Concurrence
"Toupictionnaire" : le dictionnaire de politique Définition de la concurrence Etymologie : du latin concurrere, courir avec. La concurrence est une compétition, une rivalité entre des personnes, des entreprises, etc., qui ont le même objectif, qui recherchent le même avantage. En matière d'économie, la concurrence est une forme d'organisation sociale des relations où domine un souci d'égalité des positions dans la relation économique entre celui qui offre (vendeur) et celui qui demande (acheteur). La libre concurrence est un système économique où chacun dispose de la liberté d'exercer une activité, de produire et de vendre aux conditions qu'il souhaite et où l'Etat n'intervient que pour garantir le libre jeu des règles de l'économie (interdiction des abus de position dominante et des ententes). Les conditions théoriques nécessaires à une concurrence parfaite sont : Les atteintes à la concurrence : >>> Terme connexe : Concurrence monopolistique >>> Terme connexe : Déréglementation
Comment réduire l’absentéisme dans votre entreprise ? | GDLE Ergonomie
Le social : Favoriser le bien-être au travail par des actions de prévention Économique : Diminuer les coûts liés à l’absentéisme L’organisation : La meilleure manière d'appliquer le style de management compatible est encore de considérer l'entreprise comme un système dans lequel les facteurs de productivité sont regroupés en deux grandes familles: Les facteurs "techniques": Technologie, Qualité, coûts, délais, organisation ...etc. Il est admis que les facteurs humains agissent sur les facteurs techniques La maladie et les accidents du travail augmentent les coûts, les délais et peuvent aussi produire de la "non qualité" Ce sont des facteurs directement liés à la productivité, d'ou les actions de lutte contre l'absentéisme. On constate qu'en réalité dans le système, tous les facteurs sont interactifs, et que les réactions se développent dans tous les sens. Conclusion :
TPE Groupe 8
Définition Indicateurs d'activité humaine
Qu'est-ce qu'une organisation performante ? - Réviser le cours - Sciences de gestion - Première STMG
L'analyse de la performance de l'organisation doit être envisagée dans ses diverses composantes, c'est-à-dire en établissant un lien entre les résultats obtenus et les aspirations des différents acteurs. Il s'agit d'envisager comment ces aspirations sont traduites en termes d'indicateurs et comment la performance de l'organisation se situe par rapport à d'autres, ou comment elle évolue dans le temps. 1. La performance organisationnelle La performance organisationnelle se définit comme la réalisation d'un résultat équivalent ou supérieur à l'objectif fixé par l'organisation compte tenu des moyens mis en œuvre. Il est important pour une organisation de pouvoir la mesurer. L'analyse de la performance va se décliner en deux grandes notions : L'efficacité mesure la capacité de l'organisation à atteindre ses buts. Une organisation est performante quand elle utilise au mieux ses ressources (matérielles, humaines et financières) afin d'atteindre ses objectifs. 2. La part de marché (PDM) 3. 4.
Les indicateurs de productivité
Il est capital que le chef d'entreprise se dote de critères pour évaluer la productivité de son affaire. Car ce sont eux qui lui permettent de mesurer l'efficacité de son organisation et de comparer très concrètement ses performances à celles de ses concurrents, en recoupant les données de leur compte d'exploitation et celles fournies par la presse, les organismes professionnels, les clients communs... Quels indicateurs suivre ? Tout dépend des caractéristiques de l'entreprise... et des objectifs de son dirigeant. Ce dernier peut, par exemple, choisir de mesurer la production globale horaire, pour s'assurer qu'elle s'accroît avec le temps.
Le XVIIIe siècle : le siècle des Lumières
La liberté par les lois, c'est d'un bout du 18e siècle à l'autre ce que soutiennent ces deux pôles de la pensée du politique, Montesquieu et Rousseau, pendant que Hume en Angleterre et Condillac en France renouvellent les modèles de la connaissance et que Voltaire combat le trône et l'autel, les piliers de l'ancien régime au nom de la tolérance et de la liberté de pensée. L'Encyclopédie, ce symbole général des Lumières, formidable machine à répandre l'esprit nouveau, change les façons de pensée et s'efforce de faire sauter partout les barrières que la raison n'aura point posées, comme le diagnostique Goethe, peut-être le dernier génie universel. Il ne faut surtout pas oublier Kant, Kant à qui rien n'arriva d'extraordinaire, dit-on, sauf du génie et qui récapitule tout son siècle tout en jetant les bases de notre contemporanéité. À la fin de cette période (cours 17 à 30) vous devrez remettre votre 3e travail. Écrit par Josiane Boulad-Ayoub Les Lumières sont optimistes. Ô Nature! À lire
Fiche notions
Comment définir des indicateurs pertinents pour mesurer l’efficacité des systèmes de management ?
L’AFNOR a édité un fascicule documentaire (FD X 50-171 – Indicateurs et tableaux de bord) qui présente comment mettre en œuvre un système d’indicateurs pour mesurer la performance des systèmes de management. Ce fascicule présente le cycle de vie des indicateurs et comment piloter un système d’indicateurs mais n’apporte ni outils, ni méthodes concrètes pour déterminer des indicateurs pertinents. Nous allons donc voir ici quelles sont les principales qualités d’un indicateur et comment concevoir des indicateurs adaptés à ses besoins. Car s’il n’est pas difficile de se procurer des listes d’indicateurs types, trouver des indicateurs adaptés à ses besoins et contraintes demande un peu plus de réflexion. Un « bon » indicateur, adapté à ses besoins, doit disposer de 3 qualités : Simplicité, Représentativité, Opérationnalité. 1. Un bon indicateur doit être compris du plus grand nombre. Dans ce cas, nous privilégierons l’utilisation de l’indicateur présentant la couverture moyenne des stocks. 2. 3.