When Your Skin Smells Sandalwood Oil, It Heals Itself — NOVA Next Your nose isn’t the only part of your body capable of taking a whiff. In the past decade, scientists have discovered olfactory receptors lingering in strange places—in sperm, in the spine, and even in the kidneys. Now researchers in Hanns Hatt’s lab at Germany’s Ruhr University Bochum have identified scent receptors somewhere much more accessible: the skin. What’s more, these receptors appear to be involved in healing. Sandalore, a synthetic sandalwood oil, binds to an olfactory receptor in the skin, prompting the healing process. Here’s Bob Roeher, writing for New Scientist: They found that Sandalore—a synthetic sandalwood oil used in aromatherapy, perfumes and skin care products—bound to an olfactory receptor in skin called OR2AT4. In other words, your skin has the ability to smell, just not in the way we normally think of. This discovery is another example of our skin’s unexpected abilities.
Art Cru - Winnicott : La crainte de l’effondrement La crainte de l ’effondrement Introduction Cet article, écrit il y a plus de cinquante ans, constitue un des textes majeurs de WINNICOTT pour comprendre un des processus fondamentaux de l'expérience affective que nous rencontrons de façon vigoureuse dans la pratique des Ateliers d'Expression Créatrice Analytiques, et que nous sommes invités à élaborer de façon intelligente. Cette force affective agit de manière puissante dans le cours de l'expérience créatrice ; et son élaboration s'avère être un puissant levier de transformation de la relation que le sujet entretien avec ses angoisses de mort. J'ai trouvé par le plus grand des hasards ce texte original de Winnicott sur internet. 1° Août 2015 Guy Lafargue Texte original La crainte de l’effondrementFigures du VideNouvelle Revue de Psychanalyse - Gallimard - 1975Titre original : « Fear of Breakdown », « Mes expériences cliniques m’ont amené récemment à une compréhension nouvelle, je crois, de ce que signifie la crainte de l’effondrement.
L'Open Data a-t-elle besoin d'un nouveau départ ? - Collectif Open Data Rennes La métamorphose du travail A l’occasion de la sortie du 5e forum thématique du Digital Society Forum consacré aux transformations du travail à l’heure du numérique (la première édition était consacrée aux nouvelles relations, la seconde à la famille connectée, la troisième aux nouvelles formes d’apprentissage et la quatrième au migrant connecté). Ce forum réalisé en partenariat avec la Fing (et notamment son média, InternetActu.net), Psychologies Magazine et Orange, nous donne l’opportunité de republier la contribution d’Amandine Brugière, coresponsable du programme Digiwork de la Fing, qui dresse un bilan très synthétique des enseignements du groupe de travail. En attendant Lift with Fing, qui du 21 au 23 octobre 2014, sera consacré à ce thème… Qu’est-ce qui ne va plus avec le travail ? Qu’est-ce qui, depuis si longtemps, ne va “plus” avec le travail ? Le travail et l’emploi sont au cœur du système capitaliste. Présentation : Les conclusions du groupe de travail sur l’avenir du travail de la Fing.
La relation client au fil du temps | Le Blog d'ARC Si nous remontions les 60 dernières années, il serait intéressant de voir comment cette notion de relation client a évolué. Nous pouvons identifier 4 grandes périodes. Les années 50 C’est l’après-guerre, l’époque de la reconstruction et le début des 30 Glorieuses ; le commerce de proximité est encore roi : on va acheter près de chez soi, chez des commerçants que l’on connaît et qui nous connaissent. À cette période, nul besoin de parler de relation client car elle s’instaure naturellement entre le commerçant et des clients forcément fidèles. Des années 50 aux années 80 C’est l’explosion d’un nouveau type de commerce : les grandes surfaces et la distribution spécialisée.Le consommateur trouve de plus en plus d’articles sous le même toit, à des prix de plus en plus bas. Des années 90 aux années 2000 Nous assistons à un fort développement de la concurrence et à une nette évolution du comportement du consommateur. Les années 2010 3 juillet 2014 admin 0 commentaires
La transformation numérique de la santé Pour que le secteur de la santé puisse bénéficier de la troisième étape dans la transformation numérique, Celle centrée sur le patient, il est indispensable que les différentes parties prenantes comprennent ses besoins et ses attentes. L’adoption de l’IT dans le secteur de la santé s’est effectuée à peu près comme dans les autres secteurs économiques. Dans les années 50/60, les différentes institutions ont des systèmes informatiques pour automatiser des tâches répétitives telles que la comptabilité et la paie. Elles ont également commencé à utiliser de manière plus systématique l’informatique pour traiter les données à leurs dispositions à des fins statistiques. Une vingtaine d’années plus tard, la seconde vague a déferlé et visait principalement deux objectifs : aider à l’intégration de processus impliquant différentes parties-prenantes –fabrication et ressource humaines par exemple) et informatiser des processus B2B telle que la gestion de chaînes logistiques.
Le vertige technologique masque un déficit majeur d’Innovation organisationnelle Les objets technologiques mettent parfois des années pour révéler les domaines sur lesquels ils agiront et quelles nouvelles applications ils inspireront. L’innovation n’est pas dans la seule technique mais aussi dans ce que l’on en fait, parfois, en la détournant de son objet initial. Il est offert à tous de pouvoir trouver des domaines nouveaux d’utilisation des techniques pour gagner en création de richesses. Mais le pire des fléaux, c’est d’attendre des techniques qu’elles puissent résoudre des problèmes d’organisation et de ne pas comprendre les retombées stratégiques et politiques de leurs applications sur les marchés, les métiers, les économies nationales. Autrefois cantonnées dans quelques ateliers, dans un centre informatique, les TICs désormais omniprésentes affectent tous les métiers. Plus que la contagion technique c’est l’accès à la connaissance organisationnelle qui devient un facteur de progrès Déficit organisationnel : le progrès technique confisqué par la technostructure
Les bibliothèques numériques ne sont que des sites web et c'est le problème ! Les bibliothèques numériques ne sont que des sites web et c'est là le problème, oui. Parce que, en vrai, les bibliothèques ne sont pas que des dépôts ! C'est de ce constat qu'est né le Projet BiblioSphère. Sur les sites web des bibliothèques les internautes sont seuls face à un écran. Les bibliothèques numériques proposent des services du web, pas une expérience de la bibliothèque : perte des repères 3D naturels, un monde plat sans aucun déplacement possible ni de choix d'une place à laquelle s'asseoir pour consulter des documents, pas de possibilités d'échanges (donner rendez-vous ou rencontrer d'autres usagers), pas de possibilités de communication avec des bibliothécaires. Nous recherchons des établissements pilotes pour tester nos prototypes.
Les communs : culture de la participation et culture numérique. Vers une littératie des communs ? Cet article est publié simultanément sur le site Doc Pour Docs et sur le site du collectif SavoirsCom1 Ce Billet s’inscrit dans l’axe 4 du manifeste du collectif : « 4. Les ressources éducatives libres sont autant de biens communs informationnels dont il faut encourager le développement. Ces dernières années ont vu l’émergence du concept de biens communs dans l’éducation et notamment auprès des professeurs documentalistes. Public Domain CC0- geralt- Brigitte Pierrat, Chargée de veille chez Ministère de l’Education Nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, cite les biens communs parmi les 4 concepts émergents en éducation : « nomades, mooc, biens communs, datas » (à partir de diapo 19) Plusieurs facteurs peuvent expliquer cet intérêt pour les communs : – La viralité de la diffusion : avec les technologies numériques, connaissances, savoirs, ressources se diffusent, se copient rapidement. 1. En Collège
Nos règles de fonctionnement SavoirsCom1 est un collectif orienté vers l’action organisé de manière horizontale. S’engager pour les biens communs de la connaissance à condition d’expérimenter concrètement de nouvelles formes de gouvernance. Résumé de nos règles : Il nous importe d’éviter toute rigidification, enclosures internes et fonctionnement hiérarchique, => pas de chef(s), mais des règles! On veut éviter aussi toute sous-division privées du groupe : quand on fonctionne en sous-groupes privés, on isole et on dépense une énergie considérable à resynchroniser les infos échangées dans un petit groupe vers un plus grand groupe… c’est une tentation naturelle qu’on souhaite éviter. L’ensemble de nos règles de fonctionnement sont exposées dans cette carte heuristique, n’hésitez pas à la consulter si vous souhaitez nous rejoindre !
Pearltrees, nouvel outil d’expositions en ligne ? Pealtrees, l’outil gratuit et collaboratif qui vous permet d’organiser votre travail en ligne, voit se développer depuis peu des expositions sur sa plateforme. Ainsi trois musées ; le Centre Pompidou, le musée du quai Branly et le musée des Arts et Métiers (tous les trois à Paris) ont décidé de mettre en ligne certaines de leurs collections. Le Musée des Arts et Métiers invite ainsi le visiteur à aller découvrir sa toute dernière exposition “Culture TV” directement sur Pearltrees. En se rendant sur le compte du musée, on peut aussi découvrir des collections sur l’histoire du musée, ou des collections créées à l’occasion d’expositions précédentes. Le Centre Pompidou reçoit chaque année plus de 5 millions de visiteurs et parmi eux, de nombreux collégiens et lycéens qui se confrontent pour la première fois à l’art moderne. Et vous, sur quelle platforme mettez-vous vos contenus en ligne ?
POIETIC GENERATOR RESEAUX APPRENANTS: 1 - Le projet des Réseaux Apprenants 1.1 Introduction Le projet est, en effet, la raison d’être du réseau (des personnes s’organisent en réseau pour travailler sur un projet, quelle qu’en soit la nature) et son évolution est la finalité objective des membres. D’un point de vue méthodologique, je commencerai par présenter le concept et ses dimensions méthodologiques, puis je montrerai en quoi il est un «entre-deux» gros de potentialités. Je terminerai enfin en étudiant le projet dans le cadre de l’organisation. 1.2 Présentation du concept D’un point de vue étymologique, le meilleur correspondant latin à disposition est le substantif «propositium» qui a donné en français «proposition». Sur le plan épistémologique, le concept du projet s’est tour à tour appuyé sur différents paradigmes. Aujourd’hui, «Le Petit Robert (version 2002)» dégage deux significations possibles pour définir le mot projet : Vis à vis de notre étude, le projet qui l’anime se place, selon la typologie définie par J.P. 1.4 Les paradoxes[29] du projet
Social Technology and the Changing Context of Leadership | Wharton Leadership by Roland Deiser and Sylvain Newton Most companies are painfully aware that over the last two decades the context of leadership has changed dramatically, putting tremendous pressure on traditional models of management and organization. Today’s leaders are faced with highly unpredictable and volatile environments that defy long-range planning. Their organizations are enmeshed in a new interconnected world of complex global networks that engage in novel ways of co-evolution and co-creation, with stakeholders dispersed across the globe. They are faced with disruptive forces that require continuous business model innovation, and they have to deal with mounting political, economical, and ecological mega-challenges on a global scale. To turn these challenges into opportunities, leaders have realized they need to shape highly creative, agile, and flexible organizations. This situation is now rapidly changing. This needs to change. Some elements of the new paradigm are: