Les trois forêts comestibles - PermacultureLe chant des cerises Une forêt comestible peut prendre des formes très variées, puisque dans son sens le plus épuré, il s’agit d’un assemblage harmonieux (polyculture) d’espèces vivaces. Mise à part une petite portion de notre terrain que nous réservons à une culture intensive d’espèces annuelles (le potager), nous voulons remplir la majorité de l’espace avec des plantes vivaces utiles à nos besoins, et nous voulons le faire d’une manière qui produise une abondance de produits (aliments, matériaux …), qui réduise la maintenance au minimum, et qui ne dégrade pas (voir améliore par endroit) l’écologie du lieu. Les articles précédents se sont concentrés sur la partie pentue du terrain, car c’est la partie la plus grande et qui demande le plus de « soins« . Pour les autres parties du terrain, le choix est plus libre —même s’il existe aussi des contraintes propres — concernant les espèces ou les formes de la forêt comestible.
Vegetables to grow in winter: a how-to guide With the help of a bit of cover, and carefully selected varieties of seeds, it is possible to grow vegetables and herbs all year round in the United Kingdom, and presumably therefore in other temperate countries that have frosty winters.In my corner of Scotland, away from the sea and up in the hills, there is only one month of the year that can be guaranteed to be frost free and that is July. Most years we cannot grow courgettes or runner beans outside without cover. In our case, experimenting has paid off and we often have more produce in winter than in summer. Why grow vegetables in winter? There are a number of advantages to growing vegetables in winter: Mature overwintered veg keeps growing until December under cover, stands for the winter then comes away fast in February. Protecting plants from frost Any protection that you can give plants over the winter will help them, although there are a number of things you can grow with no protection at all. Starting seeds & succession sowing
INDE: Colère après l’empois... Droit aux buttes Jardins en buttes à l'écocentre du périgord On les voit fleurir un peu partout, elles représentent une vraie révolution dans notre relation au sol et notre façon de cultiver. Symboles par excellence de l’agroécologie mais surtout de la permaculture (avec la poule), elles n’en sont pourtant qu’un élément parmi d’autres. Elles représentent l’antithèse du jardin à la papa : un espace riche et vivant, résistant à la sécheresse, à l’excès de pluie, un espace multidimensionnel extrêmement productif qui peut même être auto-fertile. L’observation et l’imitation de la Nature nous ouvre de nouvelles portes délivrées du travail du sol, des intrants chimiques et du pétrole, pour une agriculture non plate, non linéaire, vivante et qui crée de la fertilité. C’est Emilia Hazelipp qui semble avoir importé la culture sur butte en France. Mais quels sont les avantages de cette culture étrange qui demande pourtant un gros travail de mise en place? tout d’abord, elle évite de se baisser. J'aime :
Combien faudrait-il de producteurs en France pour manger bio et local ? C’est une question qui revient régulièrement : combien de paysans devrait-on avoir à proximité de nos villes ou communes, si l’ensemble des citoyens décidait de relocaliser leur alimentation, en plus de passer au tout bio ? L’association Terre de Liens nous apporte des éléments de réponse. On parle régulièrement des bons conseils à appliquer pour adopter un rythme de vie sain, afin d’optimiser son propre bien-être et garantir une bonne santé pour la planète. Les vraies bonnes idées sont intéressantes surtout lorsqu'elles se concrétisent. Avant de voir chaque Français se rendre directement à la ferme pour y cueillir ses légumes et discuter avec l’agriculteur, il faut connaitre les conséquences que peuvent avoir la mise en place d'une agriculture bio généralisée et une relocalisation de l’alimentation. L’association Terre de Liens Normandie a lancé un outil sur internet qui évalue le nombre de producteurs nécessaires pour que les français puissent consommer à la fois bio et local.
