NosDéputés.fr : Observatoire citoyen de l'activité parlementaire Politest, le test pour se positionner politiquement Nouvelles formes de participation démocratique : Cinq expériences 2.0 Les réseaux sociaux, médias en ligne, blogs redonnent-ils du pouvoir aux citoyens ? Le Forum mondial de la démocratie, cette semaine à Strasbourg, examine des initiatives à l'oeuvre sur tous les continents. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne-Sophie Novel (journaliste ) Du 23 au 27 novembre, à Strasbourg, les participants au Forum mondial pour la démocratie examineront des initiatives de démocratie participative à l'oeuvre sur tous les continents. > Lire aussi l'entretien : "Internet renforce le pouvoir de la société civile" Depuis trois ans, les initiatives françaises de démocratie 2.0 se multiplient, avec pour objectif de stimuler la participation citoyenne aux instances démocratiques, qu'elles soient locales ou nationales. Sur Parlement-et-citoyens.fr, la co-élaboration des propositions de lois portées par les parlementaires est à l'honneur. Ciblant plus particulièrement les questions d'immigration, PBP mêle l'analyse quantitative aux éléments qualitatifs.
Twitter : gadget électoral ou outil de démocratie numérique Gilles Babinet, président du Conseil National du Numérique, lors d’une intervention à Sciences Po, relatait avec amusement les questions de certains hommes politiques qui se tournaient vers lui : « ah oui, c’est bien Twitter, disaient-ils. Il faut que je m’y mette ! Auriez-vous un bon bouquin à me conseiller ? » Rires dans la salle. Le choc générationnel. Par charité, Monsieur Babinet n’a cité aucun nom. Pourtant le phénomène Twitter n’a pas échappé aux politiques. Sur le site de micro-blogging, on dénombre la présence d’une vingtaine de ministres, soit les deux tiers du gouvernement, et quelques 200 personnalités politiques. Cet obscur univers du hashtag Si certains tardent à s’y mettre, c’est qu’il existe entre les politiques et Twitter une bonne dose de méfiance. On pourra objecter à cette méfiance que les hommes et femmes politiques ne sont pas des digital natives et qu’il s’agit-là avant tout d’un problème générationnel. Vers une communication plus interactive
MUR DE LA PRESSE- des principaux journaux en ligne leuropecestpassorcier L’Europe c’est pas sorcier est une opération transmedia, participative et intergénérationnelle sur l’Europe dédiée aux enfants, aux adolescents et jeunes adultes, aux parents et grands parents. En mettant les internautes en immersion sur les sujets européens qui les intéressent, ce site est un des éléments de l’opération L’Europe c’est pas sorcier qui se décline aussi en une exposition, un mémento et des événements en régions. C’est L’Union européenne expliquée à tous. Son histoire, les gens qui y vivent et qui la font, les traités, les institutions et leurs rôles, les chefs d’Etat et les commissaires, les ministres et les députés, les sujets de tous les jours et l’Europe de demain. L’opération est produite à l’initiative de et par Graine d’Europe qui associe sa démarche de sensibilisation à l’Europe à la philosophie de l’émission « C’est pas sorcier » pour créer le concept « L’Europe c’est pas sorcier », en partenariat avec France Télévisions.
Ce que s’abstenir veut dire, par Céline Braconnier et Jean-Yves Dormagen En France, les dernières élections municipales, les 23 et 30 mars 2014, ont suscité un déluge de commentaires sur la montée de l’extrême droite. Certains sont allés jusqu’à y voir un quasi-plébiscite local en faveur du Front national (FN). Ce flot de déclarations, d’articles et de reportages télévisés contraste avec ce qui constitue la donnée majeure du scrutin, et plus généralement de tous les scrutins depuis trente ans : le taux record d’abstention, dont l’étude précise conduit à nuancer les analyses produites à chaud. Si la progression du FN par rapport aux municipales de 2008 est incontestable, elle n’en demeure pas moins contenue. Même chose s’agissant de la « vague bleue ». Depuis près de trente ans, à chaque consultation, l’abstention bat un nouveau record. Le problème s’avère d’autant plus sérieux que cette minorité votante n’est pas représentative, socialement et politiquement, du corps électoral dans son ensemble. Un maire désigné par 12 % de la population
Mission Knut: Incarnez un commissaire européen - Serious game eNq1V11v2jAUfe+viPJOAh3QDwWqjbVbpVVjbdH2gFSZ5AKmxk6vbT726+dAaMkU2uLit8TXOsc+vr73OLpYTJk3A5RU8JZfC6q+BzwWCeWjlt+7v6qc+hfto2hCZmR72klQfWg0fC9mRMqWn4WDARAugz83P76CAQD020deJAYTiFVhnlaUBd+JHN+QNJvjRTNBE28KaiySlp9qtRr1IqnQLKOdClSEdYiCkcBlFObDhSkIKYrkoXZ6dlY/2Z4ShRn4O1io/C3wUaYkhi6KGU0gKaUaEibBimE4T7pEja/5UJQih4VdNMMplZnclUeulRXhfLOh1zWrNZqfapaa9STgD8JH7iTrCK5goTLlylWjJo4c7CTS2fpFTFi5RkO01KW7yllHqiA83QHOGLyiSkJlysgymMjUluOXBlzerX5LOWjSKmasFdGASOghK2UYK5Weh+EENAcZDBAUGXEIhvh86KHt5tymFYIUGk0l2QU/iafy4PfdlDDKEzGXB843k84EiQkDmpLtKKljjQhcuS/z3UI7cbQbKq/5FZoc+zkc0h0FWKG2A0+3TqOI/J5uuxN++2YXYE2AIJJlAZeZqh+sq4PvMeAjNTbGYIOUc5h0hEXLrz4Plx9l8z+6LSlWPyv2fO0vkShcb3ffloXM2aF31CJPLArSEQuZkMUtPF2X4342UbMKValWavXj+mmt2jyu1y1rc97fV/3RmWa3W7XSGcmXdZdxhK9zF3RID7F2vW+WwUbdrtpuJ2opiW1jzY7xHs1LgBn8cqE75/0ZwT5JU0ZjokzPk30lpuaz2Z/DwIzL/qb99ouFov/hJpnqwdu9xe66aHsb48QPmNMwhUKDVL3b69ddzof9onHqO/0i14yF+6K9e+WupCt/q+2/F+M49GCT6K7Mk1M3uw6UAn+7vLdtlS9LdteOi57SEU9+dfIn2WGtnrkIbz71sgtgBf5X8HJnuk5YW+N7uae+Lz4uCjNr2T76BzjEHRI=
Peut-on imaginer une cyberdémocratie ? | Chez Jean Matouk L’Assemblée nationale juste avant les vacances parlementaires, le 22 juillet 2015 (JOEL SAGET/AFP) Les spécialistes de droit public distinguent traditionnellement deux formes de démocratie : la démocratie directe et la démocratie représentative. Les deux datent, peut-on dire, des Grecs. Ou bien tous les citoyens – pas les femmes, qui n’étaient que demi-citoyennes, ni les esclaves et Métèques – se réunissaient sur l’Agora, devenu Forum à Rome, et débattaient, puis votaient ; ou bien ils élisaient des représentants chargés de décider des lois. Le référendum, un idéal et ses faiblesses La transposition moderne de ces deux systèmes de démocratie sont le référendum, ou l’élection de députés et sénateurs. En France, le référendum est inscrit dans la Constitution et généralement utilisé pour voter les Constitutions successives, ou leurs modifications, ou prendre de grandes décisions, comme l’indépendance de l’Algérie. Le référendum a souvent été une forme de plébiscite. Et la cyberfraude ?
Comprendre les institutions - Découverte des institutions - Repères - Vie Cette rubrique brosse le portrait des institutions de la France définies par la Constitution de 1958. Elle est organisée autour de quatre thèmes : 1/ La Constitution de la Ve République : définit ce qu’est une Constitution, présente les raisons de l’élaboration de la Constitution de 1958, ses héritages et ses principes, mais également les principales transformations qu’elle a subie et qui ont eu un impact sur la philosophie et la pratique institutionnelle (élection du président au suffrage universelSuffrage universelDroit de vote accordé à tous les citoyens majeurs., quinquennat…). 2/ Le fonctionnement des institutions : présente le fonctionnement des institutions françaises le Président, le Premier ministre et le Gouvernement, le Parlement, le Conseil constitutionnel et les autres institutions indépendantes et les relations qu’elles entretiennent entre elles, telles qu’elles sont définies par la Constitution de 1958.
Les propositions pour restaurer le lien entre les citoyens et leurs représentants Septennat non renouvelable, diminution de nombre de parlementaires, limitation à trois mandats parlementaires successifs: ces pistes de réformes figurent dans les 17 préconisations du rapport de la mission sur l'avenir des institutions. Le groupe de travail sur l'avenir des institutions, coprésidé par le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, et par l'historien Michel Winock, a présenté vendredi dix-sept propositions pour «restaurer le lien entre les citoyens et leurs représentants». Les députés Républicains ont exprimé, par la voix de Bernard Accoyer, leur opposition à ce rapport, jugeant que «la France n'a pas besoin de révision constitutionnelle, elle a d'abord besoin de courage politique et de réformes de structures.» » Retrouvez l'intégralité du rapport du groupe de travail sur l'avenir des institutions.
Démocratie fragile en UE- La Libre.be La démocratie, l’état de droit, le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales sont les socles du projet européen. L’Union européenne reste d’ailleurs l’un des endroits du globe où ces valeurs sont les mieux respectées et défendues. Néanmoins, ces dernières années, certains principes démocratiques ont été bousculés, sinon bafoués, en Hongrie, Roumanie, Bulgarie, Grèce, France et Italie. Par ailleurs, la montée des partis populistes et xénophobes, les faibles taux de participation aux élections, la hausse de la corruption et la méfiance envers les élites politiques - phénomènes constatés dans de nombreux Etats membres - témoignent d’un malaise démocratique en Europe, aggravé par la grave crise socio-économique. A la demande du groupe des socialistes et démocrates du Parlement européen, le think tank britannique Demos a élaboré un outil pour mesurer l’état de la démocratie dans les Etats membres de l’Union. Elections et procédures démocratiques. Recommandations.