DIF droit individuel à la formation Dernière mise à jour le 11 mars 2014 Synthèse Le droit individuel à la formation (DIF) a pour objectif de permettre à tout salarié de se constituer un crédit d’heures de formation de 20 heures par an, cumulable sur six ans dans la limite de 120 heures. L’initiative d’utiliser les droits à formation ainsi acquis appartient au salarié, mais la mise en oeuvre du DIF requiert l’accord de l’employeur sur le choix de l’action de formation. La formation a lieu hors du temps de travail sauf disposition conventionnelle contraire ; elle est prise en charge par l’employeur selon des modalités particulières. Le DIF étant un droit reconnu au salarié, celui-ci est libre ou non de l’utiliser. A savoir Sommaire Fiche détaillée Qui peut bénéficier du DIF ? Peuvent bénéficier du DIF : Les salariés en contrat de travail à durée indéterminée ayant au moins un an d’ancienneté dans l’entreprise. Les salariés en contrat à durée déterminée (voir ci-dessous « Dispositions spécifiques aux salariés en CDD »).
LES CONDITIONS DE TRAVAIL DANS LES MAISONS DE RETRAITE - Efficience Ergonomie - avec theme dotclear L’ergonomie s’intéresse aux conditions de travail dans de nombreux secteurs et aux troubles musculo-squelettiques que ces différentes professions peuvent engendrer. Rappelons que les troubles musculo-squelettiques regroupent un grand nombre de maladies chroniques affectant les muscles, les tendons et les nerfs au niveau des articulations, du dos, des membres supérieurs et inférieurs. Ils se caractérisent par des douleurs et des gênes lors des mouvements qui peuvent devenir très handicapantes pour les personnes atteintes. Dans le secteur sanitaire et médico-social, les troubles musculo-squelettiques (T.M.S) contribuent beaucoup à la difficulté du travail et expliquent le fort taux d’absentéisme, avec les conséquences que l’on sait sur l’organisation et la qualité du service apporté aux malades ou aux résidents des maisons de retraite. Le personnel soignant du secteur médico-social est particulièrement exposé. Les constats Les recommandations
Présentation de l'EIRL L'Entrepreneur Individuel à Responsabilité Limitée donne la possibilité à tout entrepreneur individuel de mettre ses biens personnels à l’abri de ses créanciers professionnels. Cette "mise à l'abri" se fait : en séparant votre patrimoine personnel de votre patrimoine professionnel (biens utilisés pour travailler). en indiquant ce que vous mettez dans votre patrimoine professionnel : en affectant vos biens professionnels à votre activité : le patrimoine affecté. Ainsi, le patrimoine personnel devient une garantie pour les créanciers en cas de défaillance de l'individu (organismes de crédit, impôts...) et le patrimoine professionnel devient une garantie pour les créanciers professionnels (fournisseurs, impôts, banques ...) en cas de défaillance de l'entreprise. L'EIRL n'est donc pas une nouvelle forme juridique d'entreprise puisqu'il s'agit : En orange, les éléments qui composent l'EIRL
Conditions de vie-Société - Qualité de vie et bien-être vont souvent de pair Marie-Hélène Amiel, Pascal Godefroy et Stéfan Lollivier, Insee Résumé Les adultes vivant en France métropolitaine déclarent en 2011 un niveau moyen de satisfaction dans la vie de 6,8 sur une échelle allant de 0 à 10. Si 13 % d’entre eux estiment leur bien-être à 9 ou 10, ils sont 7 % à le situer à moins de 5 sur l’échelle de satisfaction. Ce ne sont pas seulement les restrictions monétaires, contraintes financières ou faibles revenus, qui vont de pair avec une moindre satisfaction. Une enquête inédite montre que d’autres aspects de la qualité de vie, comme la faiblesse des liens sociaux ou le stress dans la vie courante, jouent autant, voire davantage que les contraintes financières. Sommaire Encadrés Publication En moyenne, sur une échelle de 0 à 10, les adultes situent leur bien-être à 6,8 De nombreuses initiatives ont vu le jour en France suite à la rédaction du rapport sur la mesure du progrès économique et social (rapport Stiglitz). Graphique - Satisfaction dans la vie en général Encadrés
Pénibilité au travail Mise à jour le 01.01.2015 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) Principe Nouveaux facteurs de pénibilité en 2016 - 01.01.2015 Au 1er janvier 2016, de nouveaux facteurs de pénibilité s’appliqueront. La loi du 20 décembre 2014 relative à la simplification de la vie des entreprises prévoit que d'ici le 30 juin 2015, le Gouvernement remettra au Parlement un rapport sur la mise en œuvre du compte personnel de prévention de la pénibilité. Dans l'attente, notre page reste d'actualité. Toute entreprise doit prévenir la pénibilité au travail, quels que soient sa taille, son statut juridique et ses activités. Obligation générale de prévention de la pénibilité L'employeur doit prendre les mesures nécessaires pour prévenir la pénibilité. La pénibilité se caractérise par une exposition, au-delà de certains seuils, à un ou plusieurs facteurs de risques professionnels pouvant laisser des traces durables, identifiables et irréversibles sur la santé. Salarié concerné
E-transformation L'introduction des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans les organisations conduit à s'interroger sur leurs possibles effets sur le travail et les conditions de sa réalisation. En fait, il convient plutôt de parler d'interaction entre les technologies et le travail. Car les nouvelles technologies changent bien sûr le travail, mais de nouvelles organisations du travail appellent en retour l'émergence d'outils adaptés à un contexte en évolution. Ce qui est apparu ces dernières années, c'est l'utilisation massive des technologies de l'information dans tous les secteurs de l'activité, et dans pratiquement tous les métiers: les salariés utilisent couramment des outils de gestion de l'information et des outils de communication issus de l'informatique. La nature du travail elle-même a changé. Ce qui change encore aujourd'hui, ce sont les technologies et les outils permettant de traiter toujours plus d'information, et plus rapidement.
Services à la personne Le secteur des SAP est connu par la forte croissance de son activité, des structures et de l’emploi. Deux lois ont participé à modeler profondément le secteur : la loi de janvier 2002 et celle de juillet 2005. Les partenaires sociaux ont également produit des textes conventionnels importants, dont celui sur la modulation qui modifie significativement les organisations, l’organisation du temps de travail, les modalités de réalisation des services, les données économiques et sociales des structures du secteur, avec des effets qui restent à mesurer en matière de conditions de travail. La crise n’est aussi pas sans effet sur de nombreuses structures du secteur. Des premières structures ferment leurs portes et les réseaux en subissent le contrecoup. L'Anact vous propose dans ce dossier :