Vaincre la fatigue synaptique - Stress et Sommeil par Bruno Lacroix (Suite de l'article paru dans le numéro de mars) Augmenter et potentialiser les catécholamines 3. Importance des membranes (oméga-3) Un des effets majeurs d'une déficience en oméga-3 est la diminution de la neurotransmission des neuromédiateurs et, plus spécialement, de la dopamine sur le lobe préfrontal. 4. L'activation chronique de l'axe HPA réduit la capacité du cortisol à inhiber la libération du CRF (Corticotrophin Releasing Factor) et de l'ACTH, et mène à la dépression. 5. Ravi Kurup, professeur de neurologie au Medical College, section Metabolic Disorders Research, Centre de Puliyarakonam en Inde, démontre les divergences physiologiques existant entre les hémisphères droit et gauche et leur rapport avec les niveaux de catécholamines cérébrales. ConclusionLa stimulation des neurotransmetteurs par la prise de drogues comme la nicotine ou l'alcool est responsable d'une mortalité importante. Commander les nutriments évoqués dans cet article
Exploration du cerveau Le cerveau humain est constitué d'environ 100 milliards de neurones capables d'établir chacun jusqu'à 10.000 connexions. Le nombre de connexions potentielles est donc astronomique: 1 million de milliards (10 puissance 15). Le cerveau compte également des cellules gliales, en nombre 10 à 50 fois plus important que les neurones. Longtemps, on a cru qu'elles ne jouaient qu'un role subalterne en facilitant les échanges entre les neurones. Le cerveau est donc un système incroyablement complexe avec 2 réseaux complets qui travaillent en paralèlle et en interaction. Par ailleurs, le cerveau est à la fois un système électrique, chimique, et probablement magnétique et quantique. 2 hémisphères Au niveau physiologique, le cerveau est divisé en 2 hémisphères reliés au centre par un faisceau de fibres nerveuses par lesquelles transitent les échanges d'informations entre les 2 hémisphères. L'hémisphère gauche commande la partie droite du corps. 3 couches Circonvolutions Les neurones La chimie des émotions
Comprendre notre cerveau pour comprendre nos décisions et nos actions Lors des nombreuses recherches en neuromarketing, il a été démontré que nous avions 3 cerveaux, et que l’un d’eux est le vrai décideur, celui qui va déterminer l’action. C’est ce cerveau qu’il faut activer, pour stimuler une action et donc influencer, comprenons d’abord quels sont ces 3 cerveaux, et comment ils sont utilisés : LE NEOCORTEX: C’est la partie qui pense et qui réfléchit de façon rationnelle. Il représente la conscience, la capacité symbolique (capacité de remplacer certaines choses par d’autres), le langage, base de la pensée abstraite. Seul le cortex a cette capacité : c’est pour lui un moyen de gérer les autres cerveaux plus anciens. LE CERVEAU LIMBIQUE: C’est la partie qui ressent et qui est liée eux émotions. En étroite relation avec les centres des pulsions et des émotions, c’est le centre physiologique des émotions et donc le système dominant de l’affectivité. Voici les principales lois physiologiques attribuées par les biologistes au cerveau limbique: Vous aimerez aussi:
Le cerveau n’oublie rien de la langue des premiers jours - Libération La langue maternelle reste à jamais imprégnée dans le cerveau humain, même si elle n’est ni apprise ni parlée par un individu. Même les personnes adoptées dès les premiers mois de leur vie et immergés dans une autre culture, gardent des traces, sans le savoir, de la langue entendue à la naissance. C’est ce qu’ont prouvé des chercheurs du Neurological Institute and Hospital de Montréal à travers une expérience sur le cerveau. Leur étude selon le journal anglais The Independent, est la toute première à utiliser l’imagerie cérébrale pour examiner les effets de langages perdus. Les neurologues et psychologues canadiens ont comparé les IRM du cerveau de 48 jeunes filles âgées de 9 à 17 ans et appartenant à trois groupes différents: francophones, bilingues français-chinois et nées dans une famille chinoise puis ayant été adoptées et ne parlant que français. Le cerveau garderait donc bien en mémoire les dispositifs neuronaux créés par la langue maternelle. Amel CHETTOUF
Cerveau : se partager pour mieux penser Non, les gauchers n’ont pas le cerveau à l'envers des droitiers ! À l’occasion de la Semaine du cerveau, le point sur ce que l’imagerie cérébrale révèle, ou dément, sur les asymétries du cerveau. Plus que la parole, le rire ou la religion, le fait de nous répartir aussi inégalement en droitiers et en gauchers distingue l’espèce humaine de toutes les autres. Derrière une fausse symétrie, une vraie spécialisation Tout comme nos deux mains, notre cerveau est à première vue constitué de deux hémisphères semblables, où chaque structure visible à droite a son homologue en miroir à gauche. L’asymétrie manuelle a longtemps été liée à la spécialisation cérébrale. Dès le XIXe siècle, les neurologues ont remarqué que certaines lésions cérébrales très localisées avaient des conséquences radicalement différentes sur les facultés intellectuelles de leurs patients, notamment le langage, selon qu’elles affectaient la partie droite ou la partie gauche de leur cerveau. Une asymétrie très humaine B.
Les ondes cérébrales ? | Gestion du stress, mieux dormir, relaxation et meditation Nos ondes cérébrales et les états d’ondes cérébrales ne sont pas très connus par le grand public. En effet, peu de communication est faite sur les recherches sur notre cerveau et son fonctionnement. Mais en fait, il est important de savoir qu’en changeant notre état de conscience, ou plutôt en modifiant les ondes produites par notre cerveau nous pouvons changer efficacement notre conscience et notre expérience de la vie. A propos de la stimulation et des ondes cérébrales La stimulation auditive et visuelle (AVS) est une méthode de développement personnel qui a évolué pendant plus de deux décennies à partir de l’étude et l’utilisation de biofeedback, une procédure de formation qui peut permettre à une personne de modifier les réponses physiologiques permettant d’induire l’état d’esprit désiré. Dans le biofeedback, le but de l’individu est délibérément de tenter de se calmer délibérément ou de réduire son activité mentale. Quelles sont les différentes ondes cérébrales? (1-3 Hz).
Synchronicité et Hasard (Par Hans Primäs) [1] En 1992 est apparue dans les éditions Springer la correspondance entre le psychiatre Carl Gustav Jung et le physicien théorique Wolfgang Pauli - un document de premier ordre relatif à l’histoire des idées [2]. A côté de beaucoup d’informations personnelles - qui ne nous intéressent ici que de façon secondaire - il s’agit surtout de discussions sur la relation entre la psyché et la matière. En partant de leurs domaines professionnels respectifs, le psychologue Jung et le physicien Pauli sont parvenus tous les deux avec une concordance remarquable à la supposition de "l’existence d’un seul monde, dans lequel la psyché et la matière seraient une seule et même chose, que nous distinguons uniquement pour mieux les connaître en eux-mêmes" [3]. "Je ne doute pas que la psyché objective contienne des images qui éclaircissent le secret de la matière. 1. Dans ses Tavistock Lectures en 1935 Jung a répondu à une question sur le parallélisme psychophysique : 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
L'étonnante plasticité du cerveau humain Tous les mois dans Le Figaro , des membres de l'Académie des sciences répondent aux grandes questions de l'actualité scientifique. Pierre-Marie Lledo, neurobiologiste au CNRS et à l'Institut Pasteur vous répond. Avec ses 86 milliards de cellules nerveuses et ses millions de milliards de connexions, le cerveau de l'homme moderne est une merveille de complexité qui n'a pourtant rien d'immuable et de figé comme le sont les composés d'un ordinateur. Si connexions, mémoire et langage il y a, ceux-ci sont faits de chair vive: matière changeante construite pour le changement et qui n'existe elle-même que par le changement. Cela veut dire que cet organe incarne un devenir: il confère la faculté d'accomplir demain des opérations que nous sommes incapables de réaliser aujourd'hui. La première singularité concerne la lente croissance de notre cerveau qui nécessite plusieurs décennies pour s'accomplir. Programmés pour apprendre » Le cerveau humain a rétréci depuis Cro-Magnon
Les réseaux de la mémoire : voyage au coeur du cerveau avec Mapping Memory du National Geographic Comment nos perceptions se transforment-elles en souvenirs ? Quelles zones du cerveau sont activées lorsque nos sens lui transmettent sons, odeurs, images fixes et animées ? Comment s’opère la coordination des toutes les régions sollicitées par la pensée et le raisonnement ? Mapping Memory (en anglais), animation en 3D proposée par le National Geographic, répond à toutes ces questions et surtout, vous permet de voir de vos propres yeux s’animer les zones sollicitées par la mémoire immédiate et la mémoire de travail. Plusieurs écrans et animations sont également consacrés à la face obscure de la mémoire : l’oubli. On s’arrêtera en particulier une visualisation très instructive des ravages provoqués sur le cerveau par la maladie d’Alzheimer. Cette animation fait partie d’un dossier complet sur la mémoire.
Mémoire Dossier réalisé en collaboration avec le Pr. Francis Eustache, Directeur de l'unité Inserm-EPHE-UCBN U1077 "Neuropsychologie et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine" – Octobre 2014 La mémoire repose sur cinq systèmes de mémoire © Inserm, G. Auzias/S. Baillet/O. Cette représentation de neuro-imagerie est un exemple de la technique dite de recalage interindividuel guidé par les sillons (DIffeomorphic Sulcal-based COrtical ou DISCO). La mémoire se compose de cinq systèmes de mémoire impliquant des réseaux neuronaux distincts bien qu’interconnectés : La mémoire de travail (à court terme) est au cœur du réseau. Cet ensemble complexe est indispensable à l’identité, à l’expression, au savoir, aux connaissances, à la réflexion et même à la projection de chacun dans le futur. La mémoire de travail La mémoire de travail (ou mémoire à court terme) est en fait la mémoire du présent. 7, le nombre magique Le chiffre 7 serait le "nombre magique" de la mémoire de travail. La mémoire sémantique