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Économie circulaire

Économie circulaire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie circulaire est une expression générique désignant un concept économique qui s'inscrit dans le cadre du développement durable et s'inspirant notamment des notions d'économie verte, d’économie de l'usage ou de l'économie de la fonctionnalité, de l'économie de la performance et de l'écologie industrielle (laquelle veut que le déchet d'une industrie soit recyclé en matière première d'une autre industrie ou de la même). Son objectif est de produire des biens et services tout en limitant fortement la consommation et le gaspillage des matières premières, et des sources d'énergies non renouvelables ; Histoire[modifier | modifier le code] Elle s'inspire notamment de Michael Braungart et de William McDonough ou plus exactement de leur formulation de la théorie du Du berceau au berceau (formalisée en 2002). Éléments de définition et d'enjeux[modifier | modifier le code] En France[modifier | modifier le code] Outils[modifier | modifier le code]

Sacred Economics - Charles Eisenstein Le but de ce livre est de faire en sorte que l’argent et l’économie soient aussi sacrés que tout le reste de l’univers. Actuellement nous associons l’argent à ce qui est profane et avec juste titre. S’il y a quoi que ce soit dans ce bas monde qui est sacré, ce n’est certes pas l’argent. Depuis que Jésus a chassé les marchants du temple, nous associons l’argent à quelque chose d’impure. Mais en même temps personne ne peux nier que l’argent a aussi une mystérieuse qualité magique. Évidemment, si l’on veut faire de l’argent quelque chose de sacré, rien de moins qu’une révolution sous forme d’une vente en gros de ce qu’est l’argent ne peux suffire; Une transformation de sa nature essentielle. Il ne s’agit pas de simplement modifier notre attitude vis à vis l’argent tel que le prétendent certains pseudos gourous. Une transformation du profane vers le sacré de l’argent; quelque chose d’aussi encré dans notre identité et central au fonctionnement du monde aurait tout un effet profond.

Entrepreneuriat social Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Selon Amandine Barthélémy et Romain Slitine[1], cette forme d'entrepreneuriat, au service de l'intérêt général, recouvre l’ensemble des initiatives économiques dont la finalité principale est sociale ou environnementale et qui réinvestissent la majorité de leurs bénéfices au profit de cette mission. L'entrepreneuriat social est apparu au cours des années 1990 en Europe et aux États-Unis avec des approches différenciées. En France, les entrepreneurs sociaux sont fédérés au sein du Mouvement des entrepreneurs sociaux (MOUVES). En France, le concept d'entrepreneuriat social permet d'appréhender le secteur de l'économie sociale et solidaire en insistant sur le rôle des entrepreneurs. Différentes approches pour définir l'Entrepreneuriat Social[modifier | modifier le code] L'entrepreneuriat social est un domaine aux définitions multiples qui ne fait pas encore l'unanimité. Approche sociologique[modifier | modifier le code] Objectifs économiques :

L'économie du care Le care, c'est le soin, l'attention, l'aide. Bref, tout ce qui, à travers des liens personnels, apporte aux personnes en difficulté la béquille, les soins ou l'affection dont elles ont besoin. C'est l'antithèse de l'homo oeconomicus, individu rationnel, égoïste et préoccupé de son seul intérêt. L'auteur oppose ainsi l'approche morale d'Emmanuel Kant à celle d'Adam Smith, qui fait de l'empathie l'une des bases du comportement humain, alors que les libéraux n'en ont retenu que la place de l'intérêt personnel.

| Efficycle Manifeste pour l'économie positive LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Jacques Attali, économiste Notre modèle économique semble avoir atteint ses limites. Les crises s'enchaînent et se nourrissent, inextricablement liées : de crise financière en crise économique. De crise sociale en crise environnementale. De crise politique en crise philosophique. Avançons trois raisons majeures qui nous incitent à agir. En premier lieu, parce que les modèles qui ont organisé le XXe siècle ont mené à l'impasse. De son côté, le capitalisme financier, qui ne cherchait plus qu'à se protéger du risque, a imposé partout un modèle construit sur l'incitation financière. Ensuite, parce que la dictature du court terme est suicidaire. Enfin, parce que l'avenir défie la raison marchande. Or, ces secteurs sont devenus fondamentaux. Nous ne ferons pas face à ces transformations en faisant "plus" de ce que nous faisions déjà. Mais qu'est-ce que l'économie positive ? L'économie positive, c'est d'abord une vision positive de l'homme.

De nouveaux statuts juridiques pour les entreprises aux Etats-Unis Aux Etats-Unis, les entrepreneurs sociaux ne sont pas les mieux armés pour défendre les spécificités de leurs entreprises. La législation en vigueur dans la plupart des Etats est en effet peu adaptée à l’intégration d’objectifs sociaux aux activités des entreprises et la loi autorise même les actionnaires à poursuivre les dirigeants d’entreprises s’ils estiment que ceux-ci ont failli à leur tâche dans la maximisation des profits. Pourtant, après que la Californie ait été le sixième Etat à adopter une loi sur le statut de "Benefit corporation" pour les entreprises (après le New Jersey, la Virginie, Hawaii, le Vermont, le Maryland et l’Etat de New York), le gouveneur Jerry Brown a décidé de faire passer une deuxième mesure pour soutenir la création d’entreprise sociale. Le statut de "Benefit Corporation" Le statut de "Flexible Purpose Corporation" Plus d’informations sur le site B Corporation

La destruction créatrice Il faut redécouvrir la flânerie dans sa ville, on n'est jamais à l'abri d'une surprise. Les travaux concernant la future façade de la résidence étudiante située rue Gametta à Saint-Etienne, laissent voir une ancienne publicité d’une diligence pour Annonay. C'est le moment de redécouvrir les temps anciens de Saint-Etienne et de réfléchir sur l’évolution de nos moyens de transport. L'économiste Schumpeter parlerait d'un phénomène de destruction créatrice. « Le charme est rompu et de nouvelles affaires se créent continuellement, appâtées par le profit. « Le nouveau ne sort pas de l’ancien, mais apparaît à côté de l’ancien, lui fait concurrence jusqu’à le ruiner. » Joseph Schumpeter, Théorie de l’évolution économique, 1911/1926 « La plupart des créations de l’intelligence ou de l’imagination meurent sans laisser de trace après une période qui varie entre une heure d’après-dîner et une génération. » Joseph Schumpeter, Capitalisme, socialisme et démocratie, 1942

Nous vivons dans une "société liquide" Ses livres s’interrogent sur les "horizons de sens" possibles dans un monde marqué par des crises radicales. Il invite à "se révolter par la créativité, l’écriture, l’engagement au plus près du monde". Zygmunt Bauman a notamment théorisé la "société liquide", un concept qui se penche sur le flux incessant de la mobilité et de la vitesse, caractéristique de notre modernité. Zygmunt Bauman décrit une société "en voie de liquéfaction avancée", où les relations humaines deviennent flexibles plutôt que durables, tant au plan personnel qu’au plan collectif. Dans notre "société liquide", « on évite la corvée de la rupture (rompre ou se faire licencier par SMS. Pour Zygmunt Bauman, prendre soin de l’homme, c’est prendre soin de sa créativité, de sa parole vive… Zygmunt Bauman est une figure majeure de la sociologie européenne. Une conférence enregistrée en octobre 2017.

Le catéchisme économique Trésor, 2009. Photo Thierry Fontaine Entretien Aline Chambras Photos Thierry Fontaine et Eugénie Baccot Maître de conférences en économie à l’université de Bordeaux, Éric Berr est par ailleurs membre du collectif des économistes atterrés, une association créée en 2011 avec comme objectif de favoriser la réflexion et l’expression des économistes opposés à la domination du néolibéralisme. Éric Berr a publié L’intégrisme économique, un ouvrage qui explique pourquoi les pratiques économiques du néolibéralisme à l’œuvre depuis près de quarante ans relèvent d’une idéologie dogmatique et ne sont finalement que l’instrument du pouvoir exercé par une minorité à son propre profit. Éric Berr. L’Actualité. – Le parti pris de votre livre, avec le choix d’un vocabulaire que l’on associe habituellement à la religion dans ses pratiques les plus sectaires (intégrisme, dieu marché, lecture rigoriste, déradicalisation, etc.) est volontairement provocateur. Oui. Tout cela est assez pessimiste, non ?

Théorie du Donut Kate Raworth par Arbeid & Milieu / Flickr « La théorie du donut », de l’économiste britannique Kate Raworth, place l’économie au cœur du vivant. La capitale des Pays-Bas passe de la théorie à la pratique. Ceux qui piaffent d’impatience à l’idée de retrouver une croissance économique dynamique après la crise du coronavirus, seraient bien inspirés de tourner le regard vers Amsterdam. La capitale des Pays-Bas a annoncé le 8 avril dernier, un plan de relance qui tourne le dos au dogme de la croissance. Ce plan s’inspire de « La théorie du donut» élaborée à Oxford en 2017 indique The Guardian . Car, explique Kate Raworth, au XXIème siècle, le dogme de la croissance économique est complètement dépassé. Pour susciter l’adhésion à sa théorie, Kate Raworth utilise, comme les tenants de la croissance, un vocabulaire séduisant et des métaphores adaptées explique-elle à Usbek & Rica. A Amsterdam o Vous appréciez nos articles ?

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