Guide LinkedIn pour néophytes LinkedIn est l’un des réseaux professionnels généraliste qui compte que ce soit dans la recherche d’emploi, de collaboration dans le milieu du travail ou pour trouver de nouveaux clients/prestataires dans une relation d’affaires. LinkedIn pour néophytes est une nouvelle série de mini-guides gratuits consultables et téléchargeables pour appréhender avec méthodologie et efficacité le service en ligne LinkedIn. Ces guides ont été rédigés par Mathieu Laferrière, consultant informatique et internet spécialisé au Canada.
Mieux organiser son travail face aux interruptions Twitter et Facebook 01Business le 05/10/10 à 16h00 © smlions12 / Flickr The Art of Procrastinating Par Rishi Bandopadhay C'est une situation que les accros au web 2.0 connaissent bien : vous avez un dossier urgent à boucler et vous vous donnez deux bonnes heures de travail. C’est pourquoi des logiciels d’aide à la concentration commencent à faire leur apparition. Le web social peut vite devenir un gouffre pour la productivité. Accès limité aux sites professionnels Freedom, disponible sur Mac et Windows à partir de 10 dollars, suspend les connexions réseaux pendant un temps configurable, ou garde un accès au réseau local pour l’impression. Plus complet, Concentrate (uniquement sur Mac, 29 dollars) sert à définir les applications et les sites autorisés ou non, selon le type d’activité. Au final, nous ne sommes pas très éloignés des méthodes classiques de sevrage.
Profweb 2.0 : Les logiciels sociaux : une occasion de collaborer Connaissez-vous les logiciels sociaux? Si cela ne vous dit rien, pensez à Facebook ou à MySpace, que vous connaissez assurément! Au Cégep@distance, ce concept devient de plus en plus concret puisqu’une équipe travaille, depuis l’automne 2008, à mettre en place un environnement social d’apprentissage qui permettra aux étudiants de collaborer pour atteindre les compétences des cours Littérature québécoise, Vision globale de l’entreprise et Communication anglaise, niveau 1. Ce projet expérimental, réalisé avec la participation de l’Université de Montréal et financé par Inukshuk et PAREA, vise à favoriser la collaboration entre pairs et à stimuler une démarche d’apprentissage collaboratif. Un tel environnement, configuré grâce au logiciel de réseautage social ELGG, conservera la flexibilité de la formation à distance autonome et autorythmée du modèle du Cégep@distance tout en ajoutant les avantages de la collaboration et du soutien entre pairs. Qu’offrira-t-on aux étudiants? Des défis?
Taxonomie des données sociales Par Hubert Guillaud le 02/09/10 | 7 commentaires | 3,703 lectures | Impression Pour mieux répondre aux nombreuses questions que posent la vie privée des utilisateurs à l’heure des sites sociaux, le spécialiste de la sécurité, Bruce Schneier a tenté de construire une intéressante Taxonomie des données, car ce qu’on appelle données dans le monde des sites sociaux recouvre plusieurs réalités différentes (voir notre dossier Critique du Web²). Il distingue ainsi : Des “données de services” : les données que vous confiez à un site social afin de l’utiliser. Ces données peuvent inclure votre nom légal, votre âge voir le numéro de votre carte de crédit.Les “données divulguées”, c’est-à-dire celles que l’utilisateur publie sur ses pages : billets de blogs, photographies, messages, commentaires.Les “données confiées”, c’est-à-dire celles que l’utilisateur publie sur les pages des autres. Image : exemple de flux de données dans les médias sociaux par Anne Helmond.
Mise En Réseau : allez vous faire voir… ça peut vous servir ! Réseaux : le degré d'implication ne tient pas au nombre de connexions Pour mesurer l'influence d'un individu sur une plate-forme collaborative, il ne faut pas regarder le nombre de ses contacts, même importants. Mais identifier la force du lien social qui le lie avec d'autres. La qualité des liens entre les membres d'un réseau social ne se résume pas à leur simple connexion, rappelle une équipe des universités de Victoria et de Colombie Britannique (Canada). Selon elle, les modèles traditionnels - comme celui de l'étude des nœuds de connexion - ne suffisent pas à traduire l’intensité et le niveau d’implication d’un internaute sur un réseau social donné. L'existence des "amis imaginaires" domine aujourd’hui sur les sites collaboratifs, les internautes se liant avec des individus avec qui ils n'échangeront ensuite pas d'informations : leur degré de connexion et d’échange restant au stade du symbolique ajout. Mesurer l'implication C'est-à-dire le degré d'implication des acteurs d'une même plate-forme.
Les "Groupes" de Facebook suscitent un tollé - LEXPANSION Le site de socialisation Facebook est confronté à un tollé de ses utilisateurs, inclus sans le vouloir dans des "groupes" d'amis formés sur le site, une innovation pourtant censée leur donner plus de contrôle dans la gestion de leurs informations. Deux autres innovations annoncées mercredi ne font pas débat, même si certains jugent qu'elles pourraient être affinées: l'une permet de télécharger toutes les informations qu'on a confiées au réseau social, afin de pouvoir les utiliser sur d'autres supports, et l'autre de mieux contrôler les applications utilisées et les données qu'on leur confie. En revanche, la fonction "Groupe", qui remplace une application de liste d'amis largement ignorée, a suscité un tollé. Jason Calacanis, une des figures les plus connues de la Silicon Valley, s'est ainsi rendu compte que l'un de ses "amis" de Facebook l'avait inscrit sans le consulter à un groupe d'une association prônant "l'amour homme/garçon". Là encore, M.
Le marketing prend en charge la communication sur les réseaux sociaux Les entreprises investissent désormais massivement dans les réseaux sociaux. Une stratégie et un budget de communication confiés dans 70% des cas au service marketing, indique une récente étude du cabinet King Fish Media. Difficile en 2010 de faire l'impasse sur une stratégie de communication orientée vers les réseaux sociaux, souligne un récent rapport publié par le cabinet King Fish Media. Les community managers sont des putes J’ai lancé cette phrase à Ouessant lors d’une conférence. Comment vais-je la concilier avec le cours et la conférence publique que je donnerai la semaine prochaine à Lausanne dans le cadre d’une nouvelle formation lancée par le Centre suisse d’enseignement du marketing (SAWI). Leur objet sera justement la gestion des communautés. Depuis que je tiens mon blog, je suis un community manager. J’essaie de répondre aux commentateurs, j’écris parfois des articles pour préciser ou répéter ce que j’ai déjà dit, je dialogue avec mes lecteurs sur Twitter, un peu sur Facebook, j’interagis avec d’autres blogueurs à travers leurs propres articles quand ils croisent mes sujets de réflexions, je suis toujours disponible pour des rencontres IRL chez moi, dans les cafés, lors de débats. Suis-je pour autant une pute ? Comme toute communauté, elle se transforme sans cesse. Maintenant, quand une entreprise embauche un community manager, a-t-elle les mêmes objectifs que moi ? Et ne me traitez pas ne naïf.