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Comment les lobbies détricotent la taxe sur les transactions financières

Comment les lobbies détricotent la taxe sur les transactions financières

Est-il impossible de taxer les marchés financiers ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé A trois semaines des élections européennes, la taxe Tobin européenne – appelée aussi taxe sur les transactions financières (TTF) – est au menu de la réunion des ministres des finances de la zone euro, lundi 5 mai, et des grands argentiers des Vingt-Huit, mardi 6 mai. La TTF doit contribuer à la fois à la régulation financière, au redressement des finances publiques et à la solidarité internationale : « ces ressources additionnelles pourraient financer la lutte contre les grandes pandémies comme le sida ou le paludisme et la lutte contre le changement climatique », expliquait en janvier Pierre Moscovici – alors ministre de l'économie et des finances. Le principe de la taxe Tobin, du nom de l'économiste américain, qui, dans les années 1970, voulait lutter contre le court-termisme des marchés financiers, est celui d'une taxation très minimale de certains flux de capitaux. Un engagement du candidat Hollande Lobby bancaire

Extra! aha :) RT @Golem_13 Dernier jour pour imprimer ces 6 papiers cadeaux gratuits #Noel http… wtf!- jeudi 17 décembre 2015 · Tags: Noel, slider· Un commentaire Le soir de Noël, peut-être allez-vous offrir un cadeau à un membre de votre famille ou belle-famille qui vous sort par les yeux. Papier Cadeau : J’ai vu cette daube en vitrine. Papier Cadeau : Si tu le mets sur Le Bon Coin, je t’étripe ! Si tu l’as déjà, tu peux te brosser pour que je refasse la queue à la Fnac ! J’adore faire briller ton hypocrisie avec mes cadeaux pourris Par Golem13 – Télécharger la version imprimable ici. Plus de sous pour ton cadeau car j’économise pour le ski Par Golem13 – Télécharger la version imprimable ici. Cette babiole fera merveille dans votre intérieur de beaufs Par Golem13 – Télécharger la version imprimable ici.

Plan contre l’évasion fiscale : pourquoi les multinationales dorment tranquilles La caisse d’un Apple Store parisien, le jour du lancement de l’iPhone 5, le 21 septembre 2012 (PRM/SIPA) En 2009, quand la planète sombrait dans les affres de la crise financière, tout le monde autour de la table du G20 était d’accord : il fallait remettre de l’ordre dans la finance, supprimer le secret bancaire et s’entendre pour casser l’évasion fiscale. Cinq ans plus tard, l’organisation Oxfam fait le bilan de ces beaux projets dans une note publiée vendredi [PDF]. Son constat : la réforme qui est en discussion ne semble pas perturber pas le sommeil des dirigeants des entreprises championnes de l’évasion fiscale. Comment on échappe à l’impôt Les multinationales ont l’art de faire jaillir les bénéfices soit dans des activités peu imposées, soit dans des parafis fiscaux, soit dans des pays qui leur offre des avantages fiscaux pour les attirer ; elles peuvent aussi surestimer ou sous-estimer les prix des biens et services échangés entre leurs propres filiales. Conclusion d’Oxfam :

Urbamedia | Regards croisés sur la ville Lutte contre la fraude fiscale : une manière simple de combattre toutes les délinquances. Lutte contre la fraude fiscale : une manière simple de combattre toutes les délinquances. Alors que depuis des années se multiplient les dispositifs, policiers ou judiciaires, les plus complexes pour lutter contre la délinquance, on en oublie bien souvent que le mieux est l’ennemi du bien. Il y aurait pourtant des mesures des plus simples à prendre pour lutter contre la délinquance tant en col bleu qu’en col blanc. L’immense majorité des actes de délinquance, en effet, ne tourne qu’autour d’un seul objet : faire de l’argent. C’est donc par le portefeuille qu’il faut, entre autres, l’attaquer. Et ce sur ce point quelques mesures simples mériteraient d’être prises : 1/ Interdire tout paiement en liquide supérieur à 100 euros[i]. 2/ Accroitre les possibilités du fisc et notamment la répression des contrevenants. [i] Il va bien évidemment de soi qu’une telle mesure doit être accompagné de contraintes faites aux banques afin qu’elles respectent (enfin) un minimum de devoir de service public.

The iWallet Is Coming Les grandes banques européennes, bénéficiaires de milliards d'euros de subventions « implicites » Les banques européennes bénéficient d’un « soutien » de 200 à 300 milliards d’euros par an, grâce à la garantie implicite que les États leur fournissent. L’équivalent de 1,5% du PIB européen, et près de deux fois le budget annuel de l’Union européenne. Telle est la conclusion d’une étude réalisée par l’expert financier indépendant Alexander Kloeck, à la demande des eurodéputés écologistes. Cette garantie implicite concerne principalement les banques « mixtes », qui combinent deux types d’activités au sein d’une seule entité juridique : banques de dépôts, elles gèrent l’épargne des particuliers ou des entreprises, et leur octroient des prêts ; banques d’affaires, elles interviennent sur les marchés financiers. En cas de faillite bancaire, les États sont garants « en dernier recours » des dépôts des épargnants. Réformer le secteur bancaire Lire l’étude ici (en anglais). — Photo : Yukiko Matsuoka CC.

Ricciotti, Virlogeux, Cabestan, Jack Lang attendus demain…"La halle de Fontainebleau dans la tourmente" Lundi 23 septembre, les bulldozers auront-ils raison de la fameuse halle en béton du marché de Fontainebleau (Seine-et-Marne) ? Erigée en 1942 par Nicolas Esquillan, ingénieur et auteur du Cnit de La Défense, cette voûte plate (2,38 m de flèche) sans nervures inférieures et éclairée par des pavés de verre, aurait déjà du être rasée le 5 mars. Une manifestation organisée par des associations et des élus de l’opposition avait évité provisoirement sa destruction. Après avoir lancé une procédure d’examen d’urgence, le ministère de la Culture a décidé de ne pas classer l’édifice aux monuments historiques. (photo DR) «Pas de véritable projet derrière» Pour Cabestan, «il n’y a pas de véritable projet derrière, ni aucune raison que cela se fasse dans l’urgence», déclare-t-il à Libération. Dominique Poiret

« Face à la dimension criminelle de la crise, les élites sont aveugles, incompétentes ou complices Basta ! : Vous analysez les crises financières au prisme de la criminologie. Pour vous, la crise de 2008 est-elle due à des comportements criminels ? Jean-François Gayraud [1] : Le nouveau capitalisme qui se développe depuis les années 80 comporte des incitations et des opportunités à la fraude d’une ampleur inédite. L’alliance entre la financiarisation, la dérégulation et une mondialisation excessives forme un cocktail explosif. La criminalité est l’angle mort de la pensée économique, un impensé radical, et ce depuis le 18ème siècle. Il ne s’agit pas d’être « mono-causal » et de tomber dans la théorie du complot. Avons-nous avancé depuis la crise de 2008, pour éviter de nouvelles crises ? Entre 2008 et 2012, nous avons connu une révolution, dans le sens astronomique du terme : nous sommes revenus au point de départ ! Comment l’expliquez-vous ? Il y a un problème de déni et d’aveuglement. D’où vient cette situation ? C’est la question centrale. Oui. Est-ce mieux en Europe ? @AgnesRousseaux

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