Définition du Brainstorming Le brainstorming est un outil utilisé dans l’entreprise afin d’inciter à la créativité en groupe. Le but est de créer le plus grand nombre d’idées sur un thème donné avec le minimum de ressources (notamment le temps). En réalité, l’intérêt du brainstorming réside dans la quantité des réponses qu’il génère, c’est pourquoi il est important de ne laisser aucun facteur pouvant bloquer la créativité et l’épanouissement des idées. Le but ultime de cette réunion informelle est de laisser libre cours à toutes les idées qui peuvent répondre à un but donné comme par exemple, la recherche d’un nom de marque ou de slogan ou encore la résolution d’une problématique déterminée. Cadre et utilité du brainstorming Le brainstorming est un outil fondamental et très répandu de résolution de problèmes en groupe. Le brainstorming est surtout utilisé pour les problèmes comme : Parfois critiqué et rendu comme inefficace, ses utilisateurs lui accordent pourtant plusieurs avantages comme :
Pourquoi (et comment) utiliser le document de collecte m'a permis d'abandonner la méthode de recherche par étapes Je parle du document de collecte dans mes différents billets mais je réalise que depuis le jour où j'ai décidé (grâce à l'enthousiasme d'une collègue d'Histoire-Géographie) de l'introduire dans mes séquences, je n'en ai pas vraiment fait de bilan. Pourtant, depuis ce jour, je ne l'ai plus lâché. Le document de collecte est devenu mon compagnon fidèle, celui de certains de mes collègues (même partis enseigner ailleurs, au lycée, où semble-t-il il séduit beaucoup) et celui de mes élèves. Je ne l'utilise qu'associé à la carte mentale de réorganisation des idées. Le document de collecte intervient dans lors de la première séance de recherche avec les élèves. Peut-être est-ce de la fainéantise ? Je demande donc aux élèves de construire des documents de collecte sur des sujets dont ils ne savent rien, ou presque rien. Je donne une limite à ce document : une page le plus souvent. L'heure suivante est très intéressante. - Revenir sur le déroulement de leur recherche
Les p'tits fascicules, 7 pages pour défricher un thème ! Par David Cohen L’intégrale 2018 : 17 numéros + 5 hors-séries / 160 pages L’intégrale est à télécharger sur ce site : cliquer ici N°1 - Pourquoi transformer sa salle de classe ? Pourquoi transformer sa salle de classe ? N°2 - Pourquoi la créativité est-elle si importante ? Pourquoi la créativité est-elle si importante ? N°3 - Pourquoi un usage pédagogique des appareils connectés des élèves 1/2 ? Pourquoi un usage pédagogique des appareils connectés des élèves 1/2 N°4 - Pourquoi un usage pédagogique des appareils connectés des élèves 2/2 ? Pourquoi un usage pédagogique des appareils connectés des élèves 2/2 N°5 - Pourquoi créer avec le numérique ? Pourquoi créer avec le numérique ? N°6 - Pourquoi gamifier les apprentissages ? Pourquoi gamifier les apprentissages ? N°7 - Pourquoi aborder la thématique de la ville intelligente (smartcity) ? Pourquoi aborder la thématique de la ville intelligente (smartcity) Pourquoi aborder la thématique de la ville intelligente (smartcity) ?
Sept trucs pour pour réussir une séance de brainstorming Le brainstorming est une méthode de créativité qui permet de trouver en groupe des solutions nouvelles et pertinentes à une question posée. Des idées peuvent naître sur des sujets très variés : créer un nouveau produit, imaginer un concept ou un slogan, lancer une campagne publicitaire, organiser la fête du siècle... Cette technique repose sur le postulat : ensemble, nous sommes plus forts ! 1. Lorsque le chef d'entreprise vise la production d'idées innovantes, il doit faire appel à un animateur extérieur à sa société. 2. Le groupe doit être composé de 7 à 15 personnes afin de créer une belle dynamique. 3. Pas question de rester dans les murs de l'entreprise ! La décoration est joyeuse et colorée... comme à la maison. 4. L'animateur annonce l'objectif et le timing de la journée. 5. Chaque participant note une idée par Post-it. Dans cette phase de démarrage, je veille à valoriser les participants et à ce que tous aient le même temps pour s'exprimer. Il ne faut pas négliger le déjeuner.