Le sol, un milieu vivant en danger Les échos du développement durable : Le sol, un milieu vivant en danger Depuis l’invention de l’agriculture sédentarisée il y a 10 000 ans environs, l’humanité a créé deux milliards d’hectares de désert dont un au cours du vingtième siècle. À l’heure actuelle l’humanité et ses 6,8 milliards d’êtres humains, dispose encore d’environ 1,5 milliard d’hectares de sol cultivé pour se nourrir, ce qui correspond à 2 400 m² par habitant. Avant de parler d’agronomie et du constat alarmant présenté en introduction, il est important de définir ce qu’est un sol et quelles sont les grandes bases de son fonctionnement. La pratique du labour si fermement ancrée dans l’esprit des agriculteurs tient une responsabilité importante face à l’agonie des sols. La très grande majorité des sols agricoles sont arrivés à ce dernier stade de dégradation. Le sol, comme le pétrole, est une ressource « finie » sur cette planète ; mais contrairement au second, on ne peut pas vivre sans lui car il nous nourrit.
Palme : Une huile qui fait tache - Le doc. du dimanche - 2 juin 2013 S’initier à l’agroécologie : mode d'emploi - Transition Avis aux jardiniers en herbe, aux paysans et aux citoyens curieux : cet été, Basta ! vous initie à l’agroécologie. Ou comment apprendre à se passer de pesticides, à dépenser beaucoup moins d’eau, à planter en hiver sans chauffer ses serres, à semer sans payer de redevances à l’agrobusiness, tout en produisant ce que l’on souhaite pour se nourrir. Visitez avec nous la ferme expérimentale de l’association Terre et Humanisme, installée au cœur de l’Ardèche, véritable laboratoire des techniques agroécologiques. Reportage et vidéos. Un climat rude, des terres arides, criblées de roches. « C’est dans ce milieu géologique et climatique difficile qu’on apprend le plus de choses », sourit Erik, agronome, en charge des jardins potagers de la ferme. Quatre fois moins d’eau que dans l’agriculture intensive En terme de rendements, la production maraîchère du mas de Beaulieu n’a rien à envier aux productions intensives classiques. De l’Ardèche au Sahel Étape n° 1 Étape n° 2
L'agriculteur qui prépare la révolution open-source (source : TED) Au cours de ses longues études, Marcin Jakubowski n'a cessé de s'interroger sur les capacités de la science à répondre à nos besoins concrets. Un doctorat de physique nucléaire en poche, cet Américian d'origine polonaise a délaissé les paillasses et les équations pour s'offrir une ferme dans le Missouri... et un tracteur. Jusqu'à ce jour de 2008 où la machine tomba en panne. Refusant de débourser 30 000 dollars pour acquérir un nouveau tracteur, Jakubowski décide de fabriquer le sien : un outil simple, fonctionnel, que l'on peut mettre à niveau à souhait, et surtout, plus rentable qu'un tracteur classique sur le long terme. le "LifeTrac" (source : TED) Travailler ensemble Il ne lui faut que trois mois et 6 000 dollars pour mettre au point le premier LifeTrac, une machine obtenue grâce à l'assemblage de tubes d'acier. Le "kit de construction du village global" (source : TED)
Plantes & Animaux en Permaculture : PagePrincipale Bienvenue ! Ce site est en cours de développement, il contient pour l'instant assez peu d'informations... Merci de votre indulgence. des fiches par plante et par animal (ou autre êtres vivants qui peuvent être intégrées dans un design en permaculture) des listes de plantes ou d'animaux répondant à certains critères (exemple plantes d'ombre) un référencement des outils en ligne pour faire des recherches sur les plantes et autres. PlantesWeb, ChampignonsWeb Menu de droite - accès à des fenêtres modales pour des explications sur comment remplir une fiche, que signifie les infos d'une fiche, des légendes... Barre de Menu horizontale Comment organiser l'accès aux pages ? Fiche par plante Fiche par animal, insecte, champignon, etc. Liste de liste Une page qui liste toutes les listes utiles. Fiches techniques Fiches techniques, de compréhension, d'explication, de savoir-faire... Tableur Idées de gestion du site