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3 astuces pour protéger ses photos contre le vol

3 astuces pour protéger ses photos contre le vol
Important : Avant de lire la suite de cet article, il est fortement recommandé de lire celui-ci (Protéger ses photos contre le vol : les solutions), qui explique la problématique de la protection des photos sur internet, et qui donne des conseils élémentaires. Voici, en complément d'autres techniques (dont la plus efficace reste de ne pas diffuser ses photos en grand format sur internet), quelques outils pratiques pour éviter le vol de photos. Pré-requis : vous devez maîtriser les bases du html pour utiliser ces astuces. 1. Placer une image transparente au-dessus de l'image à protéger : Le clic droit permettra uniquement d'enregistrer l'image transparente et non pas votre photo (technique utilisée sur Flickr pour les images protégées). Créez une image gif transparente (de petite taille, elle sera redimensionnée à la taille adéquate), puis utilisez ce code pour afficher votre image, en modifiant les valeurs (tailles, emplacement de la photo et de l'image transparente) : Exemple : 2. 3. Related:  queenmum

Photos dans un musée Je viens vous parler aujourd'hui d'un sujet auquel j'ai un peu réfléchi après la nuit des musées le mois dernier, sans trouver de réponse claire. J'ai eu la bonne surprise d'apprendre d'une gardienne au centre Pompidou que les photos étaient autorisées et j'en ai donc pris quelques unes. Un certain nombre sont des photos d'oeuvres (et juste de l'oeuvre) donc je suppose que leur utilisation poserait problème. Le cas plus intéressant, c'est les photos de salles du musée ou d'interactions entre les gens et l'oeuvre. Du point de vue du droit d'auteur, je pense que la première ne pose pas de problème, la deuxième plus dans la mesure ou c'est à mes yeux une oeuvre dérivée. J'ai donc pour un usage personnel fait des photos, et il ne s'agit pas de "prises de vues à vocation professionnelle".

L'exposition L’exposition est avec la composition l’un des éléments fondamentaux à la base de toute photographie. Que ce soit en argentique ou numérique, la réussite d’une photo passe avant tout par une bonne maitrise de l’exposition. Lorsque vous prenez une photo vous allez chercher à traduire ce que voient vos yeux sur la capteur de votre appareil photo. L’exposition n’est donc pas seulement une nécessité technique, elle permet également de restituer l’atmosphère de la scène que vous photographiez. Qu’est-ce que l’exposition ? L’exposition est le procédé qui consiste à présenter une surface sensible à la lumière dans le but de former une image. Pour obtenir une exposition correcte, il est nécessaire de doser avec précision la quantité de lumière qui va atteindre le capteur. sous-exposition : le capteur n’a pas reçu suffisamment de lumière, l’image est trop sombre. surexposition : la capteur a reçu trop de lumière, l’image est trop claire. Lands End Light – Tony Armstrong Le triangle d’exposition

Protéger ses photos contre le vol : les solutions Un nouveau type de pratique déloyale fait son apparition sur internet : la vente de photos dont les droits n'appartiennent pas au "marchand". Une internaute anglaise a récemment découvert plusieurs de ses photographies vendues sur un site, sans qu'elle n'en ait été informée. Les images étaient vendues sous différents noms d'artistes, probablement faux. Ce type de détournement peut devenir monnaie courante, si l'on ne prend pas ses précautions. 1. Vous pouvez distribuer gratuitement vos images, en limitant leur diffusion à un usage non commercial. Ce type de licence est simplifié par Creative Commons : il s'agit de la licence Creative Commons NC (Non Commercial). Vous pouvez également utiliser la licence Creative Commons BY , qui impose que le nom de l'auteur soit cité. En cumulant les deux restrictions, vous obtenez une licence Creative Commons NC BY . Si vous utilisez des sites comme Flickr pour partager vos photos, vous pouvez indiquer le type de licence souhaité pour chaque photo. 2. 3.

Réutiliser des images en ligne : entre Copyright, Copyleft et ... Copydown ? Un des grands plaisirs du blog, c’est la chasse aux images pour illustrer les billets. L’écriture web peut difficilement se passer de l’image, tant elle est nécessaire pour capter l’attention du lecteur et condenser le message. Force est de constater que lorsqu’on écrit sur Internet, on devient vite avide d’images … Depuis que j’ai commencé ce blog, il n’est quasiment pas un billet que je n’ai illustré par une ou plusieurs images. Ce qui n’était au début qu’une pratique purement “décorative” est devenu au fil du temps un vrai besoin, à mesure que les images devenaient des moments à part entière de la démonstration. Mais à présent, il faut bien le reconnaître : me voici devenu un véritable “consommateur d’images”, comme beaucoup d’internautes, et n’ayant aucun talent particulier pour la photographie ou le dessin, je suis dans la nécessité de récupérer ailleurs des images faites par d’autres. Cette belle composition de silex à trous qui flirte avec le land art est "copyrightée".

Flickr désactive l’épinglage de certaines photos sur Pinterest Il y a actuellement un débat sur la toile, pour savoir si oui ou non Pinterest est légal, notamment en ce qui concerne le respect des droits d’auteurs pour les images postées sur ce site. A ce sujet, je vous conseille cet excellent article de Josh Davis : Is Pinterest the new Napster? Pinterest ne semble pas avoir la réponse, et ne veut pas se placer du mauvais côté de la barrière. Le site de planches virtuelles a proposé dernièrement aux éditeurs de sites web qui ne souhaitaient pas que leurs contenu soit épinglable sur Pinterest d’ajouter un bout de code à leurs pages web, rendant ainsi impossible l’épinglage d’images ou de vidéos. Le code à ajouter sur son site est : <meta name= »pinterest » content= »nopin » /> Le premier site qui n’autorisait pas que son contenu soit partagé sur Pinterest était Facebook, et ce bien avant que Pinterest ne mette en place ce code à disposition des éditeurs.

Comment réussir ses super- photos d’intérieur Sous-titre: comment éviter les photos à dominante jaune… Vous allez me dire: quel est l’intérêt de parler de cela maintenant: les beaux jours arrivent et justement c’est l’occasion de sortir pour photographier ! Mais qui sait quand vous lirez cet article on sera peut-être de nouveau en hiver… J’ai une amie à qui je disais récemment je ne sais pas trop comment m’y prendre pour communiquer… je voulais dire: faire des communications pour promouvoir mon site Mes-photos-se-livrent. Elle me répond: des sujets de communication? Après ce long préambule j’en viens directement au point qui est déterminant pour réussir vos photos en intérieur: la gestion de la lumière. Pourquoi le syndrome de la photo jaune ? Vous l’ignoriez peut-être, mais la lumière possède une couleur. Or, la lumière des ampoules a une température d’environ 2400 à 4200 K°, selon le type d’ampoules. C’est donc pour cela que les photos en intérieur ont une fâcheuse tendance à prendre une dominante jaune, les bougresses !! Conclusion

Quelle signature/watermark pour quelle photo ? Je vous ai déjà parlé des signatures sur les photos (aussi appelées watermark). S’il est conseillé de marquer ses photos lorsque l’on veut les distribuer sur internet, il faut aussi faire attention à son format: la signature doit être fonction de l’usage des images. Dans l’absolu, la règle d’or (à mon sens) est de préserver la photo avant tout. Quelques exemples Voici quelques exemples de watermark. Dans un coin ( Source photo: Photo Libre ) Avantage: Discret, sobre et ne gène pas trop la lecture de l’image.Inconvénient: un recadrage permet de supprimer la signature. La signature dans un cadre Avantage: la signature s’ajoute à la photo sans la dénaturer.Défaut: Un simple recadrage et la signature disparaît. En transparence sur l’image Avantage: très bonne protection contre l’utilisation frauduleuse de vos imagesDéfaut: Dénature très largement et risque de gêner la lecture de l’image Ce genre de signature est, dans la plupart des cas, à proscrire. Automatisation Bilan

Savoir reconnaître une photo truquée en ligne Une image officielle du métro new-yorkais complètement vide pendant l'ouragan Sandy Voici la première chose que l'on doit avoir à l'esprit lorsqu'on surfe sur la Toile : il ne faut pas prendre ce qu'on y voit pour argent comptant. Surtout quand les images relatent des évènements très médiatisés. Parce qu'aujourd'hui, la retouche de photos est à la portée de tous et bien des petits malins l'utilisent pour créer des images qui impressionnent, mais qui se révèlent fausses dans bien des cas. L'actualité est une bonne source de création pour ces canulars et bien des internautes partagent de fausses images ou des « mèmes » sur les réseaux sociaux, sans le savoir. L'ouragan Sandy qui a frappé la côte Est américaine à la fin du mois d'octobre 2012 a généré un nombre incroyable de clichés sur la Toile. Des habitudes à prendre pour discerner le vrai du faux Ce simple exercice démontre à quel point, en 2012, il n'est pas aisé de discerner la réalité de la supercherie. Education aux médias pour tous

