Kickstarting final development on Data Dealer, a clever game about online privacy Wolfie sez, A few days before the NSA/Snowden fiasco, we released the first English version of Data Dealer, a game to provoke conversation about surveillance, personal data & online privacy in a really new, clever and fun way. It's a browser game about running your own Smoogle & Tracebook, tracking people, collecting millions of personal profiles and selling them to health insurance companies or governmental agencies. Play 'god' with other people's data! Or simply: PRISM, the Game. It's a very worthy project, and they've already done the development; they're looking for $50K to keep the doors open while they finish a deluxe, multiplayer version with a wide variety of exciting features (scroll down the Kickstarter page to "Full Featured Multiplayer Version"). Data Dealer - Legal?
La ruée vers l'or des données personnelles, High tech « Facebook n'a pas été créé pour être une entreprise mais pour remplir une mission sociale : rendre le monde plus ouvert et connecté. » Ainsi parlait récemment Mark Zuckerberg, PDG et fondateur du réseau social le plus fréquenté au monde. On peut dire que le jeune homme de 28 ans a atteint son objectif : près de un milliard de Terriens partagent volontiers des tranches de vie avec leurs amis, « likant » leurs préférences, commentant leurs coups de coeur, signalant leur présence ici ou là... Chacun jugera le paradigme de Zuckerberg à l'aune de ses convictions et de son expérience. Mais neuf ans après sa naissance, Facebook est bel et bien une entreprise et son patron est milliardaire. Cotée, elle aligne des revenus en hausse régulière et prospère sur un modèle économique assez simple dans son énoncé : butiner les informations numériques laissées dans notre sillage pour en faire un miel vendu aux annonceurs. Facebook : 5 dollars par tête Les data centers, nouveaux fort Knox
Vos données personnelles sur internet peuvent valoir de l'or Les données personnelles sont devenues l'or noir du XXIème siècle, celui qu'on exploite et qu'on stocke pour une utilisation ultérieure. Mais s'il existe un marché du fer ou des métaux non ferreux, il n'y a pas encore une bourse des données personnelles. Une étude de Vodafone pour le Royaume Uni indique que la monétisation des données pourrait injecter 21 milliards d'euros dans l'économie britannique! La somme a de quoi faire rêver. "Il y a plusieurs méthodes pour estimer la valeur des données, tempère Mouloud Dey, directeur Solutions et Marchés Emergents chez SAS, on peut prendre la capitalisation de Facebook et diviser par le nombre d'abonnés, ce qui fait de 40 à 300 dollars par personne selon la valeur de l'action. On peut aussi estimer cette valeur en calculant le manque à gagner quand les données disparaissent, à la suite d'un piratage ou d'un accident. Le calcul montre que ces données valent 1,18 dollar par personne..." Les données nues ont peu de valeur Le KGB en a rêvé...
[Infographie] Comment Google, Yahoo, Apple, Facebook et Amazon vous surveillent Mercredi 26 juin Web - 26 juin 2013 :: 11:30 :: Par Une infographie nous renseigne sur les données récoltées par les géants du Web, sur les techniques pour les récupérer et sur l’utilisation qui en est faite. Alors que l’affaire PRISM continue de créer le scandale aux Etats-Unis et que la question de la vie privée refait surface, le site Baynote nous propose une infographie afin d’y voir plus clair en mêlant données et géants du Web. Que Google, Facebook et Yahoo collectent un certain nombre d’informations sur ce que nous leur donnons n’est pas réellement étonnant vu que ces sites font reposer une bonne partie de leur économie sur la publicité. Les données les plus récupérées sont les clics sur les publicités et les recherches effectuées mais il en existe d’autres. Un point important que rappelle cette infographie, c’est que toutes ces informations ne sont pas collectées de manière illégale ou frauduleuse. Voici l’infographie qui résume tout en détail : Crédit image : Baynote
Le Business Model de la revente de données On entend souvent parler des problèmes de confidentialité sur Internet et que les géants du web utilisent nos informations personnelles à des fins commerciales. Comment ce business fonctionne-t-il ? Quels acteurs sont prêts à racheter nos informations et dans quel but ? C’est tout l’art du Business Model de la revente de données (ou des BIG DATA) que nous allons vous expliquer. En quoi consiste ce modèle ? Le but de ce modèle est de créer une très grande base de données d’informations personnelles (âge, sexe, centres d’intérêt, profession etc…) dans le but de les revendre à des acteurs intéressés. C’est ce que fait Facebook qui en premier lieu collecte toutes vos informations dans d’immenses data centers. SFR a récemment informé ses utilisateurs son intention de vendre des données utilisateurs dans le but de rentabiliser certains coûts. Les comparateurs d'assurances comme lelynx.fr utilisent un système de revente d'information personnelle. Mais est-ce une pratique légale ?
