrement dit, la data-visualisation c’est créer de l’information esthétique. Car en 2013, tout site producteur de contenu a bien compris que le visuel est devenu un élément déterminant dans la mise en scène de l’information. Packaging de brique de lait réalisé par Audrée Lapierre. Nous sommes tous devenus accros aux chiffres, aux sondages, aux pourcentages,… Les internautes veulent pouvoir s’y retrouver facilement, comprendre à la première lecture, ne pas perdre de temps.

Le Tour de France - 100 ans de Tour La Business Intelligence au service des PME Les solutions de Business Intelligence ("BI") facilitent la prise de décision au quotidien dans une entreprise, sur base d'une analyse des dernières données disponibles. L'AWT et la Fédération du Label Cassis font le point sur ces outils, maintenant accessibles aux PME La Business Intelligence Avant de prendre des décisions, le patron cherche à disposer de données fiables sur la situation de son entreprise, en interne, et par rapport à son environnement économique. Avant la "BI", le système D ... les feuilles de calcul Dans beaucoup de PME, ces données sont reprises sur des feuilles de calcul (comme Excel). Le système a le mérite d'être assez simple à mettre en place, en s'appuyant sur les outils bureautiques du bord, mais souffre de plusieurs problèmes: généralement, ce système est employé sans aucune méthodologie de travail, sans organisation bien établie entre utilisateurs alors qu'un minimum d'articulation structurée est nécessaire entre eux. Pourquoi la Business intelligence? Cassis.

Les meilleures data visualisations de 2015 Comme chaque année, le site Information Is Beautiful a décerné ses prix aux meilleures réalisations de data visualisation à travers le monde. Le jury de l'édition 2015 a attribué la médaille d'or à une représentation des maladies infectieuses aux Etats-Unis sur une période de 80 ans. La médaille d'argent récompense une réalisation très réussie des langues parlées dans le monde qui fait apparaître une sur-représentation de la langue chinoise (et de ses dérivés). La médaille de bronze couronne une image des alliances politiques au sein de la Chambre des Représentants aux Etats-Unis. Information Is Beautiful a également attribué une série de prix dans les domaines du journalisme de données, de l'infographie, et des cartes interactives.

[DataViz] Google Play Music Timeline, c'est joli, mais ça sert à quoi ? La visualisation de données, c’est beau (souvent), utile (parfois), mais surtout, surtout, ça fait du partage sur les réseaux sociaux, du “like”, du chiffre d’affaire potentiel… et ça, Google l’a très bien compris. Lancée il y a quelques jours, sa “Music Timeline” est un produit très réussi, mais dont les mésinterprétations sont déjà nombreuses. Immédiatement classée dans ma liste des visualisations à analyser, voilà qu’Espace 2, la principale radio culturelle et musicale suisse romande m’interpelle sur le sujet. J’en profite donc pour assortir cette chronique audio (ci-contre à droite) de quelques rapides éléments de commentaire. Une visualisation réussie… Ce travail est un exemple remarquable d’utilisation de la librairie D3, une timeline interactive qui donne une vision globale de la musique de ces soixante dernières années telle qu’elle est consommée par les utilisateurs du service musical de Google. …qui souffre de sa superficialité Google Music Timeline

Le Big Data dépayse l'industrie du voyage Principal fournisseur de solutions informatiques à destination de l’industrie mondiale du tourisme et du voyage, Amadeus se doit de détecter les tendances fortes des technologies en perpétuel mouvement. Un rôle dévolu à Hervé Couturier, responsable Recherche et Développement chez Amadeus IT Group, qui nous donne son avis sur Big Data. Silicon.fr - Pourquoi Amadeus étudie-t-elle Big Data ? Quel intérêt pour le secteur du voyage ? Hervé Couturier – Le Big Data est l’une des quatre grandes tendances aux côtés du Cloud, de la mobilité et des réseaux sociaux. Hervé Couturier, responsable R&D chez Amadeus IT Group. L’étude montre que notre industrie se trouve face à un tournant majeur : le monde du transport utilise surtout des données très structurées. Peut-on déjà constater des évolutions ? Certains sites Web utilisent déjà des angles différents. Comment interviennent les technologies Big Data ? Levier de ces nouvelles possibilités, les technologies Big Data sont très accessibles. Voir aussi

La dataviz facile : 5 manières d’aborder la datavisualisation - C-Radar De façon ludique et pratique, C-Radar a sélectionné 5 manières d’aborder la datavisualisation : avec un outil puissant et pratique, Datawrapper, une bibliothèque outillée, C-Radar, une personnalité, Karen Bastien, un blog de veille, “The Datavisualisation Catalogue” et enfin un très bon cours d’histoire réalisé par Gaëtan Gaborit. 1. Un outil indispensable et grand public de dataviz : Datawrapper Son utilisation : parfaitement simple d’utilisation, rapide et sobre, régulièrement utilisé sur le site du Monde.fr par exemple, Datawrapper est l’un des meilleurs outils en ligne pour la plupart des visualisations courantes. Avec un large choix de visualisations, la méthode d’utilisation est découpée en étapes simples qui vous permettent de paramétrer facilement les données que vous voulez mettre en valeur. Exemple de datavisualisation réalisée avec Datawrapper En chiffres : 2. En chiffres : 3. Karen Bastien, de l’agence Wedodata 4. Son utilisation : pour vous aider à afficher vos données. 5.

CRM / Big Data & vision 360° des clients D’une façon générale, l’enjeu d’une approche CRM est de construire des relations qui permettent d’augmenter la valeur de la base clients, qui elle-même conditionne très largement la valeur de l’entreprise. Tout le monde affirme que la relation client est d’une importance vitale, et presque toutes les entreprises sont prêtes à toujours investir plus. Mais investir toujours plus est-ce la solution ? Ne faut-il pas prendre en considération que certains clients sont beaucoup plus importants que d’autres et se focaliser plus, voire exclusivement, sur eux ? Par exemple, le top 5% des clients les plus importants de la société LEGO aux Etats-Unis représente 50% des ventes de la société, les 95% restant réalisant les autres 50%. Une autre grande partie des déceptions et des échecs dans la mise en œuvre d’approches CRM, vient de la trop grande place accordée à l’aspect technologique.

Datajournalisme et presse locale : 7 exemples made in USA Dernier volet de cette petite série sur le datajournalisme et la presse locale que j’ai trouvé passionnante à écrire. Si vous aviez raté les épisodes précédents, ça se passe par ici : Episode 1 : Datajournalisme : 7 idées de projets pour la presse locale Episode 2 : Datajournalisme et PQR (formation au Courrier Picard) Pour un rédacteur en chef qui aurait envie d’expérimenter le datajournalisme – même de manière modeste - au sein de sa rédaction, il est difficile pour lui de se référer à quelque chose d’existant dans le paysage médiatique hexagonal. D’où l’idée de ce post de blog… Pourquoi ne pas aller voir ce qui se fait ailleurs ? J’ai donc choisi de faire un petit zoom sur les « projets data » (comme on dit) de 7 médias locaux américains, dont le tirage est assez comparable à nos médias de PQR à nous : Chicago Tribune, Seattle Times, Los Angeles Times, Milwaukee Journal Sentinel, MinnPost, Texas Tribune et California Watch. Bref, sur ce, voici ma petite revue de liens. LE +. LE +.

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