background preloader

Conception du monde des Amérindiens et liens avec l'organisation de la société

Conception du monde des Amérindiens et liens avec l'organisation de la société
En raison de l'absence de traces écrites, nos connaissances actuelles sur les croyances des Amérindiens de l'époque précoloniale sont basées principalement sur des suppositions et sur des reconstructions culturelles faites très souvent au 19e siècle et pendant les siècles suivants.Ce qui suit constitue donc des exemples possibles de certaines croyances amérindiennes, mais ne s'applique sans doute pas à toutes les nations amérindiennes. Cercle de vie Chez certains Amérindiens, tout est vu et décrit comme un cercle. Les étapes de la vie, le monde et les objets sont perçus de cette façon. Les grandes forces du monde, la terre, le ciel et les étoiles forment un cercle. Les objets tendent également à être des cercles (les nids d'oiseaux par exemple). Les objets sacrés de certains peuples amérindiens représentent le cercle et les lignes de force du monde. Tradition orale Chez les Amérindiens, l'écriture ne fait pas partie de la culture traditionnelle. Spiritualité Aînés Expression du sacré

Bienvenue au centre ethno-culturel KANATHA-AKI ! Bienvenue au centre ethno-culturel KANATHA-AKI ! Qui n'a jamais rêvé de découvrir la culture amérindienne et de vivre au coeur de la forêt laurentienne une expérience unique ? La société 8ATAPI (RACINE en Algonquin) vous invite à remonter aux sources de la philosophie et des traditions algonquines sur son site ethno-culturel KANATHA-AKI. Situé aujourd'hui sur les terrains des Étangs Tremblant, à Val-des-Lacs au nord de Montréal, vous trouverez le dépaysement total dans une reconstitution de village amérindien. Été, automne, hiver ou printemps, le centre ethno-culturel KANATHA-AKI vous accueille toute l'année dans une nature sauvage située à l'entrée du territoire ancestral des Algonquins. Que vous soyez du Québec ou de partout ailleurs dans le monde, l'ex-grand chef Dominique T8aminik Rankin vous accueillera chaleureusement et vous guidera dans votre visite du site. Vous trouverez dans ce site web les détails des activités et des forfaits proposés sur le site KANATHA-AKI.

La Loi sur les Indiens pour les nuls Commis le 1 février 2013 par La Fille Après le passage de Roméo Saganash et de Michèle Audette à Tout le monde en parle dimanche passé (à 1:11:00 dans la vidéo, si vous ne voulez pas vous taper l'épisode au complet), j'ai eu vraiment envie d'écrire un article vulgarisant les grands points de la Loi sur le Indiens. J'étais abasourdie de remarquer les exclamations étonnées de l'assistance tout comme des invités sur le plateau. Naïvement, très naïvement, je croyais que les grandes lignes de cette loi étaient connues du commun des mortels. J'ai constaté que non seulement elles ne le sont pas, mais qu'en plus, leur méconnaissance entretient chez ce même commun des mortels des préjugés immenses quant aux réalités des Premières Nations. Peu importe, je reprends le flambeau. Une affaire poussiéreuse que l'on traine depuis plus d'un siècle La Loi sur les Indiens se nommait lors de sa création en 1876 l'Acte sur les Sauvages. Des citoyens mineurs qu'il faut assimiler au plus vite C'est un tiers.

Capteur de rêves Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Boucle d'oreille repésentant un capteur de rêves fait à Tobati (Paraguay). Un capteur de rêves Un capteur de rêves dreamcatcher Dans la culture amérindienne, un capteur de rêves ou attrapeur de rêves est un objet artisanal ojibwé appelé asubakatchin composé d'un anneau, généralement en saule, et d'un filet lâche. Fonction[modifier | modifier le code] De nos jours, les capteurs de rêves sont accrochés sur le bord de la fenêtre, là où le soleil se lève, afin que la lumière du jour puisse détruire les mauvais rêves qui se sont installés dans les perles de la toile. Il existe des contes en langue sioux racontant une légende, l'histoire d'Iktomi, l'araignée à l'origine du capteur de rêves, qui n'est pourtant pas originaire de cette culture (il n'existe même pas de mot dans cette langue pour cet objet). Selon la culture huronne, les humains font tous partie du Grand Esprit, créateur de la nature et des hommes. Mythes[modifier | modifier le code]

Le site de l'Histoire. Voyages historiques et culturels Les premiers occupants - Les Cris et les Algonquins History Learning Site Kanehsatake, 270 ans de résistance Biographie - Malcolm X (Malcolm Little) Biographie de Malcolm Little (alias Malcolm X) MALCOLM LITTLE, connu plus tard sous le nom de Malcolm X, est né le 19 mai 1925 à Omaha, son père Earl était pasteur de l'Eglise bâptiste et militant de la Universal Negro Improvement Association, fondé par Marcus Garvey (pasteur d'origine Jamaïquaine et qui préconisait le retour des noirs d'Amérique vers l'Afrique), sa mère Louise était d'origine antillaise et avait la peau très blanche car sa mère avait été violé par un blanc ; elle détestait son tint blanc. Malcolm était le quatrième enfant né du couple mais le septième de son père qui avait eu trois enfant d'un précédent mariage, après lui vinrent encore deux enfants. Malcolm est de ses frères et soeurs celui qui à le tint le plus blanc, ses cheveux crépus, comme sa peau, sont roux. Malcolm décide alors de quitter ce lycée et ce milieu blancs qu'il ne veux plus fréquenté. En août 1952, Malcolm Little sort de prison. "Je ne craignais pas la mort. "Cher Papa, je t'aime tant. Commentaires :