Instruction administrative : méfiance ! Instruction administrative : méfiance ! Vendredi 6 avril 2012 Bonjour L’article d’aujourd’hui a pour objet une modification légale récente dont les conséquences fiscales peuvent être importantes pour les auteurs. A l’heure où le dépôt des déclarations de revenus approche à grands pas, l’Administration a adopté une Instruction, en date du 15 mars 2012, pour préciser les modalités d’application de l’une des mesures contenues dans la loi de finance du 28 décembre 2011. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces modalités de mise en œuvre contiennent un piège dans lequel il vaut mieux ne pas tomber. Un auteur photographe qui débute son activité professionnelle a le choix entre deux régimes fiscaux : - celui de la MICRO-entreprise, qui lui permet de tenir une comptabilité très simplifiée et de ne déclarer que le montant total de ses revenus d’auteur dont le Fisc retirera une quotité forfaitaire (34%) avant de l’imposer sur le reste En résumé, l’Instruction nous dit la chose suivante : . .

Photographie : régler la balance des blancs <div class="greet_block wpgb_cornered"><div class="greet_text"><div class="greet_image"><a href=" rel="nofollow"><img src=" alt="WP Greet Box icon"/></a></div>Bienvenue sur <a href=" >Bento Blog</a> ! Si vous êtes nouveau, <a href=" rel="nofollow" target="_blank"><strong>suivez le blog par flux RSS</strong></a> ou <a href=" target="_blank" ><strong>par la newsletter</strong></a>.<div style="clear:both"></div></div></div> Sur ordre suggestion de Nol, nous allons nous intéresser à la balance des blancs avant de repartir dans le triangle d’exposition. Cet effet se voit surtout sur les parties blanches de la photo, qui prennent une teinte selon la situation lumineuse, d’où le nom de balance des blancs.

Frequently Asked Questions These FAQs are designed to provide a better understanding of Creative Commons, our licenses, and our other legal and technical tools. They provide basic information, sometimes about fairly complex topics, and will often link to more detailed information. Other CC FAQs: CC0 Public Domain Dedication and Public Domain Mark. "Licensor", "rights holder", "owner", and "creator" may be used interchangeably to refer to the person or entity applying a CC license. Information about the licenses is primarily made with reference to the 4.0 suite, but earlier license versions are mentioned where they differ. Have a question that isn't answered here? Creative Commons does not provide legal advice. Questions Most Frequently Asked Questions About CC General License Information For Licensors NB: You should never apply a CC license to a work unless you have all the permissions you need to do so. Choosing a license What can I license? Rights other than copyright Business models After licensing For Licensees Data

15 conseils pour réussir vos photos 1: Maitriser les notions de base Prenez le temps de lire ce guide sur les notions de base pour apprendre à maitriser la vitesse de l’obturateur du boitier, l’ouverture du diaphragme et la focale de l’objectif, la sensibilité ISO du capteur, ainsi que la profondeur de champ. Avec ces quelques paramètres, le photographe maitrise parfaitement l’aspect qu’il veut donner à une image, il est donc essentiel d’acquérir ces quelques notions théoriques simples. Exemple 1 : Une vitesse d’obturation élevée, ici 1/800 de seconde, permet de figer le mouvement de la catcheuse. 2 : Bien connaitre son matos Ne lisez pas le mode d’emploi à la dernière minute ! Maitriser les réglages de votre boitier : une règle essentielle pour réussir vos photos ! 3 : Observez et soyez réactif Idéalement, une photo doit raconter une histoire : n’hésitez pas à inclure un élément précis dans votre cadrage pour apporter une information. Exemple 1 : Une photo doit être esthétique et peut également apporter une information.

Copyheart : un amour de licence libre Magie de la sérendipité, je suis tombé plus ou moins par hasard sur la licence (ou plutôt sur la non-licence) libre la plus charmante qu’il m’ait été donné de rencontrer à ce jour : le ♡Copyheart. Son inventeur s’appelle Nina Paley, une activiste éminente de la Culture libre, qui s’est distinguée comme artiste en créant le magnifique film d’animation Sita sings the blues (sous licence CC-BY-SA) et qui s’attache à penser la propriété intellectuelle autrement sur son site QuestionCopyright. Nina s’est lancée depuis quelques mois dans un nouveau projet, en créant un blog BD mettant en scène sous forme de strips en 3 cases deux petits personnages, Mimi and Eunice, que vous avez déjà peut-être vus dans cette vidéo en faveur du partage "Copying is not theft". Les aventures de Mimi and Eunice portent sur des sujets variés, en fonction de l’humeur de Nina, mais certains strips aiguillonnent joliment la propriété intellectuelle et ses dérives, comme celui-ci par exemple : Par Nina Paley. Q. R. Q.

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