background preloader

Un monde sans sexe, la fin d'un scandale scientifique de cinquante ans

Un monde sans sexe, la fin d'un scandale scientifique de cinquante ans
LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Yann Chavance Chez les animaux, la règle semblait immuable : pour avoir une descendance, il faut un mâle et une femelle. L'omniprésence de la reproduction sexuée dans le monde animal est pourtant longtemps restée un mystère. Dans chaque cellule, les chromosomes, supports de l'information génétique, existent en deux exemplaires, l'un provenant du père, l'autre de la mère. Pour s'en convaincre, il suffit de regarder chez l'homme à quel point chaque enfant d'un même couple est différent. Le brassage génétique apporté par la reproduction sexuée semblait donc être un tel avantage évolutif que bon nombre de scientifiques jugeaient tout autre mode de reproduction voué à l'échec. Ce mode de reproduction asexué, appelé parthénogenèse, avait déjà été observé chez certaines espèces de lézards ou de poissons par exemple, mais était alors présent en parallèle d'une reproduction sexuée.

Les gens intelligents se couchent tard Selon une récente étude, le timing du sommeil reflète l’intelligence: les personnes avec des QI (quotients d’intelligence) plus élevés tendent à être plus actifs la nuit et à se coucher plus tard, tandis que ceux avec des QI plus bas tendent à se coucher plus tôt. Le manque de sommeil peut entraîner l’obésité, l’hypertension et de manière générale réduire l’espérance de vie. La somnolence réduit quant à elle la performance mentale, et est à l’origine de nombreux accident de la route par exemple. Mais les horaires du sommeil font partie des sujets qui font débat depuis quelques années, plus particulièrement la corrélation entre le moment du sommeil (plutôt le matin ou plutôt le soir) et l’intelligence, écrit le scientifique Robert Alison dans un article du Winnipeg Free Press qui fait un tour d’horizon des nombreuses publications scientifiques dédiées au sujet. Photo: Sleeping / pedrosimoes7 via Flickr CC License by

MalaCo How Fat Might Be the Key to Improving People's Lives Sometimes the most amazing scientific discoveries happen by accident; a loaf of moldy bread or a game of connect the dots with a public water pump becomes a clue to a breakthrough. Researchers at UCLA announced a similar happy accident this week: the discovery of human stem cells in adipose tissue, aka fat, taken from liposuction procedures. This is actually nothing new; researchers have noted the presence of adipose stem cells since 2001, and they’ve been used in a variety of procedures in both human and veterinary research. Why? As with all exciting scientific discoveries, there’s a lot more work to do before we leap to any conclusions about the significance of the findings and what they mean for the biomedical sciences, but they’re a step in a potentially very promising direction. Medical advances have allowed for the production of a wide variety of artificial and partially artificial tissue grafts for patients with conditions like severe burns and muscle damage.

Abandoned House in the Woods Taken Over by Wild Animals Finnish photographer Kai Fagerström presents unique photo series, where he captures wild animals making themselves comfortable in abandoned houses in the woods of Finland. Titled The House in the Woods, the photo series is set in cottages near Kai’s summer house, which were abandoned by their tenants after the owner of the place died in a fire. Award-winning photographer noticed how the place was slowly being reclaimed by the nature, and what started as a few snapshots, ended up being a book, published in Finnish, German, and English. “Deserted buildings are so full of contradictions,” says Kai. “I am fascinated by the way nature reclaims spaces that were, essentially, only ever on loan to humans.” Kai usually works with a clear image of what he wants to achieve in his head, although it make take some time for all elements to fall into place. Website: kafa.fi (via: nationalgeographic, imgur)

J'ai découvert le gène BRCA1. Et je suis ravie que la Cour suprême rende son brevetage impossible Le 13 juin 2013, la Cour suprême américaine a pris une très importante décision concernant l'ADN humain. L'ADN humain est un produit de la nature et ne peut pas être breveté, seul l'ADN complémentaire (donc synthétisé, celui qui n'est donc pas produit naturellement) peut l'être. La décision de la Cour suprême concernait un litige impliquant Myriad Genetics, société américaine de biotechnologie qui a déposé des brevets sur deux gènes liés aux cancers de l'ovaire et du sein, BRCA1 et BRCA2. publicité Mary-Claire King, la généticienne qui a découvert le gène BRCA1, est très satisfaite de la décision de la Cour suprême américaine rendant illégal son brevetage. Vous avez découvert le gène BRCA1 au début des années 1990. Mary-Claire King: Ce n'était pas la première fois qu'on brevetait des gènes; c'était déjà le cas avec la mucoviscidose, par exemple. Le 13 juin, la Cour suprême a statué que les gènes présents dans la nature ne pouvaient pas être brevetés. Je suis ravie. Sara Reardon

Real Monstrosities Israël invente l’œil bionique pour les aveugles Par Serge Dahan Des scientifiques israéliens ont mis au point une technologie permettant aux personnes aveugles de naissance de voir avec l’aide d’une lentille de contact bionique. La nouvelle technologie, développée par une équipe de l’Université Bar-Ilan, doit encore recevoir l’approbation des essais cliniques, mais sa faisabilité est actuellement testée à l’aide d’un modèle simulant la lentille bionique. La technologie se compose d’une petite caméra qui reçoit les informations visuelles de l’environnement et transmet des signaux à une lentille de contact bionique. « Cette technologie est une bonne nouvelle pour l’humanité, en particulier afin de donner la vue aux personnes aveugles de naissance sans une intervention chirurgicale ou endommager les autres sens vitaux ou organes » a dit le professeur Zeev Zalevsky, chef du génie électrique et nano-photonique à l’Université Bar-Ilan, qui a dirigé l’équipe de recherche.

Le lynx : conservation et présence en France © Maurice Chatelain FERUS a pour buts, en France, notamment dans les massifs frontaliers et en relation avec les pays européens voisins de favoriser le retour et le maintien des populations de lynx. Alors que l’ours et le loup occupent régulièrement le devant de la scène nationale, le lynx se fait oublier. Malgré un impact limité sur les activités humaines, des signes de mécontentement sont parfois observés au niveau local. Au XVème siècle, le lynx boréal était partout en France, en plaine comme en montagne. Le retour du lynx Depuis les années 1970, le lynx est de retour dans les massifs montagneux de l’est de la France. Le mâle Frenz relâché le 2 juin 1993 sur le Massif du Grand Ballon – Markstein (68). Au début des années 1970, depuis la Suisse toute proche où une dizaine de lynx a été relâchée, l’espèce fait son retour sur le versant français du Jura. La population actuelle La population française de lynx est constituée de 3 noyaux. © Roland Clerc Bilan lynx 2005- 2007 Bilan lynx 2008

The "Terminator" polymer: I'll be back

Related: