Brain Pickings Atelier d'histoire des sciences | CultureMath Coordonné par, Professeur de mathématiques et docteur en histoire des sciences - e-mail Document déposé le 23/05/11. Editeur: Eric Vandendriessche. Présentation du dossier Ressources 1. Présentation L’atelier d’histoire des sciences et des techniques, coordonné par Matthieu Husson, est un dispositif qui vise à regrouper les enseignants du secondaire intéressés par l’histoire des sciences autour d’un projet commun : se former en histoire des sciences en élaborant une offre pédagogique destinée aux élèves dans le domaine de l’histoire des sciences et des techniques. Au niveau d’un établissement, les enseignants intéressés, se regroupent, définissent des axes de travail et élaborent des offres pédagogiques concrètes. Le dossier de CultureMATH en rapport avec l'atelier d'histoire des sciences s'enrichira au fur et à mesure des actions organisées dans ce cadre. Ressources Trajectoires de la balistique La conférence ici mise en ligne est l'une des actions concrètes de cet atelier. Voir la Vidéo
Cours en ligne ouvert et massif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Mook. Un cours en ligne ouvert et massif[1],[2] (CLOM[3]), également appelé cours en ligne ouvert à tous ou simplement cours en ligne (termes officiels recommandés par la Commission générale de terminologie[3]) ou encore cours en ligne ouvert aux masses[4] ; en anglais : massive open online course, dont le sigle MOOC est également utilisé dans les sources francophones), constitue un exemple de formation ouverte et à distance en télé-enseignement. Les participants aux cours, enseignants et élèves, sont dispersés géographiquement et communiquent uniquement par Internet. Des ressources éducatives libres sont souvent utilisées. Logo MOOC (Massive Open Online Course) Schéma présentant huit concepts-clé d'un MOOC connectiviste, concernant la relation pédagogique (en beige) et le cadre techno-organisationnels et éthiques (en bleu). Éléments de définition[modifier | modifier le code]
Métrique de Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Suivant les préférences géographiques ou historiques, la métrique FLRW, et son modèle cosmologique conséquent, peuvent être désignés selon les noms d'une partie des quatre scientifiques : Alexander Friedmann, Georges Lemaître, Howard Percy Robertson et Arthur Geoffrey Walker. On trouvera par exemple : Friedmann-Robertson-Walker (FRW), Robertson-Walker (RW), Friedmann-Lemaître (FL), ... Évolution de l'univers selon la métrique FLRW[modifier | modifier le code] La métrique FLRW décrit la géométrie moyenne de l'univers aux grandes échelles. Formulation mathématique[modifier | modifier le code] En coordonnées sphériques , l'élément de longueur d'espace-temps , pour la métrique FLRW, se note : en choisissant la signature de la métrique (en) avec : le rayon de courbure de l'univers. En introduisant le changement de coordonnées : où permet de déterminer la distance comobile, l'élément de longueur se reformule : avec Pour un temps tel que , l'univers est Pour
Carte du Ciel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Carte. Le projet Carte du Ciel était un projet astronomique international destiné à cartographier et relever les coordonnées de plusieurs millions d'étoiles de la sphère céleste, jusqu'à une magnitude apparente de 11 ou 12 environ. Le projet a débuté en 1887, sous l'impulsion de l'Observatoire de Paris, alors dirigé par Amédée Mouchez[1], qui fut un des premiers à réaliser le potentiel des nouvelles techniques photographiques dans le domaine de la cartographie des étoiles (l'astrophotographie). Principe[modifier | modifier le code] Mouchez a lancé le projet en 1887 au cours d’un congrès astronomique international qui réunit à Paris 56 participants représentant 16 pays. Le travail impliquera deux étapes, qui seront menées de front : Résultats[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Catalogue d'étoiles Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En astronomie, de nombreuses étoiles ne sont identifiées que par un numéro de catalogue. Il existe de nombreux catalogues d'étoiles produits à diverses fins au cours des années, et cet article ne mentionne que les plus fréquemment mentionnés. Catalogues historiques[modifier | modifier le code] L'Almageste[modifier | modifier le code] Uranometria (désignation de Bayer)[modifier | modifier le code] Historia coelestis Britannica (désignation de Flamsteed)[modifier | modifier le code] Le second système provient du Historia coelestis Britannica de John Flamsteed. Catalogues plein ciel[modifier | modifier le code] Bayer et Flamsteed ne cataloguent que quelques milliers d'étoiles. Catalogue HR[modifier | modifier le code] Catalogue Henry Draper (HD / HDE)[modifier | modifier le code] Le Catalogue Henry Draper a été publié dans les années 1918–1924. Bonner Durchmusterung (BD / CD / CPD)[modifier | modifier le code]
Atlas céleste Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Céleste. Carte de constellations datant de 1856 Les atlas graphiquesLes atlas photographiquesLes atlas photométriques Le développement de l'informatique en astronomie a entraîné la création de logiciels de cartographie ayant des fonctionnalités interactives bien plus importantes. Introduction[modifier | modifier le code] Il y a une différence fondamentale entre un atlas géographique et un atlas céleste : un atlas céleste sert avant tout à repérer une étoile par rapport à la position de l'observateur. En conséquence, pour se situer sur la voûte céleste il faut un repère commun aux deux systèmes : l'écliptique. À la différence d'un atlas géographique, où les lieux représentés sont choisis en raison de plusieurs critères (population, activité, histoire...), un atlas céleste permet de rechercher un astre en fonction d'un seul critère : sa magnitude apparente. Les atlas graphiques[modifier | modifier le code] Lune :
Ghosts of Mars Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ghosts of Mars est un film américain de science-fiction réalisé par John Carpenter, sorti en 2001. Synopsis[modifier | modifier le code] Le commandant Helena Braddock (Pam Grier) et le lieutenant Melanie Ballard (Natasha Henstridge) sont envoyées avec leur brigade vers la cité minière de Shining Canyon avec pour mission de mettre la main sur un dangereux criminel, Desolation Williams (Ice Cube), afin de le ramener à la capitale pour y être jugé. Mais la ville où ils débarquent semble étrangement vide de ses habitants. Fiche technique[modifier | modifier le code] États-Unis : Screen Gems France : CTV International Budget : 28 millions de dollarsPays d'origine : États-UnisLangue : anglaisFormat : Couleurs - 2,35:1 - DTS / SDDS / Dolby Digital - 35 mmGenre : Horreur, science-fictionDurée : 98 minutes (1 h 38)Dates de sortie[1] : États-Unis : France : Belgique : Film interdit aux moins de 12 ans lors de sa sortie en France John Carpenter's Ghosts of Mars
Textes scientifiques Cette page contient une présentation thématique des articles et dossiers du site (sommaire et résumés). Ces documents portent sur toutes sortes de sujets en relation avec les mathématiques d'aujourd'hui. Nous nous efforçons de signaler en introduction de chaque document quels outils sont utilisés et quel usage peut en être fait dans l'enseignement. Les dossiers historiques sont présentés dans la rubrique "Histoire des mathématiques". Pour toute question, remarque, proposition ; pour nous signaler une coquille, un point pas assez bien détaillé, une erreur s'étant glissée dans un texte... Combinatoire, dénombrement : Les colliers de G. Importer l'article en version ps ou pdf. Un problème de digicode Un peu de théorie des graphes, où comment venir à bout d'un digicode plus vite que n'importe qui. Prérequis : Aucun, si ce n'est une idée intuitive de ce qu'est un graphe. Importer l'article en version ps ou pdf. Graphes planaires Aucun. Importer l'article en version ps ou pdf. Imparité rythmique