Dérives autour du cinéma Sept vidéos pour revivre la naissance du 7e Art en Provence Pour les 120 ans de l'invention du cinéma par les frères Lumière et de la naissance de Marcel Pagnol, "La Provence" publie un nouveau numéro de sa série "Histoire", "La Naissance du Cinéma en Provence". En partenariat le site "Repères méditerranéens" de l'INA, LaProvence.com vous invite à découvrir des reportages sur les films de cette époque... et d'un peu plus tard. 1. Un jour un train arriva en gare de La Ciotat Cette courte archive a été tournée à La Ciotat le 26 décembre 1961, pour célébrer, à 48 heures près, le 66ème anniversaire de la première séance publique parisienne du Cinématographe Lumière. 2. Lors du numéro de l'émission "La Joie de vivre" qui lui est consacré, le 12 novembre 1957, Jean Renoir reconnaît le caractère pionnier de "Toni", qu'il a tourné à Martigues, en 1935, entièrement en décors naturels. 3. 4. "Le cinéma et moi sommes nés le même jour au même endroit", a répété de multiples fois Marcel Pagnol. 5. 6. 7.
Cinexo | Location de matériel cinéma et vidéo | Alsace | Strasbourg | Lorraine juillet | 2013 | cinephiledoc Première partie. Cet hors-série aurait également pu s’appeler : que mettre dans votre liseuse ou votre sac de plage ? Quels romans évoquent le mieux l’univers du cinéma ? Le septième art étant l’un des plus jeunes, les romans – et plus généralement les écrits – qui y font référence ne pourront remonter qu’au début du vingtième siècle. Je n’en ferai pas pour autant une liste chronologique. Certains évoquent le cinéma en impressionnistes, par légères touches, qui se fondent dans le décor du roman : le septième art n’est qu’un imaginaire collectif, un nouveau divertissement soudain apparu, et qui suscite une nouvelle culture, de nouvelles richesses, de nouvelles habitudes. D’autres font du cinéma leur personnage central… ou si ce n’est le cinéma en lui-même, en tout cas est-ce l’une ou l’autre de ses créatures : comédiens, réalisateurs, critiques ou simples spectateurs. Les Mots, Sartre « Je défie mes contemporains de me citer la date de leur première rencontre avec le cinéma.
Don’t fuck with Cousteau | Cinétrange Palme d’or au festival de Cannes 1956, Le monde du silence est aujourd’hui disponible dans une superbe copie restaurée pour le blu-ray. Réalisé par Jacques-Yves Cousteau et Louis Malle, il est très intéressant de le redécouvrir au 21ème siècle, soit presque soixante ans plus tard. D’abord, il faut savoir que le film n’est pas vraiment un documentaire, loin du cinéma vérité de l’ethnologue Jean Rouch par exemple. Sur l’impulsion de Louis Malle, chaque séquence est scénarisée, les membres de l’équipe font des acteurs improvisés et les situations vécues dans le film sont provoquées. Cela se voit assez rapidement car le montage est un peu forcé, ce qui donne à l’oeuvre des allures de film d’aventures façon Tintin fait de la plongée. A l’époque, le commandant Cousteau et son équipe font figure de pionniers en terme de découverte des fonds marins mais aussi pour la captation d’images. Ce qui choque le plus, c’est bien entendu le fond du film et sans doute la pensée de l’époque.
Atelier de réalisation de vues Lumière Au commencement du cinéma, les opérateurs réalisaient des films composés d’un unique plan fixe ne dépassant pas 50 secondes. Certains sont restés célèbres : L’Arrivée d’un train en gare de La Ciotat, La Sortie des usines Lumière, L’Arroseur arrosé… Dans une démarche d'éducation au cinéma, travailler autour des Lumière ouvre des questionnements particulièrement riches sur le cinéma. Le contenu pédagogique du programme "Documentaires ?" Durée : une demi-journée ou une journée complète Effectif : une demi-classe Intervenants : réalisateur ou technicien professionnel
Trafic 79 Texte / Rhythm’n’Ring Boxing Gym de Frederick Wiseman par Pierre Gabaston Le double couperet de la loi Cavalier par Jean-Paul Fargier Le tremblement bruyant des images par Dominique Païni Être quelqu’un ou n’être rien Confessions par Boris Lehman Le spectateur de cinéma : une mémoire unique par Raymond Bellour Dans la chambre Quelques réflexions sur Based on a True Story de Roth/Stauffenberg et des notions telles que « cinéma perdu », « post-cinéma » et « cinéma post-traumatique » par Chris Petit Cinéma interactif et non- cinématographique par Victor Burgin Le triomphe du simulacre Au sujet de la toute-puissance des images par Jean-Charles Villata L’événement numérique par D.N. Que reste-t-il du cinéma ? Éloge de Frank Capra par Olivier Maillart Correspondance par André Bazin et Cesare Zavattini Cesare Zavattini ou le néoréalisme italien par André Bazin
Les meilleurs films de tous les temps Daniel Benda et José Moure, Le Cinéma : naissance d’un art (1895-1920) 1Pour ceux qui s’intéressent à la réflexion sur le cinéma des premiers temps, cette anthologie de textes est le premier ouvrage en France à donner une dimension internationale aux discours qui accompagnent le phénomène cinématographique dès son avènement en 1895, et jusqu’à sa consécration en tant qu’art à la fin des années 1910. Il est par ailleurs, tout simplement, le premier ouvrage français d’anthologie de textes sur le cinéma des premiers temps, depuis Intelligence du cinématographe et Anthologie du cinéma, publiés respectivement par Marcel L’Herbier et Marcel Lapierre en 1946. Il n’existait jusque-là, en dehors de ces deux ouvrages pionniers, que des recueils publiés par les cinéastes théoriciens eux-mêmes (Jean Epstein, René Clair) ou des œuvres complètes de quelques rares personnalités (Louis Delluc, Germaine Dulac, Ricciotto Canudo, Boleslas Matuszewski). 2Ce recueil était donc autant nécessaire qu’attendu.
Mes films préférés de tous les temps, une liste de films par funculturepop Synopsis : Michael Corleone a succédé à son père Vito à la tête de la famille. Il dirige alors les affaires des Corleone d'une main implacable, en éliminant ses ennemis les uns après les autres. Mais en tentant en vain de ressembler à son père, il ne fera preuve que d'une autorité dévastatrice qui peu à peu l'éloignera des personnes qu'il aime.La deuxième partie du Parrain offre deux histoires parallèles. L'une implique le chef de la Mafia en 1958/1959 après les événements du premier film, l'autre est une suite de flash-back qui suivent le parcours de son père, Vito Corleone, de sa jeunesse en Sicile à la création de la Famille Corleone à New York.Le film commence en 1901, dans la ville de Corleone en Sicile, aux funérailles du père du jeune Vito, Antonio Andolini, qui a été assassiné pour une insulte au seigneur local de la mafia, Don Ciccio. Pendant la procession, le frère ainé de Vito est assassiné parce qu'il a juré de se venger du Don.
Every Frame a Painting This is the first of two new videos today. Watch this one first. Off the top of your head, could you sing the theme from Star Wars? How about James Bond? Or Harry Potter? This video was made byBrian Satterwhite: Ramos: Zhou: How do you film a conversation? This video was co-written with Taylor Ramos. How do you emphasize to the audience that something is important? Eight Ways to Get the Audience to Look at Someone/Something:1) Let Them Speak2) Make Them Brighter or Bring Them Closer3) Let Them Move (Especially Hands or Eyes)4) Put Them in the Center of Frame5) Turn Them Towards the Lens6) Separate Them from the Group7) Isolate Them by Moving the Camera8) Have Other People Look at Them Before Edgar Wright and Wes Anderson, before Chuck Jones and Jackie Chan, there was Buster Keaton, one of the founding fathers of visual comedy. For educational purposes only.
Colin Levy When I was in highschool I spent like a year and a half working on a 5-minute short film. The movie was silly, starred my dad. I made it in my backyard. But somehow it went on to win a national contest called YoungArts, and soon found myself at an award ceremony in NYC, being told I had an appointment with Martin Scorsese. Uhhh… yes! The unfortunate thing was, they gave me no more than a couple hours’ notice. I was thoroughly unprepared. Thelma Schoonmaker greeted me at the door. Martin Scorsese was intimidating, to say the least. The juxtaposition of scales was overpowering. A few weeks later, I got a reply — he had his assistant send me several books and DVDs (including “A Personal Journey with Martin Scorsese Through American Movies“)… and also the list of 39 Foreign Films to watch! In the following months and years I wanted to be able to write Scorsese back and be able to say, “Yes sir, I’ve gone out and watched every film on your list. And it’s nearly twice that now! –Colin
The Best Years of Our Lives (1946) DESISTFILM’S TOP 50 FILMS OF ALL TIME « desistfilm This entry was posted on October 9th, 2012 Sans Soleil To make a list about the best films of all time is in some cases, an exhumation process: Hidden films, which we have to give a breath of life. In other cases, is a process of vindicating the old glories under the guilty or aesthetic pleasure. In Desistfilm we’ve made a commitment to examine our sensibilities in depth, and built our own sentimental canon: Films without which we couldn’t translate a part of the world. Hacer una lista sobre las mejores películas es en algunos casos un proceso de exhumación. desistfilm staff: Mónica Delgado, José Sarmiento Hinojosa, Catherine Beed, Vassilis Economou, John A. Aguirre Claudia SiefenStaff Writer Vive L’Amour Julian RossStaff Writer October 2012 The Killing Of A Chinese Bookie Toni D’Angela Editorial Committee Ali, Fear Eats the Soul Therese GrishamEditorial Committee My list is idiosyncratic, and I make no pretense of appealing to any broader standard than whatever goes into forming my taste.