L'art de donner l'envie d'apprendre Socle de Pédagogie, donner l'envie d'apprendre est vraisemblablement un des objectifs les plus difficiles à atteindre en formation. Envie d'apprendre et étymologie du mot "Savoir"... Un peu d'étymologie ne fait jamais mal ... et mon ancienne professeure de latin-grec serait ravie de cette référence de ma part, elle qui m'en a tant voulu d'avoir abandonné les langues mortes en terminale ! Connaissez-vous l'étymologie du mot "Savoir" ? Le mot "savoir" vient du latin SAPERE - "avoir du goût"- "exhaler une odeur" - "sentir par le sens du goût" et, au figuré - avoir du discernement, du jugement, être sage. La Pédagogie, l'Art de donner du goût ? Pour donner l'envie d'apprendre, le pédagogue pourrait être, en quelque sorte, un cuisinier chargé de relever les saveurs et de délivrer les goûts. Thierry Tournebise est un des auteurs qui a illustré cette métaphore : "La pédagogie est l'art de donner le goût, l'art de relever les saveurs. Pourquoi donner l'envie d'apprendre est-il important ?
Trois petites activités sur la mémoire « Ils n'apprennent pas! » Dans le palmarès des phrases les plus prononcées autour des machines à café des salles des professeurs, celle-ci figure clairement en bonne place. Sans entrer dans des considérations théoriques (fortes intéressantes au demeurant), je vous propose quelques petits « exercices » que je fais avec des élèves de 6ème en accompagnement personnalisé. Exercice n°1 : T'es habillé comment aujourd'hui ? Les élèves sont invités à circuler de manière aléatoire dans la salle en occupant la totalité de l'espace (c'est un exercice en soit mais ce n'est pas l'objet du billet, ni l'objectif du travail). Nous recommençons l'exercice deux fois. - Que s'est-il passé dans ma tête au moment où j'ai du décrire la tenue de mon binôme ? « Je me suis concentré pour bien regarder » « je me parlais dans ma tête en décrivant les tenues » … « J'ai revu comme une photo au moment de décrire » « je m'entendais encore parler donc j'ai pu répéter ». Exercice 2 : La photo
Crêpe sucrée choco-coco-banane Commencez par préparer la pâte. Le plus simple pour ne pas avoir de mottonx, prenez un robot électrique ou à main pour mélanger vos ingrédients pour la pâte à crêpes. Mettez le lait en premier dans le robot, puis la farine, les œufs, le sucre et l'huile Mélangez énergiquement pendant 1 à 2 minutes. Réalisez les crêpes. Faites chauffer une poêle à crêpes à feu fort. Une fois la poêle bien chaude, huilez-la avec du papier absorbant, et versez une bonne louche de pâte. Pour la garniture: Épluchez la banane et coupez- la en deux dans la longueur. Faites fondre à la casserole ou au micro ondes votre chocolat pâtissier. Dans une poêle, faites fondre une noisette de beurre, et déposez-y les deux morceaux de banane. Disposez votre crêpe encore chaude sur une assiette et déposez vos 2 morceaux de banane au milieu. Saupoudrez votre chocolat des 2/3 de la noix de coco râpée. Repliez votre crêpe pour faire comme un cône, et saupoudrez avec le reste de noix de coco râpée ! Bon appétit !
Métacognition - Idées ASH " Si tu donnes un poisson à un homme, il se nourrira un jour, si tu lui apprends à pêcher, il se nourrira toujours." La métacognition consiste à avoir une activité mentale sur ses propres processus mentaux, c'est à dire " penser sur ses propres pensées ". Dans le domaine de la psychologie de l'éducation, le terme désigne la composante du savoir d'un individu qui concerne les processus mêmes d'acquisition de ce savoir, en quelque sorte " ce qu'il sait de sa façon d'apprendre ". La métacognition se rapporte à la connaissance qu'on a de ses propres processus cognitifs, de leurs produits et de tout ce qui touche, par exemple, les propriétés pertinentes pour l'apprentissage d'information ou de données... La métacognition se rapporte, entre autres choses, à l'évaluation active, à la régulation et l'organisation de ces processus en fonction des objets cognitifs, ou des données sur lesquelles ils portent, habituellement pour servir un but ou un objectif concret.
Même les émotions négatives aident à l'apprentissage Lundi, 17 Janvier 2011 00:00 Journal FORUM Lévitation? Pas vraiment. Par sa seule concentration, Claude Frasson parvient à faire léviter une petite balle de styromousse placée à un mètre et demi devant lui: plus il se concentre, plus la balle s'élève, soulevée par un léger jet d'air. «Cet appareil sert à exercer sa concentration et ainsi à atténuer son stress», dit le professeur du Département d'informatique et de recherche opérationnelle. «En situation de stress, poursuit Claude Frasson, le système réticulaire se bloque: l'hippocampe, qui est la zone de la mémoire, ne reçoit plus les émotions de l'amygdale et nous ne pouvons plus accéder au contenu de notre mémoire. Pour le chercheur, si les émotions sont la clé qui donne accès à la mémoire, c'est aussi dire qu'elles sont essentielles à l'apprentissage. Les travaux du professeur Frasson en intelligence artificielle visent à élaborer des systèmes tutoriels intelligents qui intègrent la dimension émotionnelle de l'apprentissage.
Mémorisation : trouver sa stratégie Dans tous les cas : lire, relire, et réviser plusieurs fois Il faut souvent apprendre plusieurs fois pour mémoriser vraiment Il n'y a pas de secret : pour bien mémoriser, il faut relire et réviser plusieurs fois le même cours et la même leçon. C'est la règle de base indispensable à tous, quelle que soit votre forme d'apprentissage. Vous le savez sans doute déjà : il est conseillé de relire une première fois un cours ou une leçon, le jour ou le soir même. Pourquoi ? Pour apprendre, il faut se représenter mentalement ce qu'on découvre Comment se représenter ce que l'on étudie ? Mais comment apprendre ? Les différentes stratégies pour évoquer et retenir les connaissances Certains retiennent grâce aux images ou aux représentions visuelles. Relisez votre cours lentement. Si vous êtes auditif et verbal, récitez vos cours à haute voix. Il se peut que ce qui vous revienne soit plutôt la voix de l'enseignant, un son, une musique, le récit d'une histoire, d'une anecdote citée dans le cours.
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3 mythes sur le cerveau qui influencent possiblement votre façon d’enseigner Le fait de mieux comprendre le cerveau aide-t-il à mieux éduquer? C’est la question à laquelle tentent de répondre certains chercheurs, dont Steve Masson, professeur en neuroéducation à l’Université du Québec à Montréal. La neuroéducation est une nouvelle science qui se veut une approche complémentaire aux recherches déjà existantes en éducation. Ce qui distingue les travaux de M. Masson est qu’il utilise l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) pour étudier les différentes parties du cerveau de l’apprenant. Les recherches sur le cerveau permettent de mieux comprendre le lien entre celui-ci et l’apprentissage. – Premièrement, apprendre modifie les connexions dans le cerveau. – Deuxièmement, la structure et la configuration du cerveau influencent notre façon d’apprendre. – Troisièmement, la façon d’enseigner influence les changements cérébraux qui découlent de l’apprentissage. 1) On n’exploite que 10 % de notre cerveau. 3) Tout se joue avant 3 ans. Pour suivre l’auteur :
Les incroyables bienfaits des aquariums dans les hôpitaux «La vie de l'aquarium rythme la vie des patients comme un journal, ils se retrouvent autour de lui comme on se rassemble autour d'une cheminée», raconte le PrMaurice Mimoun, chef du service de chirurgie plastique et des grands brûlés de l'hôpital Saint-Louis, à Paris. Les patients isolés sortent de leur chambre pour observer les changements dans l'aquarium, ils entrent en contact avec d'autres patients, avec les familles en visite. L'aquarium devient un lieu de rendez-vous, de promenade, d'observation d'un biotope. «Les patients identifient les poissons, observent ceux qui sont plus faibles, s'enthousiasment devant leur reproduction mais sont également témoins de la mort de certains d'entre eux», souligne le Pr Mimoun. «L'aquarium offre la possibilité de prendre le temps d'observer la vie des poissons avec un effet apaisant apporté par l'eau elle-même.». Moins d'hypertension, plus d'appétit Il existe peu d'études sur ce type d'expérience, car les effets sont difficilement quantifiables.