L'aventure de la baie James | Tout le monde en parlait L'aventure de la baie James En avril 1971, le premier ministre Robert Bourassa présente son projet du siècle: transformer l'eau des rivières de la baie James en électricité. Les Cris apprennent que leur territoire sera en partie inondé. Les Cris s'opposent au projet et obtiennent provisoirement l'arrêt des travaux devant le juge Malouf, ce qui a finalement conduit toutes les parties à signer, en 1975, le premier traité moderne avec les Autochtones: la Convention de la baie James et du Nord québécois. Nos relations avec les Autochtones ont été à jamais changées... tout comme le paysage de la baie James. Invités: Billy Diamond, ex-grand chef des Cris; James O'Reily, avocat des Cris; John Ciaccia, négociateur de la Convention de la baie James pour le gouvernement québécois; Armand Couture, ex-président d'Hydro-Québec et ex-négociateur de la Convention de la baie James.

John ROSS (1790-1866), Chef Cherokee du nord de la Géorgie John Ross, en Cherokee "Coowescoowe," est né le 3 octobre 1790, à Turkey Town située à la périphérie nord de Gadsden, au bord de Coosa River en Alabama . De père Ecossais et de mère Cherokee, surnommé Tasman-Usda (Little John). La famille se transportera un peu plus tard au pied de Lookout Moutain une région qui devint Rossville en Géorgie. Ascendance William Shorey, interprète pour la garnison au Fort Loudoun épousa une femme Cherokee appelée Ghigooie, ou "sweetheart" ". John Ross était donc le fils de Daniel Ross, un Ecossais de Sutherlandshire, rendant John Ross 1/8 cherokee. Jeunesse Daniel Ross créa son commerce à Chattanooga Creek près du pied de Lookout Mountain où il travailla environ jusqu'en 1816. Alors qu'il était encore très jeune, la grand-mère de John habillait le petit John Ross tout de blanc pour jouer dehors. En 1809, à l'âge de 19 ans, John Ross fut envoyé en mission officielle chez les Cherokees de l'Ouest par Return J. Guerrier Homme d'affaires Diplomate Gold Rush

Silicon Valley: les secrets d'une r?ussite A la différence des sociétés d'informatique de la Route 128 près de Boston, celles de la Silicon Valley entretiennent des relations de coopération et de concurrence étroites entre elles et les institutions locales. Pour Anna Lee Saxenian, cette organisation en réseau, ouverte sur l'environnement extérieur, est la clé de la réussite de la mythique Silicon Valley. Ceux qui étudient le développement régional considèrent en général la Silicon Valley et la Route 128 (dans le Massachusetts, près de Boston) comme des exemples classiques de dynamisme. Une dynamique qui s'est constituée grâce à l'accumulation de compétences technologiques, de capital-risques, de l'agglomération de fournisseurs et de services spécialisés, de la présence d'infrastructures et enfin de l'essaimage des savoirs, rendu possible par la présence d'universités et de flux d'informations informels. Des données régionales illustrent les différences de leur sort. Réseaux régionaux versus firmes indépendantes Anna Lee Saxenian

Histoire. Maccarthysme . La Chasse aux Sorcieres aux Etats-Unis La naissance du maccarthysme Le 19 février 1950, à l’occasion d’une conférence, le sénateur J. McCarthy s’attaque avec virulence au communisme. A ses yeux, le communisme représente un danger mondial mais également un fléau au sein même des institutions américaines. Il affirme que des espions communistes se sont infiltrés dans l’Administration et occupent des postes clefs au sein même du gouvernement. Il encourage donc tous les Américains à mener une croisade pour démasquer ces traîtres qui mettent en péril la vie de la Nation. Contre toute attente, ce discours farfelu et sans aucun fondement va se répandre dans toute l’Amérique. Le maccarthysme est né. Qui était Joseph McCarthy ? Irlandais d’origine et catholique, McCarthy est un sénateur républicain. En 1950, quand il fait son discours qui a déterminé la suite des évènements, son mandat arrive à expiration. J. Il est fort probable que cette campagne s’est inspirée de certaines déclarations. La chasse aux sorcières < Histoire

Brève histoire de l’immigration aux États-Unis | Europe-Hollywood Promotion de la construction de la Statue de la Liberté dans la presse new-yorkaise en 1884 L’immigration européenne constitue un élément fondateur et fondamental de l’histoire des États-Unis, sorte de leitmotiv de son développement. Elle est la raison majeure de sa naissance comme de son évolution et ne connaît pas de récession véritable jusqu’à aujourd’hui. Des phases historiques différentes peuvent être identifiées au sein de ce gigantesque réseau migratoire, en raison des facteurs historiques et politiques motivant les flux ou des aires culturelles concernées. Cinq grandes vagues migratoires sont ainsi généralement déterminées par les historiens : du XVIIème siècle au début du XIXème siècle, de 1820 à 1900, de 1900 à 1921, de 1921 à 1965 et enfin de 1965 à nos jours. 1820 : l’institutionnalisation de l’accueil et du recensement des migrants Ces premiers registres vont constituer le point de départ d’un référencement des migrants qui s’institutionnalise à partir de 1867.

Related: