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Peers - Welcome to the Sharing Economy

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Agenda Du 11 au 13 septembre aura lieu la rencontre internationale "Humanisme & Mindfulness : une éducation pour le XXIème siècle" parrainée par Edgar Morin, Pierre Rabhi et Denys Rinpoche. Cette rencontre à pour but de contribuer au dialogue et à la coopération pour une intégration authentique et harmonieuse de la Mindfulness dans l’éducation. Aujourd’hui, le développement des recherches scientifiques sur la Mindfulness (pleine présence - pleine conscience) et leurs nombreuses applications sociétales, sont au cœur de nouvelles perspectives concernant les sciences de la santé, l’éducation et le bien vivre ensemble. Au programme, sept conférences plénières, suivies de tables-rondes sur les relations entre la pleine conscience et l’humanisme, les neurosciences, l’éducation à tous les âges de la vie et la citoyenneté.

La génération G - microDON À l’inverse de la génération X (les personnes nées dans les années 60 et 70) et de la génération Y (née essentiellement dans les années 80), la génération G ne se définit pas selon des critères démographiques ou sociologiques. La génération G se compose d'individus, consommateurs et citoyens, pour qui la générosité, l’échange, l’attention portée aux autres, constituent des éléments de satisfaction personnelle. Cette génération ne cherche pas son statut social dans la consommation, mais dans un comportement responsable, citoyen, tourné vers les autres. Générosité et partage sont d’autant plus naturels pour cette génération qu’elle a été nourrie à la culture du web et qu’elle a intégré les principes du développement durable. La génération G vit dans une société du partage qui se nourrit des valeurs du web : c’est à dire abreuvée d’une culture d’individus qui donnent, participent, créent et collaborent. L’engagement des marques dans une grande cause serait un facteur déclenchant l’achat.

Économie collaborative : Pourquoi Jeremy Rifkin se plante sur toute la ligne Par Eric Raymond. J’ai reçu une note de l’éditeur de Jeremy Rifkin m’indiquant que l’auteur a procédé lui-même à une demande afin qu’il m’adresse une copie de son dernier livre intitulé La nouvelle société du coût marginal zéro. La raison en est très claire : comme j’ai écrit sur l’économie des logiciels libres, il pense que je lui fournis l’un des cas paradigmatiques de son livre, à savoir la destitution des marchés de biens rares par la production à coût marginal nul. L’ouvrage de Rifkin est le prolongement de l’argument selon lequel cette production à coût marginal nul est une tendance émergente qui va non seulement faire tomber en désuétude le capitalisme tel qu’on le connait mais, en plus, va entraîner avec elle toutes les formes de propriétés privées.

La gauche ne peut pas mourir, par Frédéric Lordon (Le Monde diplomatique, septembre 2014) Dans le débat public ne circulent pas que des sottises : également des poisons. De toutes les navrances complaisamment relayées par la cohorte des experts et éditorialistes, la plus toxique est sans doute celle qui annonce avec une gravité prophétique la fin des catégories « droite » et « gauche », et le dépassement définitif de leur antinomie politique. On n’a pas assez remarqué la troublante proximité formelle, et la collusion objective, du « ni droite ni gauche » de l’extrême droite et du « dépassement de la droite et de la gauche » (« qui ne veulent plus rien dire ») de l’extrême centre. Passe alors un premier ministre qui vaticine que « oui, la gauche peut mourir (1) », trahissant visiblement sous la forme d’une sombre prédiction son propre sombre projet, et la cause semble entendue. A plus forte raison quand lui emboîtent le pas quelques intellectuels : « La gauche est déjà morte ; ce qui en survit est soit pathétique, soit parodique ; si on s’occupait d’autre chose ?

L’émergence de la génération G : comportement consommateur, générosité, relation marque client Et si l’accélération des tendances de consommation provoquée par la crise avait des retentissements plus grands que les marques ne l’envisagent ? Régulièrement, des études montrent la prise de distance qu’opèrent les consommateurs vis-à-vis des marques, voire de la consommation. Fin octobre, une enquête de TNS Sofres, pour l’agence Australie, indiquait encore que 59 % des Français s’estiment indifférents vis-à-vis des marques. Au-delà, 43 % disent ne pas avoir envie de dépenser pour le plaisir. Se prêter des livres entre particuliers, une fraude pour l'industrie du livre Les fondateurs de Booxup, application de partage de livres papier, ne s'attendaient certainement pas à une telle visite. Leur application permet d'enregistrer sa bibliothèque personnelle et de consulter celle des autres utilisateurs : dès lors qu'un titre intéresse, il suffit d'entrer en contact avec l'utilisateur, et de le rencontrer pour un éventuel emprunt. Un inspecteur de la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes s'est présenté à la porte du bureau, et pas pour emprunter un livre... Le numérique et la fraude, un vieux refrain (GotCredit, CC BY 2.0) « Inutile de dire que la visite nous a surpris, et nous a même fait flipper », admet David Mennesson, cofondateur de l'application Booxup. La quiétude du 5e étage de l'hôtel particulier où sont installés les bureaux de la start-up a été interrompue par la visite d'un inspecteur de la DGCCRF, administration française relevant du Ministère de l'Économie.

Editions REPAS - Edition REPAS - Evènements Exposition sur Boimondau à la Médiathèque de Valence Un livre au centre d'une histoire revisitée : Il est le fruit de trois années d'un parcours de quête de l'Histoire des communautés de travail et de ces hommes qui les ont « habitées », d'un travail de recherche dans les archives, et de la rencontre des derniers témoins, pour un recueil de paroles qui tente de saisir ce qui a constitué l'essence même de la vie quotidienne de cette expérience. Boimondau, une expérience pour éclairer aujourd'hui ? La journée proposée vise à revisiter l'histoire et le territoire dans lesquels s'inscrivent encore fortement les traces de l'aventure hors normes des communautés de travail.

Concierge Durable lauréate du prix Femmes pour le Développement Durable 2013 Par Concierge Durable dans Développement durable le 14 octobre 2013 Le 7 octobre 2013, à Paris, les jurys des magazines du groupe Mondadori, en partenariat avec la marque Yves Rocher, ont remis les Prix Femmes pour le Développement Durable. 8 lauréates ont été sélectionnées en raison de leur action au quotidien pour un monde plus éthique, plus solidaire, plus soutenable. Martine Payeur, avec son entreprise Concierge Durable, a été élue par le magazine Biba. Améliorer la qualité de vie des collaborateurs pour renforcer leur productivité et leur créativité, tout en agissant pour le bien-être de tous. La qualité de vie au travail et la RSE/O sont devenus des sujets primordiaux pour les DRH, les syndicats et même les responsables du développement commercial. En effet, en temps de crise il est d’autant plus important de séduire puis fidéliser les collaborateurs stratégiques, de s’assurer de l’implication de ses équipes, en les incitant à être plus créatives et responsables.

Le crowdsourcing, tout le monde en parle… mais de quoi s’agit-il vraiment ? Un changement de paradigme économique et de comportements consommateurs Economie participative, collaboration, crowdfunding, crowdsourcing, échange, réseaux sociaux… En 2013, une étude Ademe Ipsos, Les Français et les pratiques collaboratives, révèle que de plus en plus de clients prennent part à l’économie participative. CitizenSeeds - Français - P2P Food Lab Sol et terre Pour l’expérience CitizenSeeds, il est préférable de semer dans un sol et sur une superficie similaire. Or, c'est le paramètre le plus difficile à adapter car les jardins des uns ne ressemblent pas aux balcons des autres.

Crowdfunding : l’Américain Kickstarter franchit le milliard de dollars levés Le pic d’utilisation a été atteint le 13 mars dernier avec 4 millions de dollars levés La plateforme américaine de crowdfunding Kickstarter annonce avoir franchi aujourd’hui la barre du milliard de dollars de fonds engagés auprès de 5,7 millions de contributeurs. Parmi ces derniers, plus de 1,6 million ont soutenu plusieurs projets, et un peu moins de 16 000 aficionados ont participé à plus de 50 d’entre eux. La société précise que la moitié de ce montant a été levée dans les 12 derniers mois, alors qu’elle a démarré son activité il y a quatre ans. Un piuc a même été atteint le 13 mars dernier avec plus de 54 000 internautes et 4 millions de dollars levés en une seule journée. En tête du classement des pays les plus donateurs, on retrouve les Etats-Unis (plus de 600 millions de dollars financés), suivis, loin derrière, du Royaume-Uni (54 millions de dollars).

La givebox, la boîte qui donne de la générosité Inventée à Berlin il y a trois ans, la Givebox (littéralement « boîte à donner ») s’est propagée un peu partout dans les rues de la ville. Son principe est basé sur l’échange, on y dépose ce dont on ne se sert plus et on y prend ce qui nous intéresse. Depuis, elle est apparue au Canada, en Espagne, en Angleterre mais aussi en France dans des lieux associatifs ou culturels. L'économie collaborative peut-elle faire baisser la dépense publique ? Emploi et politiques sociales L’économie du partage est en train de bouleverser, en quelques années seulement, plusieurs secteurs économiques. Désormais devenu incontournable pour de nombreux consommateurs, l’économie collaborative prend un poids considérable et est en train de bouleverser notre façon de consommer, de nous loger et de voyager. D’autant que cette dernière ne se cache pas de venir concurrencer sur leurs terrains, les acteurs de l’économie traditionnelle, pour proposer des services la plupart du temps moins chers aux utilisateurs.

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