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Et si la créativité était juste une habitude ? Cyril de Sousa Cardoso à TEDxVaugirardRoad 2013

Et si la créativité était juste une habitude ? Cyril de Sousa Cardoso à TEDxVaugirardRoad 2013

L'Open Data a-t-elle besoin d'un nouveau départ ? - Collectif Open Data Rennes La musique à l’école pour apprendre à vivre ensemble (Revue de Sèvres) La 75e Revue internationale d'éducation de Sèvres (CIEP) porte sur la musique à l'école. Des études montrent ses effets bénéfiques pour l'apprentissage et la socialisation. La rentrée en musique à La Réunion, les 17 et 18 août 2017 / Ministère de l’Education nationale Pour son numéro 75 d’octobre 2017, la Revue internationale d’éducation de Sèvres éditée par le CIEP s’intéresse au lien entre musique et éducation. Professeur de psychologie cognitive à l’Université de Bourgogne et chercheur à l’Institut universitaire de France, Emmanuel Bigand a coordonné le numéro. La musique, instrument de communication Selon le professeur de psychologie cognitive, lui-même contrebassiste, les enfants en situation d’échec d’acquisition du langage, notamment les Dys, peuvent être « rattrapés » grâce à la musique, qui s’avère avoir également des effets positifs sur la mémoire et sur le développement du Q.I, mais qui est surtout un outil de socialisation. Un outil de socialisation et de citoyenneté

La métamorphose du travail A l’occasion de la sortie du 5e forum thématique du Digital Society Forum consacré aux transformations du travail à l’heure du numérique (la première édition était consacrée aux nouvelles relations, la seconde à la famille connectée, la troisième aux nouvelles formes d’apprentissage et la quatrième au migrant connecté). Ce forum réalisé en partenariat avec la Fing (et notamment son média, InternetActu.net), Psychologies Magazine et Orange, nous donne l’opportunité de republier la contribution d’Amandine Brugière, coresponsable du programme Digiwork de la Fing, qui dresse un bilan très synthétique des enseignements du groupe de travail. En attendant Lift with Fing, qui du 21 au 23 octobre 2014, sera consacré à ce thème… Qu’est-ce qui ne va plus avec le travail ? Qu’est-ce qui, depuis si longtemps, ne va “plus” avec le travail ? Le travail et l’emploi sont au cœur du système capitaliste. Présentation : Les conclusions du groupe de travail sur l’avenir du travail de la Fing.

Home - Orchestre à l'école La relation client au fil du temps | Le Blog d'ARC Si nous remontions les 60 dernières années, il serait intéressant de voir comment cette notion de relation client a évolué. Nous pouvons identifier 4 grandes périodes. Les années 50 C’est l’après-guerre, l’époque de la reconstruction et le début des 30 Glorieuses ; le commerce de proximité est encore roi : on va acheter près de chez soi, chez des commerçants que l’on connaît et qui nous connaissent. À cette période, nul besoin de parler de relation client car elle s’instaure naturellement entre le commerçant et des clients forcément fidèles. Des années 50 aux années 80 C’est l’explosion d’un nouveau type de commerce : les grandes surfaces et la distribution spécialisée.Le consommateur trouve de plus en plus d’articles sous le même toit, à des prix de plus en plus bas. Des années 90 aux années 2000 Nous assistons à un fort développement de la concurrence et à une nette évolution du comportement du consommateur. Les années 2010 3 juillet 2014 admin 0 commentaires

Pourquoi la musique nous fait du bien Elle apaise nos angoisses, favorise la concentration, stimule la mémoire, facilite l’apprentissage du langage… On sait depuis longtemps que la musique adoucit les mœurs. Aujourd’hui, les scientifiques expliquent pourquoi. Erik Pigani Sommaire Une demi-heure de musique classique par jour : c’est obligatoire pour tous les enfants de Floride, aux Etats-Unis. En France, l’action bénéfique de la musique n’est pas totalement inconnue. Autre expérience étonnante réalisée dans le métro de Newcastle, en Angleterre : les responsables de la sécurité des stations ont remplacé la diffusion de musique rock par du baroque. Les sons font réagir nos cellules Pour comprendre comment la musique agit sur nous, il faut savoir qu’elle n’a rien d’immatériel et ne passe pas directement des instruments à notre cerveau. Des vibrations qui soignent

La transformation numérique de la santé Pour que le secteur de la santé puisse bénéficier de la troisième étape dans la transformation numérique, Celle centrée sur le patient, il est indispensable que les différentes parties prenantes comprennent ses besoins et ses attentes. L’adoption de l’IT dans le secteur de la santé s’est effectuée à peu près comme dans les autres secteurs économiques. Dans les années 50/60, les différentes institutions ont des systèmes informatiques pour automatiser des tâches répétitives telles que la comptabilité et la paie. Elles ont également commencé à utiliser de manière plus systématique l’informatique pour traiter les données à leurs dispositions à des fins statistiques. Une vingtaine d’années plus tard, la seconde vague a déferlé et visait principalement deux objectifs : aider à l’intégration de processus impliquant différentes parties-prenantes –fabrication et ressource humaines par exemple) et informatiser des processus B2B telle que la gestion de chaînes logistiques.

Cette musique permet de réduire l'anxiété de 65% L'anxiété est un trouble nerveux de plus en plus présent dans notre société et elle provoque la peur, la nervosité et même parfois, dans sa version extrême, la panique. Ce n'est pas nouveau puisqu'on a retrouvé des écrits dans lesquels Hippocrate en parlait, 4 siècles avant Jésus Chris. Les personnes les plus touchées par l'anxiété sont issues de la génération Y (1980 - 1990). L'anxiété est une sensation normal lorsque nous sommes inquiets ou angoissés, mais elle peut devenir chronique. En effet, lorsqu'on est anxieux, on ressent un sentiment d'insécurité, une appréhension, voire même de la terreur provoquée par une situation ou une décision à prendre. Elle se manifeste de différentes manières. Dans sa forme légère : Se sentir mal à l'aise Dans sa forme moyenne : Etre préoccupéEtre agitéEtre nerveuxEtre colériqueSe sentir fatiguéSentir une tension musculaire Dans sa forme lourde : Dans sa forme extrême : Installez-vous bien, écoutez et détendez-vous surtout : Désactiver la lecture automatique

Le vertige technologique masque un déficit majeur d’Innovation organisationnelle Les objets technologiques mettent parfois des années pour révéler les domaines sur lesquels ils agiront et quelles nouvelles applications ils inspireront. L’innovation n’est pas dans la seule technique mais aussi dans ce que l’on en fait, parfois, en la détournant de son objet initial. Il est offert à tous de pouvoir trouver des domaines nouveaux d’utilisation des techniques pour gagner en création de richesses. Mais le pire des fléaux, c’est d’attendre des techniques qu’elles puissent résoudre des problèmes d’organisation et de ne pas comprendre les retombées stratégiques et politiques de leurs applications sur les marchés, les métiers, les économies nationales. Autrefois cantonnées dans quelques ateliers, dans un centre informatique, les TICs désormais omniprésentes affectent tous les métiers. Plus que la contagion technique c’est l’accès à la connaissance organisationnelle qui devient un facteur de progrès Déficit organisationnel : le progrès technique confisqué par la technostructure

Les arts et la santé, un maillage gagnant - Le Courrier du Sud Le 5 octobre dernier se tenait, dans le petit village de Saint-Camille, en Estrie, une journée autour de la thématique des arts et de la santé, réunissant des intervenants des milieux communautaire, de la santé et de la culture. Les différentes interventions ont montré de manière éloquente les impacts positifs des arts sur la santé; chiffres, études et expériences terrain à l’appui. Des effets positifs sur la santé Dans sa conférence d’ouverture, Mélissa Généreux, directrice de la santé publique de l’Estrie, proposait un tour d’horizon, à partir de diverses études, des nombreux effets positifs de la pratique et de la fréquentation des arts, tant sur la santé physique, mentale que psychosociale. Elle nous apprenait entre autres que la musique possède la capacité de baisser le rythme cardiaque et respiratoire, de réduire le stress et l’anxiété et d’augmenter la sensation de bien-être. Ce ne sont là que quelques exemples significatifs; la liste pourrait être beaucoup plus longue.

Les bibliothèques numériques ne sont que des sites web et c'est le problème ! Les bibliothèques numériques ne sont que des sites web et c'est là le problème, oui. Parce que, en vrai, les bibliothèques ne sont pas que des dépôts ! C'est de ce constat qu'est né le Projet BiblioSphère. Sur les sites web des bibliothèques les internautes sont seuls face à un écran. Les bibliothèques numériques proposent des services du web, pas une expérience de la bibliothèque : perte des repères 3D naturels, un monde plat sans aucun déplacement possible ni de choix d'une place à laquelle s'asseoir pour consulter des documents, pas de possibilités d'échanges (donner rendez-vous ou rencontrer d'autres usagers), pas de possibilités de communication avec des bibliothécaires. Nous recherchons des établissements pilotes pour tester nos prototypes.

Crèches Cap Enfants : quand la musique éveille au monde Il y a dix ans, Claudia Kespy-Yahi lançait le concept des crèches musicales Cap Enfants. Aujourd'hui, les neurosciences lui donnent raison : sa pédagogie, dont la musique est l'axe central, a un impact déterminant sur le développement des enfants. Reportage. Le La est donné dès l'entrée, où trône un piano à queue ouvert : « C'est un prêt du Festival d'Auvers-sur-Oise. Nous sommes à Gennevilliers, dans une des crèches du réseau Cap enfants. Et si elle a choisi de se lancer dans une projet de crèches musicales, comme elle les définit, Claudia Kespy-Yahi repose sur sa propre expérience d'enfant bilingue : née en Autriche, elle a d'abord parlé l'allemand. De l'oreille musicale à l'oreille pour les langues, il n'y a qu'un pas « L'éveil musical est l'outil idéal, déclare Claudia Kespy-Yahi. Dans la Bulle Musicale, le monde entier est à la portée de la main Et les petits (musiciens) deviendront grands Les retours enthousiastes des parents ont mis la puce à l'oreille de Claudia Kespy-Yahi.

Les communs : culture de la participation et culture numérique. Vers une littératie des communs ? Cet article est publié simultanément sur le site Doc Pour Docs et sur le site du collectif SavoirsCom1 Ce Billet s’inscrit dans l’axe 4 du manifeste du collectif : « 4. Les ressources éducatives libres sont autant de biens communs informationnels dont il faut encourager le développement. Ces dernières années ont vu l’émergence du concept de biens communs dans l’éducation et notamment auprès des professeurs documentalistes. Public Domain CC0- geralt- Brigitte Pierrat, Chargée de veille chez Ministère de l’Education Nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, cite les biens communs parmi les 4 concepts émergents en éducation : « nomades, mooc, biens communs, datas » (à partir de diapo 19) Plusieurs facteurs peuvent expliquer cet intérêt pour les communs : – La viralité de la diffusion : avec les technologies numériques, connaissances, savoirs, ressources se diffusent, se copient rapidement. 1. En Collège

Avec Max Richter, dormir au concert est devenu un must Le compositeur néoclassique, héritier des minimalistes américains, invite, samedi 18 novembre, à une traversée hors normes : écouter sa pièce “Sleep” alité, en pyjama, pendant huit heures, à la Philharmonie de Paris. Une expérience qu’il décrypte pour nous. Agaçant, Max Richter ? Pour qui aime à ranger les artistes dans des cases, possible que le musicien germano-britannique énerve un peu. Etiqueté « post-minimaliste », car dans la lignée d’un Glass ou d’un Reich, il use pour ses partitions aussi bien de l’orchestre symphonique (direction, donc, rayon « classique »...) que du sample (… et l’on bifurque vers le bac « électro »). Frénésie de projets Bref, cet inclassable premier de la classe est partout à la fois et nulle part en particulier. Boulimique, Max Richter ? Boucles acoustiques et synthétiques En témoigne Sleep, pour piano, cordes, voix et électronique. Soporifique, alors, Max Richter ? Paysage intérieur Pièce sous influences Dialogue avec la neuroscience Ecoute active/passive

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