Apocalypse - Staline Officier de cavalerie et spécialiste des blindés, Georgui Joukov retient l’attention de Staline en août 1939, lorsqu’il écrase la 6e armée japonaise à Khalkin-Gol, en Mongolie extérieure. Chargé de la réorganisation de l’armée soviétique après la guerre contre la Finlande au début de 1940, le général Joukov est ensuite nommé chef d’état-major en janvier 1941, mais limogé en juillet pour avoir préconisé l’évacuation des défenseurs de Kiev menacés d’encerclement par la Wehrmacht. Envoyé à Leningrad, il fortifie la ville et bloque l’avance allemande. Affecté à la défense de Moscou en octobre 1941, il enraye l’offensive de l’ennemi en décembre et le repousse à 150 km de la capitale. Nommé commandant en chef adjoint en 1942, Joukov organise la défense de Stalingrad, puis le double encerclement de la 6e armée allemande, qui doit capituler à la fin de janvier 1943.
Bibliothèque numérique patrimoniale des ponts et chaussées | La construction du métropolitain, l'œuvre de Bienvenüe, ingénieur des Ponts La collecte et la conservation de photographies à l’École nationale des ponts et chaussées commencent en 1859 en même temps que les premières conférences. Cette collection s’enrichit de dons émanant d’ingénieurs des ponts en poste en France ou à l’étranger et de commandes faites par le ministère des Travaux publics auprès de grands photographes tel que Édouard Baldus, qui illustre les principaux ouvrages d’art visibles le long de la ligne PLM (Paris, Lyon, Méditerranée). Elle est complétée par la production des élèves-ingénieurs et quelques commandes marginales. L’École conserve aujourd’hui plus de 7 000 photographies dont l’intérêt patrimonial repose tant sur la qualité des œuvres qui la composent que sur la diversité de ses thématiques. Pour l'heure, cette exposition virtuelle tente de retracer l'histoire d'un chantier spéctaculaire tant sur le plan technique que urbanistique, celui de la construction du métropolitain de Paris. Débuter l'exposition
Bienvenue sur Roger-Viollet Qui? Lenine (gauche) et Staline (droite), deux chefs de d... Qui? Lenine (gauche) et Staline (droite), deux chefs de deux conceptions différentes pour l'URSS. Quoi? Création de l'URSS (Union des Républiques sociales soviétiques), une fédération regroupent la Russie, l'Ukraine, la Biélorussie et la Transcaucasie. Ou? En Russie, Ukraine, Biélorussie et Transcaucasie. Quand? Depuis quand? Comment? Contexte historique.Le mécontentement de la population accroît due a la première guerre mondiale et l'État perd progressivement son autorité sur le pays et l'armée se décompose. Pourquoi Staline prend-t-il le pouvoir au lieu de Lénine en 1924? Pourquoi?
Diploweb.com, revue geopolitique, articles, cartes, relations internationales Mondes tsiganes Une photographie qui saisit les traces des statuts sociaux Deux hommes se tiennent face au photographe. Tous deux sont munis d’une canne, surmontée d’un pommeau d’argent et portent de gros boutons brillants sur le flanc de leur veste. La légende indique la date de 1886 et décrit ces personnages comme des Bohémiens à Temesvár (Timișoara), en Roumanie. Carte postale de montreurs d’ours, dits aussi Ursari. « Le Havre. La photographie saisit alors les traces d’une existence sociale et les marques d’un ancrage multiforme. Carte postale de Romanichels refoulés ou expulsés à la frontière « A cheval sur la frontière », vers 1900 – 1914 © Collection particulière Pour des raisons qui tiennent à la construction politique d’une catégorie tsigane à la fin du XIXe siècle, cette iconographie se trouve fractionnée en morceaux et des pans entiers d’images disparaissent au profit des visions stéréotypées, recherchées pour illustrer le “ fléau tsigane” proclamé.
Les voix du goulag De 1939 à 1950, un million d’Européens sont déplacés de force dans les camps de travail soviétiques ou relégués dans des villages isolés de Sibérie ou d’Asie centrale. Les Archives sonores du goulag donnent la parole aux derniers témoins. Une série documentaire, réalisée à partir de ces archives avec la collaboration du Cercec (CNRS/EHESS), démarre ce week-end sur RFI et France Culture. (La première version de cet article a été publiée dans CNRS Le journal, n° 255, avril 2011.) Certains ont déjà témoigné auprès de leurs compatriotes. D’autres n’en ont jamais parlé. « Avant et après la Seconde Guerre mondiale, près d’un million d’Européens ont été déportés, raconte Alain Blum, l’un des trois fondateurs du projet. Les technologies numériques nous permettent de reconstituer une histoire collective à partir des témoignages individuels. Brigade de travail en Sibérie. Dans les camps du goulag et les villages perdus dans la taïga, la vie s’organise tant bien que mal.
Le bagne de Guyane