Des données personnelles étaient librement accessibles sur le site de la région Ile-de-France « Next INpact » a révélé mardi une faille permettant d’accéder, sur le site de la région, à des documents personnels sans protection : CV, cartes d’identité, passeports, RIB… LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une faille dans le site de la région Ile-de-France : c’est ce qu’a découvert le média spécialisé dans le high-tech Next INpact, après le signalement d’un lecteur, et qu’il a relaté dans un article publié mardi 12 décembre. Concrètement, il était jusqu’à mercredi possible d’accéder, sans aucune protection, à des documents personnels comme des CV, mais aussi des photocopies de passeports, de cartes d’identité, de relevés d’identité bancaire, de bilans médicaux et autres types de fichiers. Des informations confirmées au Monde par la région Ile-de-France. Ceux-ci proviennent principalement de candidatures de stage et de contrats d’apprentissage envoyés à la région à travers le formulaire du site, qui permet de transmettre différents types de documents.
Who will stop Google? Finally, journalists have started criticizing in earnest the leviathans of Silicon Valley, notably Google, now the world’s third-largest company in market value. The new round of discussion began even before the revelations that the tech giants were routinely sharing our data with the National Security Agency, or maybe merging with it. Simultaneously another set of journalists, apparently unaware that the weather has changed, is still sneering at San Francisco, my hometown, for not lying down and loving Silicon Valley’s looming presence. The criticism of Silicon Valley is long overdue and some of the critiques are both thoughtful and scathing. The New York Times recently published an opinion piece that startled me, especially when I checked the byline. What do the U.S. government and Silicon Valley already have in common? Google, the company with the motto “Don’t be evil,” is rapidly becoming an empire. In Europe, there’s an antitrust lawsuit over Google’s Android phone apps. Mr.
Food and Drug Administration Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Food and Drug Administration (FDA, « Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux »[1]) est l'administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments. Cet organisme a, entre autres, le mandat d'autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis. Historique[modifier | modifier le code] 1906 (juin) : le président Théodore Roosevelt signe le Food and Drug Act, également appelé Wiley Act d’après son principal artisan[2]. L'administration fédérale prépare des réformes législatives en vue de réformer le système de surveillance, jugé inadapté (en juin 2009, des produits de Nestlé, faits à partir de pâte de cookie (en), ont été rappelés, les produits contenant la bactérie potentiellement mortelle E. coli O157:H7, habituellement présente à l'intérieur des intestins des bovins[6]). Législation[modifier | modifier le code] Organisation[modifier | modifier le code]
Algorithmes : comment sortir de sa "bulle culturelle"? La journée commence, et que ce soit sur votre ordinateur, votre tablette, ou votre smartphone, c’est désormais acquis les GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon) mais aussi les ASNS (Amazon, Spotify, Netflix, et Steam) vont jouer un rôle déterminant dans votre circulation et votre consommation au sein de l’offre culturelle. Pardon pour le postulat acronymique de départ, qui j’en conviens donne mal à la tête, mais de fait ce sont les nouveaux acteurs de nos choix culturels individuels, voire collectifs. Passons rapidement par la case exemple : vous recherchez le nouveau livre d’Elena Ferrante à paraître en janvier « L’enfant perdue », Amazon vous proposera aussi « Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une » de Raphaëlle Giordano et vous ne risquez pas de sortir de votre zone de confiance littéraire, avec la suggestion d’un ouvrage de Virginia Woolf par exemple. Alors, question inspirée de Dostoïevski, comment se débarrasser de l’influence de ce double ?
Projet HEKKAH | Acting Without Reality En acceptant l’amitié Facebook d’Hekkah Awr, les statuts de chacun remontent instantanément dans un espace d’exposition public. HEKKAH possède ainsi un lieu où se réalise une réflexion sur l’identité numérique. Son autel matérialise un corps à travers une projection interactive où chaque spectateur peut y voir une incarnation de soi (tracking du public avec une Kinect). Ici, le corps d’HEKKAH devient alors, l’espace d’un instant, le miroir du visiteur, le sacrifice et l’échange d’un corps pour un autre. L’image d’HEKKAH est ainsi formée avec les extraits de nos vies numériques sur le réseau social Facebook.