Liste de créatures légendaires Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette liste regroupe les créatures légendaires (ayant un article dédié), c'est-à-dire des créatures dont l’existence, non prouvée de manière scientifique, repose sur des croyances passées ou actuelles. Elle ne reprend pas les divinités ayant fait l'objet de cultes. Les créatures fictives modernes de la fantasy et de la fiction ne sont pas incluses. A[modifier | modifier le code] B[modifier | modifier le code] C[modifier | modifier le code] D[modifier | modifier le code] E[modifier | modifier le code] F[modifier | modifier le code] G[modifier | modifier le code] H[modifier | modifier le code] I[modifier | modifier le code] J[modifier | modifier le code] K[modifier | modifier le code] L[modifier | modifier le code] M[modifier | modifier le code] N[modifier | modifier le code] O[modifier | modifier le code] P[modifier | modifier le code] Q[modifier | modifier le code] R[modifier | modifier le code] S[modifier | modifier le code] T[modifier | modifier le code]
ACCUEIL - Enluminure - enluminure traditionnelle - Enluminures médiévale - Enluminure médiévale - Enluminures peintures médiévales - Peintures à l'huile Traditionnelles Pigments Techniques médiévales- Stage Jeux de princes, jeux de vilains Mémoire et miroir de la société On a dit parfois que les jeux précipitent – au sens chimique du terme – l’air du temps ou qu’ils forment un miroir de la société qui les pratique. Plus que cela, ils sont avant tout une mémoire. Mémoire et miroir, les jeux sont reçus d’une certaine façon par l’opinion, réception qui n’est pas étrangère à leur statut dans la société. L'image d'une société hiérarchisée Ainsi en va-t-il du jeu d’échecs, qui fonde une distinction claire entre les pièces nobles, lesquelles bénéficient de possibilités de mouvement étendues, et les pièces populaires, pour lesquelles la liberté de mouvement est réduite et qui n’ont pas de perspectives d’ascension sociale, hormis l’hypothétique promotion du pion, déjà attestée au Moyen Âge.
Manuscrits juridiques du Midi | Recherches sur la production des manuscrits juridiques enluminés du Midi de la France (XIIIe – XVe siècle) : un carrefour artistique entre le Midi, l'Italie et la Péninsule Ibérique (Castille, Catalogne et Portugal) – XIIIe fort | Patrimoine, Histoire et Multimédia La ruée vers l’or, à la fin du XIXe siècle, en a fait rêver plus d’un. Grâce à La Patrie, le lecteur a pu se faire une petite idée du difficile voyage qui attendait toute personne prête à tenter sa chance. Voici deux témoignages publiés à l’époque. AU PAYS DE L’OR __ UN VOYAGEUR DE ST-OURS FAIT LE RÉCIT DE SON PÉRILLEUX VOYAGE _ DANS LES RAPIDES __Sur le Meckenzie, 130 milles en bas du grand lac des Esclaves, 9 juin 1898.Chers oncle et tante,Notre entreprise réussit si bien que nous en attribuons le succès à la Providence: nous sommes nous-mêmes étonnés de nos tours de force. Il a été dit à St-Ours que je n’avais pas la santé pour faire ce voyage, que je me rendrais certainement pas au pays de l’or, etc. Fort Simpson le 20 septembre 1901.
Miisions et historique > Historique Missions Le service des archives collecte, conserve, trie, classe, inventorie ces documents. Il en assure la communication et la mise en valeur à des fins administratives, culturelles et éducatives. Historique Lettrine représentant les Armes de la Ville, 1460 (CC 481, folio 1) Le 3 juin 1290, l'empereur Rodolphe de Habsbourg accorde à la ville de Besançon les franchises et le statut de ville impériale. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, les archives se trouvaient à l'hôtel de ville. En 1899, les archives anciennes ont été transférées à la Bibliothèque d'étude et de conservation, tandis que les archives modernes sont restées à l'hôtel de ville jusqu'en 1959. Depuis 2007, le service des archives municipales collecte, trie et communique également les archives produites par l’administration centrale de la CAGB (Communauté d’Agglomération du Grand Besançon).
Choses lues, choses vues Le livre dépositaire d'une connaissance à ruminer ou simplement à conserver Alors que, dans le monde antique, la lecture se pratiquait dans les jardins ou sous les portiques, et que l'écrit se déployait sur les places et dans les rues, multipliant les occasions de lire, l'Occident du haut Moyen Âge ne connaît plus la lecture que dans le secret des églises, des cellules, des réfectoires, des cloîtres, des écoles religieuses, ou, parfois, à la cour du prince. Qui plus est, cette lecture se limite le plus souvent aux Écritures et à des textes d'édification spirituelle. C'est seulement dans les lieux ecclésiastiques et les monastères que fleurissent les poèmes à la gloire des livres, des bibliothèques et de la lecture. Le passage de la lecture à voix haute à la lecture murmurée ou silencieuse
Numérisation des manuscrits de l’Institut français d’études byzantines – Les carnets de l'IRHT L’Institut français d’études byzantines (IFEB) a été fondé en 1895 par la congrégation des Augustins de l’Assomption à Kadiköy, l’antique Chalcédoine, en face de Constantinople. Conçue d’abord comme une maison de formation pour le clergé catholique en Orient au sein de la Mission d’Orient assomptionniste, et pour ceux qui devaient l’instruire, les projets évoluèrent rapidement et l’équipe se tourna peu à peu vers une étude scientifique du monde byzantin, en particulier dans le domaine religieux . En 1937, l’Institut fut transféré à Bucarest et pris pour la première fois le nom d’IFEB ; en 1947-1949, l’IFEB dût quitter la Roumanie dans des conditions difficiles et s’installa à Paris. Après quelques vicissitudes, l’Institut et sa bibliothèque sont maintenant hébergés à l’Institut catholique de Paris et le fonds documentaire a été inséré dans la Bibliothèque Jean de Vernon. Cependant, les manuscrits les plus nombreux sont datables entre la fin du 16e siècle et le début du 20e siècle.
L'Histoire par l'image Les jardins qui soignent Par Christelle Strub Publié le 1er octobre 2010 Lieu de production ou de loisir, le jardin peut également soigner grâce aux plantes qui y sont cultivées, aux promenades digestives qu’il offre aux curistes des stations thermales, à l’éveil des sens qu’il suscite chez des personnes atteintes de handicap ou de troubles psychiques. Les jardins de plantes médicinales De l’Antiquité à l’essor de l’industrie chimique à la fin du XIXe siècle, les populations européennes se soignaient par les plantes. Dans notre imaginaire, ces jardins de simples sont souvent associés à l’époque médiévale. Parmi les sources disponibles pour connaître les plantes cultivées au Moyen Âge, citons : Le Capitulare de villis vel curtis imperii de Charlemagne (vers 795), qui dresse une liste des quatre-vingt neuf espèces de plantes à cultiver dans les jardins de la Couronne à travers l’empire. Il n’existe plus aucun jardin de l’époque médiévale en Alsace. Le jardin monastique d’Eschau L'origine du jardin Localisation V. V.