Chroniques du plaisir au travail: halte à la morosité!
Sylvaine Pascual – Publié dans: Vie professionnelle Entre concept vite estampillé gentillet et héritage judéo-chrétien, le plaisir au travail peine à trouver ses lettres de noblesse, autant en termes de faisabilité qu’en termes de légitimité. C’est vrai, quoi, on n’est pas là pour rigoler! Peut-être, cependant faire ce qu’on a à faire dans la bonne humeur et le plaisir, c’est quand même plus motivant que le faire dans la sueur et les larmes. D’ailleurs, les articles et dossiers sur les bénéfices du plaisir au travail se multiplient, avec un point commun: ses bénéfices sont immenses… en particulier pour les entreprises. La morosité comme modèle de pensée unique? “ A l’heure où nous ne cessons de dénoncer les dérives managériales et les conduites cyniques parfois cultivées par certains salariés, l’épanouissement au travail devrait devenir un gros mot ? “Dès que j’ai pris mes fonctions j’ai cherché à améliorer ce qui me semblait pouvoir l’être. (Re)donner du sens à son travail
Bien-être et plaisir au travail: les compétences psychosociales
Les 10 compétences psychosociales définies par l’OMS sont autant d’aptitudes considérées comme essentielles et trans-culturelles qui permettent de “répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne”, tout en maintenant “un état de bien-être mental”. Étonnamment, ces compétences ont été cantonnées à l’éducation, alors qu’elles nous concernent tous et font partie des facteurs déterminants du bien-être et du plaisir au travail. « Les compétences psychosociales sont la capacité d’une personne à répondre avec efficacité aux exigences et aux épreuves de la vie quotidienne. C’est l’aptitude d’une personne à maintenir un état de bien-être mental, en adaptant un comportement approprié et positif, à l’occasion des relations entretenues avec les autres, sa propre culture et son environnement. Les compétences psychosociales ont un rôle important à jouer dans la promotion de la santé dans son sens le plus large, en termes de bien-être physique, mental et social. Voir aussi
Le climat social en 6 étapes
Parler de climat social à l’heure du Lean Management peut sembler un non-sens. Dans un contexte où les charges et la masse salariale pèsent plus que jamais sur la compétitivité des entreprises, l’épanouissement des salariés au travail est un sujet bien souvent relégué au second plan. C’est pourtant un élément clé dans la stratégie des entreprises pour développer leur performance opérationnelle. Qu’est-ce que le climat social? Le climat social est le degré de satisfaction qui règne dans l’entreprise, une notion complexe pour un grand nombre tant son périmètre est vaste. Pour faire un parallèle, le climat social d’une entreprise peut s’apparenter à un traitement médical : prévention, dépistage, appréhension des risques, diagnostic, prise en charge de la douleur, posologie et suivi. Quels sont les enjeux d’une telle démarche? Il faut comprendre que restaurer, maintenir ou améliorer le climat social de son entreprise est un projet à part entière. Etape 1 : l’acceptation de projet
Bien-être au travail : les bonnes pratiques à adopter
Tout l'été, des experts RH et des DRH vous recommandent des ouvrages incontournables publiés depuis un an. Mickaël Hoffmann-Hervé, DG délégué en charge des ressources humaines du Groupe Randstad France, a choisi "L'humain dans l'entreprise : un capital à préserver", de Sacha Genot et Philippe Tallois (Editions Eyrolles). Crédits photo : Bruno Lévy Mickaël Hoffmann-Hervé, DG délégué en charge des ressources humaines du Groupe Randstad France > Que dit ce livre ? > Pourquoi est-ce essentiel de le lire ? > En quoi cela fait sens dans votre pratique professionnelle ? > Citation choisie : « Un bon management du bien-être doit donner confiance, faire évoluer et aider les subordonnés à progresser. » "L'humain dans l'entreprise : un capital à préserver", de Sacha Genot et Philippe Tallois L’autonomie « est surtout un état d’esprit, de responsabilisation individuelle qui a pour but d’inciter le n+1 à soumettre des idées, pour améliorer la productivité. Crédits photo : Shutterstock.com La solidarité
Le slow management, au service d'une meilleure productivité - Cinq jours à la une - Société
Séance de yoga pendant la pause déjeuner pour quelques salariés de Patagonia © Patagonia Le franco-américain Yvon Chouinard détient un MBA : un "management by absence". Il estime qu’il faut laisser ses salariés aller surfer. Il faut leur faire confiance, s’ils adhèrent à la philosophie de l’entreprise, cela suffit. Cet alpiniste est devenu patron malgré lui, quand il a inventé son matériel puis ses vêtements de montagne. Le slow management consiste à éliminer les facteurs de stress de ses salariés et améliorer leur cadre de travail : espace de sieste, relaxation, covoiturage, flexibilité dans les horaires, cuisine collective, ruchers dans le jardin.