15 raisons qui font du coworking l'espace de travail du futur Le coworking ou travail partagé est de plus en plus populaire et vous en avez certainement entendu parler. Mais de quoi s’agit-il exactement? Le concept est né il y a 10 ans à San Francisco et permet aux travailleurs indépendants d’accéder « à la carte » à un espace de travail totalement équipé et ouvert aux autres coworkers. Le coworking fait déjà de nombreux adeptes et pour cause: au-delà d’un simple service flexible de location de bureaux, il s’appuie sur la force et la convivialité du travail collaboratif et en réseau. Le dispositif a d’ores et déjà concerné plus de 100 000 travailleurs indépendants sur l’Hexagone et le territoire compte environ 150 lieux d’accueil (données en constante augmentation). Alors, pour mieux comprendre l’intérêt de ces modalités de travail, nous sommes allés à la rencontre de Julie, 38 ans, consultante en marketing qui travaille dans un espace collaboratif depuis maintenant 2 ans. #1 Le coworking est un dispositif flexible #3 Le coworking est peu coûteux
Les réseaux sociaux incontournables pour votre entreprise Facebook Le réseau social par excellence. Publier régulièrement sur Facebook vous garantira de toucher le plus grand nombre d’internautes. La plupart des publics y est présent et actif, il s’agit du meilleur endroit pour vous faire connaître et séduire un maximum de personnes. Twitter : Aussi connu que Facebook, le réseau au petit oiseau bleu possède pourtant une utilisation bien différente. Google+ Souvent resté dans l’ombre de Twitter et Facebook, ce réseau mérite une certaine d’attention. Pinterest Ce réseau social lancé officiellement en mars 2010 permet de partager des photos, vidéos, images que l’on appelle des « pin ». LinkedIn Plus utile pour communiquer avec vos collaborateurs qu’avec vos clients, LinkedIn vous servira à entretenir votre réseau de contacts professionnels. Viadeo Ce réseau social est assez similaire à LinkedIn dans l’usage et les fonctionnalités.
Qu’est-ce qu’un serveur cloud ? Quel que soit son secteur d’activité, l’entrepreneur ne peut aujourd’hui ignorer Internet. La présence sur le Web et la bonne utilisation de cet outil sont aujourd’hui des éléments clés de la réussite. Cette obligation s’impose à tout créateur ou gérant d’entreprise, indépendamment de la taille de celle-ci, et oblige ce dernier à développer une maîtrise de la digitalisation. Dans ce contexte, focus aujourd’hui sur une solution très en vogue d’hébergement, le cloud. Utiliser des ressources informatiques non possédées Le cloud (nuage en anglais) permet un accès permanent, facile et à la demande à un réseau partagé ainsi qu'à des ressources informatiques importantes (des réseaux, des serveurs, du stockage, des applications et des services). Les avantages de l’hébergement cloud Le cloud offre de nombreux avantages. Les inconvénients possibles Les inconvénients relèvent essentiellement de la sécurité et de la confidentialité des informations. Quel cloud choisir ?
Facebook at Work : tout ce qu'il faut savoir Facebook décline son service pour permettre aux organisations de se doter d'un réseau social d'entreprise. La solution s'enrichit au fil des mois. Disponible dans plus de 100 langues, la déclinaison de Facebook pour le travail est disponible depuis le 10 octobre 2016. Initialement appelée Facebook at Work, elle a été rebaptisée Workplace by Facebook . "Cette nouvelle marque a pour but de mieux coller à la philosophie du produit. C'est-à-dire à l'image d'une plateforme conçue pour connecter tous les collaborateurs de l'entreprise et les aider à mieux communiquer", explique Julien Codorniou, directeur de l'offre Workplace chez Facebook. Se connecter à Workplace by Facebook Workplace by Facebook en France Officiellement, 14 000 entreprises ont commencé à utiliser Workplace by Facebook. Un Facebook pour les pros Concrètement, Workplace by Facebook est une déclinaison de Facebook qui permet aux organisations de créer leur propre réseau social interne. Fonctionnalités Prix et édition gratuite
Pourquoi votre e-mail va finir à la poubelle Dans un courrier électronique, certaines incorrections de langage font mauvais effet. Elles arrêtent la lecture, reléguant l'essentiel du message au second plan et risquent de questionner votre compétence: est-ce du mépris ? un manque d'instruction ? un stress non maitrisé. 1. "Brief", "check-list", "feedback", "deadline"... >> A faire. 2. "Collusion-collision" ; "effraction-infraction" ; "abjurer-adjurer" ; "attention-intention"; "éminent-immanent"... A faire. 3. Il s'agit du mauvais emploi d'un verbe, d'un substantif ou d'un qualificatif. A faire. 4. La syntaxe est ici prise en défaut. A faire. 5. Rajouter des mots aux mots, dans un registre identique, reste tentant pour souligner sa pensée, frapper les esprits. A faire : s'interroger sur la redondance possible du qualificatif ou de l'adverbe adjoint au vocable principal. * Chez Gualino (Lextenso Editions), édition 2015.
Julien Lesaicherre (Facebook) : "Avec Facebook at Work, nous voulons connecter 3 milliards de salariés" Facebook est en train d'adapter son réseau social à l'entreprise. Le service est testé par quelques centaines d'organisations dont quelques dizaines en France. Interview exclusive. JDN. Julien Lesaicherre. En parallèle, nous avons pris conscience que des centaines de milliers d'entreprises utilisaient Facebook pour travailler, de start-up à des grands groupes. Depuis le début de l'année, vous avez commencé à ouvrir Facebook at Work à quelques entreprises. Il faut bien comprendre d'abord que ces entreprises ont accès au même produit que celui déployé en interne chez nous. "Lagardère Active déploie Facebook at Work auprès de ses 4 000 salariés" Quelles sont vos premières références ? En France, Century 21 fait notamment partie du programme. Plus globalement en région EMEA, je peux citer le site d'e-commerce allemand Westwing [qui appartient à Rocket Internet Group NDLR] et ses 2 000 salariés, le spécialiste israélien des campagnes marketing Kenshoo, mais aussi made.com.
Le gouvernement invité à se pencher sur un « droit à la déconnexion » Alors que les appels et mails professionnels s’immiscent de plus en plus dans la sphère privée des salariés, notamment suite à l’arrivée des smartphones, un rapport remis hier au gouvernement plaide pour la mise en œuvre d’outils à même de garantir un « droit à la déconnexion » pour les travailleurs. Le sujet devrait d’ailleurs être abordé lors de la conférence sociale du 19 octobre. Après quasiment six mois de travaux et d’auditions, le directeur général adjoint des ressources humaines d’Orange Bruno Mettling a remis hier à la ministre du Travail son rapport relatif à la « transformation numérique et [à la] vie au travail » (PDF). Bruno Mettling observe en ce sens « une profonde transformation de la relation au travail avec le mélange dans un même temps des temps de la décision, de la réflexion et de l’action ». Entre droit et devoir de déconnexion La balle est lancée dans le camp des partenaires sociaux Xavier Berne Journaliste, spécialisé dans les thématiques juridiques et politiques.
Le numérique met le collaboratif à toutes les sauces Il n'est plus un logiciel, une méthode d'organisation ou un espace de travail qui ne se revendique collaboratif. Les technologies numériques facilitent le partage et l'échange dans le monde entier à toute heure du jour et de la nuit. Les outils se multiplient et font de plus en plus d'adeptes. Mais le collaboratif n'est pas une panacée. Il faut col-la-bo-rer ! Mais il ne suffit pas de répéter ce nouveau motto pour atteindre les objectifs espérés. Faire collaborer ses… collaborateurs La globalisation amène les entreprises multinationales à profiter des décalages horaires pour faire travailler leurs équipes en continu, en mode « follow the sun » comme disent certains. L'agilité repose sur la collaboration Engagées dans leur transformation numérique, nombre d'entreprises ont besoin d'être plus réactives. Collaborer au-delà du cadre de l'entreprise Pour être plus créatives, les entreprises cherchent à être plus innovantes. Plus savants à plusieurs
Le management de l'animation en intelligence collective Il y a quelques années la recette de l’intelligence collective était la suivante : mettez ensemble dans une pièces un groupe de personnes donnez-leur une problématique à résoudre et attendez que la formule magique du 1+1=3 fasse des miracles. Il y a eu des miracles, mais ils furent peu nombreux face au nombre des échecs. Quelle était la source du problème ? Elle provient de la nature des ingrédients et dans ce cas de l’humain, de ses compétences, de ses croyances et le contexte disruptif de ce début de 21ème siècle. Rapidement, on a mis en place le facilitateur de groupe pour garantir le bon fonctionnement collectif du groupe. Les bons rôles aux bonnes personnes Avez-vous déjà participé à un projet basé sur l’intelligence collective ? Qu’est-ce que la réussite ? Les ingrédients qui font passer du “Non” au “Co” Le premier est le sens. Une solution simple pour pouvoir être dans une dynamique de réussite est de connaître vos équipiers si vous avez déjà une équipe constituée. Référence :
Les PME se mettent à l'heure des réseaux sociaux, Stratégie : PME, les enjeux des réseaux sociaux Seules 20 % des PME y sont représentées.Ils permettent pourtant de créer du lien avec les clients. « PME et réseaux sociaux : se faire connaître et fidéliser », « Réseaux sociaux et PME, quel retour sur investissement ? »... Sur Internet fleurissent les articles qui n'ont qu'un but : convaincre les petits patrons de créer une page Facebook, un compte Twitter, un profil LinkedIn, Instragram, Pinterest, etc. Ainsi, Facebook martèle : « Nous voulons devenir partenaires des PME ». L'entreprise écoute Si le réveil est timide, il n'est pas pour autant inexistant, ainsi, Adrienne Zmiko, community manager (gestionnaire de communauté sur Internet), voit les demandes des PME augmenter cette année, petit à petit. Arrivé sur Facebook en mai 2014, le fabricant de foie gras Feyel souhaitait se moderniser et étendre sa clientèle : « Nous voulions répondre à une vraie demande, notamment en matière de SAV », explique Patricia Houdebert, sa directrice du marketing. Une enseigne affinitaire