My Piratebox | where is my piratebox ?
Avec sa PirateBox, Jean Debaeckerfait le rêve d'un réseau sans fil à la patte - Actualité Lille
Un réseau parallèle, anonyme et gratuit, à l'écart d'internet, de Google ou des réseaux sociaux, où le traçage fait loi. Une utopie que passionnés d'informatique et apôtres de la libre circulation des idées s'appliquent à réaliser. Jean Debaecker,un prof de Lille III, vient d'y apporter sa pierre en bricolant la « première PirateBox lilloise », outil nomade de partage sans fil. Un petit carré blanc, pas plus épais qu'une boîte de cachous, frappé d'une tête de mort de flibustier. Orangs-outans en wi-fi « Je n'ai aucun moyen de savoir qui se connecte, explique le thésard. Merci qui ? piratebox.c.la
PirateBox
Le gang de l'Hadopi n'en parle jamais, mais un des endroits où il est le plus simple et le plus marrant de s'échanger des fichiers (légalement et illégalement), c'est pendant les LAN party (jeux en réseaux). C'est avec cette idée en tête que David Darts a imaginé la Pirate Box ! Le concept est assez simple... Il s'agit d'une machine portable qui fait office de hotspot wifi (DD-WRT) avec un dock branché au cul, capable d'accueillir un disque SSD ou une clé USB, ainsi qu'un serveur web super léger en Python. Les gens participant à la LAN Party (ou peu importe l'événement) peuvent alors uploader leur fichiers directement dans cette Piratebox et récupérer les fichiers des autres. L'originalité de la PirateBox, en plus de sa simplicité de "fabrication" et de sa portabilité, c'est aussi son look que personnellement, j'adore ! Pour mieux vous rendre compte du fonctionnement de la PirateBox, je vous laisse regarder cette vidéo : [Source] Suivez KorbenUn jour ça vous sauvera la vie..
Une PirateBox miniature à moins de 40 euros !
Un petit routeur de poche, une clé USB pour stocker les données, et le tour est joué : vous voilà avec une PirateBox, prête à envoyer et recevoir des fichiers dans un rayon d'une trentaine de mètres, en toute discrétion. Connaissez-vous le principe de la PirateBox, dont nous avions parlé il y a un an ? Il s’agit d’un petit routeur WiFi que l’on emmène partout avec soi, qui permet à tous ceux qui y sont connectés de s’échanger des fichiers en tout anonymat, sans passer par internet. Rien n’est loggé, de sorte que l’on ne sait pas qui envoie ou télécharge quoi. Le concept a été inventé par David Darts, un professeur à la Steinhardt School of Culture, Education and Human Development, à New York. Il suffit en effet d’une clé USB, d’un câble Ethernet et surtout d’un micro-routeur TL-MR3020, vendu autour de 40 euros : Le reste se fait très simplement en suivant le tutorial adapté en français par Jean Debaecker, professeur à Lille III. « Ca prend 10 minutes à installer. Lire
Une carte des PirateBox de France
Au début du mois, nous rapportions la mise en ligne par un professeur de Lille d'un guide pour réaliser très facilement une PirateBox miniature , basée sur un routeur que l'on trouve à moins de 40 euros . Le principe est de rendre accessible un espace de stockage partagé en Wifi, dont les accès sont anonymés, et de mutualiser les différents espaces de stockage en créant un réseau de PirateBox connectées entre elles ( mise à jour : @PirateBox_Lille nous précise que le logiciel ne le permet pas encore, mais que c'est en cours de développement). Tout se passe hors-ligne, donc à l'abri du regard des ayants droit et de l'Hadopi. Au départ anecdotique, le concept des PirateBox commence à prendre une certaine ampleur, qui présage peut-être d'un développement beaucoup plus fort, en particulier dans les villes où il est plus simple de connecter des PirateBox entre elles grâce à la densité des habitations.