Coaching d´entreprise : Motiver ses salariés en 5 points
L’équipe est souvent à l’image du commandement. Autrement dit, si vous trouvez que vos salariés sont démotivés, manquent d’enthousiasme... c’est avant tout votre propre motivation qu’il faut remettre en question. Dans tous les cas, la délicate tâche de motiver ses employés requiert généralement un savoir-être et une intelligence humaine de la part du manager. Néanmoins, le recours à un coach professionnel peut parfois être nécessaire. Voici quelques conseils pour vous assister dans cette mission. La motivation vient de la confiance donnée à ses salariés Et il s’agit ici de celle que vous accordez aussi bien que celle que vous cherchez à obtenir. Responsabiliser ses salariés pour les motiver Elément directement rattaché à la confiance. Lancer des défis motivants Evitez d’entraîner les membres de votre équipe dans une routine quotidienne asphyxiante tant pour leur créativité que pour leur motivation. Instaurer une bonne ambiance Communiquer pour motiver ses employés
10 trucs pour augmenter le plaisir au travail et moins procrastiner
Où je démontre que, contrairement à beaucoup de gens, j’ai d’excellentes raisons de céder à la procrastination estivale*. Et comme procrastiner ne signifie pas ne rien faire, mais faire autre chose de plus intéressant, plus fun ou moins pénible, je vous propose à la place des pistes pour construire davantage de plaisir au travail. Là, vite fait, l’air de rien, j’aurais pu vous réécrire une histoire glamour et glorieuse… J‘aurais bien donné dans les petits arrangements avec moi-même emballés dans les papiers cadeaux des bonnes excuses et je vous en aurais fait un billet sur les bienfaits d’une procrastination choisie, parce qu’en effet, elle n’est pas à négliger, en particulier pour les précrastinateurs, les excessivement disciplinés, les nez dans le guidons et les cohortes de bons petits soldats qui s’épuisent à vouloir toujours bien/mieux faire sans penser à eux-mêmes. J’aurais pu vous raconter une histoire édifiante dans ce genre-là, ça aurait eu de la gueule.
10 façons de se faire plaisir au travail
Recevez un extrait de notre guide de survie aux réunions pour transformer vos réunions en moments funs et productifs ! Non il n’est pas honteux de se faire plaisir au travail et oui il existe des façons de prendre du plaisir au travail (je ne parle pas de relations adultères avec un/une collègue de travail qui sort strictement de mon domaine de compétence). Même si c’est vrai que le mot travail vient du latin tripalium qui est un instrument de torture (« Oui, nous pouvons travailler avec plaisir » ), il faut arrêter de voir le travail comme un sacerdoce, une punition divine qui s’abat sur chacun de nous, enfin quand on a la chance d’en avoir un ! Et si la dopamine devenait la meilleure arme du manager, et si pour motiver ses équipes les managers ne proposaient plus un presse papier aux couleurs de l’entreprise ou une augmentation infinitésimale mais du plaisir à ses collaborateurs ? Bien sûr le plus important pour prendre du plaisir au travail c’est: