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40 Creepiest Photos Ever. Number 21 Is Terrifying.
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5 musées flippants à (ne jamais) visiter #2
Pondu par Lady Dylan le 6 juin 2014 Bientôt les vacances : c’est le moment de faire le tour du monde des musées les plus terrifiants ! En 2012, Jack Parker vous avait présenté cinq musées qui foutent les chocottes, des pantins de ventriloques aux momies. Pour une raison obscure, j’ai décidé de reprendre le flambeau, alors que je n’aime pas les films d’horreur et que je me cache les yeux devant Game of Thrones… Venez donc trembler avec moi aux quatres coins de la Terre, avec une nouvelle fournée de glauque et de terreur. Musée Dupuytren − Paris Certes c’est un musée scientifique, planquée sur un site universitaire dans la bien nommée rue de l’École de médecine. Tous sont victimes de déformations ou de maladies − on y trouve même un fœtus anencéphale, au crâne enfoncé sur son absence de cerveau. Vous verrez également des squelettes et des statues de cire comme celle de Pipine, un homme dont les pieds et les mains étaient directement implantés sur le tronc. Les musées de la torture
Plongez dans l’univers fascinant de ce photographe daltonien qui s’inspire des contes des frères Grimm
Kilian est un photographe passionné par la capture de paysages fantomatiques aussi envoûtants que magnifiques. L’originalité de ses clichés vient du fait qu’il est daltonien et qu’il a transformé cette anomalie visuelle en atout créatif. DGS vous présente sa collection d’images inspirées des contes des frères Grimm. Kilian Schönberger est un photographe allemand qui immortalise de magnifiques scènes tirées des contes des frères Grimm. Ses oeuvres éthérées sont empreintes d’une noirceur et d’une poésie fascinantes. « Je suis daltonien et par conséquent, je ne distingue pas le rouge et le vert. Nous avons beaucoup aimé les réalisations de Kilian.
Comment se procurer un Hang « Gérard Spencer - Hang Player
Comment se procurer un Hang IMPORTANT: Le Hang n”est desormais plus produit. Felix et Sabina de PANArt concentrent maintenant leurs efforts sur un nouvel instument, le Gubal. Envoyer une lettre aujourd’hui montre donc votre intérêt pour le Gubal. Acheter un hang est ce que l’on peut appeler une quète des temps modernes. Envoyé une lettre à Felix et Sabina de PANArt expliquant pourquoi l’on veut le hang. Pour de plus amples infomations:
Obtenir un Hang | hangdrum.fr
Cette section est un historique des modes de distribution des produits de PANArt. Le processus d’acquisition d’un hang de PANArt a changé au fil des années, et le mode futur et actuel de distribution n’est pas totalement clair. Les informations sur comment obtenir un hang sont souvent dispersées et indirectes. PANArt n’est actuellement pas présent directement sur le web. Au départ, PANArt vendait directement en collaborant avec des sites de ventes d’instruments de musique en ligne. Comme la production d’instruments au fil des années est ralentie et que l’intérêt grandit (explosion sur Youtube) , les offres sur internet des hangs d’occasion sont rares. Vous trouverez les détails de hang par les créateurs ici. Engehaldenstr. 131 CH-3012 BernTel / Fax 0041 (0)31 301 33 32 info@hang.ch Ces informations sont périmées, il est très difficile de rentrer en contact avec les créateurs. Un peu de promo pour un groupe qu’on aime bien :
Top 15 des idées de décoration Halloween faciles et géniales
C'est Halloween ! Oui c'est ça, le truc où on passe sa soirée à se faire peur, sans trop savoir pourquoi. Les sorcières, vampires et autres araignées sont à l'honneur pour cette fête qui célèbre le gore et les indésirables en tous genres. L'essaim de chauve-souris dans votre salon Reproduisez le vol d'un essaim de chauve-souris avec seulement du papier noir et des ciseaux. Crédits photo : Martha Stewart Et vous, vous en connaissez d'autres des idées de déco sympas et faciles pour Halloween ?
"Lookin4Galt", webdoc à la recherche du son perdu
Précisons-le de suite : Lookin’ 4 Galt n’est pas un webdocumentaire sur la vie et l’œuvre de Galt MacDermot, c’est un plongeon. Une plongée dans le monde des soundmaker new-yorkais, un voyage au bout de la nuit dans la ville qui ne dort jamais. C’est l’histoire de deux français, le duo Gasface, amoureux de la culture hip-hop (lis lui ont d’ailleurs consacré un magazine entre 2008 et 2010), qui décident de faire un film pour montrer le hip-hop tel qu’ils l’ont toujours imaginé. Leur webdoc, composé d’un road-movie à la recherche de Galt et de deux mini-séries (Think B.I.G et Talkin’ All That Jazz) est disponible en intégralité sur la toile depuis quelques jours. “À l’origine, confie Nicolas Venancio, l’un des deux visages (avec Mathieu Rochet) derrière Gasface, on est très fans du producteur Prince Paul, qui a créé un univers mêlant plein de références dans ses albums avec De La Soul. Et qui mieux que Galt MacDermot pour incarner cette quête? La quête du Galt, un webdoc viral
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La masterclass de Viktor Antonov : Créer une ville
Le maître de conférence commence donc par revenir sur son métier qu'il reconnaît être assez rare dans sa spécialité. En effet, les productions nécessitant la création visuelle de villes fantastiques (entendez par là typées science-fiction ou fantasy) ne courent pas vraiment les rues, que ce soit dans le cinéma, la télévision, la littérature ou même le jeu vidéo. Il prend donc le temps de nous expliquer brièvement sa fascination pour la ville. Pour lui, c'est une « création baroque de la renaissance. L'homme à la base de l'architecture moderne On entre désormais dans le vif du sujet, par le biais d'un certain Hugh Ferriss. Antonov nous explique alors que ce Hugh Ferriss fût le premier à utiliser l'architecture comme un outil de fiction, voire de propagande. D'autres illustrations de Hugh Ferriss sont disponibles ici.
Compte-rendu de la journée d’étude « Espace et Genre : expériences, pratiques, constructions » – ADSHS
Retrouvez ici les enregistrements des cinq communications et des échanges qui s’en sont suivis : – « La popote : un espace dédié à la masculinité des militaires » (Adeline Poussin, LIRCES – Nice) – « La midinette et la rue : entre séduction et émancipation à l’aube du XXe siècle » (Claire-Lise Gaillard, CRHXIX – Paris) – « Les nuits en tous genres : la vie nocture de Beyrouth comme espace des performances de genre » (Marie Bonte, PAcTe – Grenoble) – « Prendre place dans les transports publics urbains : une pratique genrée ? » (Stéphanie Gosset, CITERES – Tours) – « Les femmes âgées et l’appropriation d’un espace « sacré » en contexte urbain : l’affirmation de soi à travers les pratiques et croyances religieuses en Chine contemporaine » (Julie Remoiville, GSRL – Paris) Compte-rendu par Stéphanie Gosset Cette journée d’étude s’est tenue le 12 janvier 2016 à la MSH (Maison des Sciences de l’Homme). 3 doctorantes et 2 post-doctorantes ont pu présenter leur recherche à 5 chercheuses et chercheur.
Francesca Woodman
« Les choses du réel ne me font pas peur, seulement celles qui sont au fond de moi. » Francesca Woodman. Pour approcher de cette légende de la photographie qu’est devenue Francesca Woodman, il faut certes se plonger dans l’univers oppressant de ses photographies, mais aussi se souvenir des mots de Alejandra Pizarnik et de Sylvia Plath, autres suicidées de la vie, aspirées par le néant. D’ailleurs ses images sont réputées pour être celles d’une « Sylvia Plath de la photographie ». Son inquiétante précocité, sa beauté fuyante, son impudeur et sa pudeur extrême à la fois, montrant son corps nu et le dérobant sans cesse, sa fin tragique surtout, ont tissé cette légende. Maintenant encore elle demeure une énigme un peu effrayante par sa maturité anormale à son âge, son besoin d‘introspection et d’effacement. Ses photographies sont bien plus que de simples images, elles sont un parcours initiatique vers ses profondeurs. Combien de temps pourrai-je être un mur, protégeant du vent ? Bibliographie