CFPI
Sensible à l’implication des artistes dans la cité, la Haute école des arts du Rhin développe à Strasbourg une formation à destination des plasticiens, architectes, designers, scénographes et graphistes. L’École supérieure des arts décoratifs de Strasbourg, désormais Haute école des arts du Rhin, a été labellisée par le ministère de la Culture comme l’un des deux centres en France de formation des plasticiens intervenants (CFPI). Complémentaire à la pratique artistique, la formation délivrée donne aux futurs artistes intervenants les clés pour mieux diffuser les enjeux de la création contemporaine auprès de publics variés (milieux scolaire, périscolaire, carcéral, hospitalier). Après validation par un jury des compétences d’intervenant de chaque stagiaire, celui-ci se voit délivrer un certificat d’artiste intervenant. Pour les étudiants et artistes confirmés
Le Webclasseur Enseignement catholique
Les jeunes acteurs de leurs choix d'orientation Les parents impliqués dans l'orientation Les équipes éducatives engagées dans l'orientation Trouver une formation ou un établissement Des outils pour mieux accompagner les jeunes > Non catégorisé > Le Webclasseur Enseignement catholique Pourquoi déployer le Webclasseur de l’ONISEP dans l’Enseignement Catholique ? Pourquoi le faire à partir d’un serveur propre à l’enseignement catholique ? Quelles modalités concrètes pour ce déploiement ? Quels liens avec les services académiques d’information et d’orientation? Sera-t-il Accessible à tous ? Et pour ceux qui utilisent déjà le webclasseur de leur académie ? Une formation est-elle prévue pour les utilisateurs ? Démo : Administration des comptes au sein d'un établissement Introduction à l'espace élève Démo: Articulation espace individuel-espace classe pour l'élève Démo: Profil élève Démo: Ressources élève Démo: Espace de travail équipe éducative. Démo: Espace personnel des membres de l'équipe éducative Expand
artistes numriques.pdf
cours/structure
le schéma narratif la construction des contes peut-être présentée sous la forme d'un schéma que l'on appelle schéma narratif; généralement, le conte est composé de cinq étapes qui sont: la situation initiale: elle présente les personnages et leurs caractéristiques essentielles ainsi que les conditions dans lesquelles ils vivent. Le lecteur découvre le cadre dans lequel l'action va prendre naissance. Le temps employé est donc habituellement l'imparfait; voir le commentaire? l'élément perturbateur: un événement, un choix du personnage vient bouleverser la stabilité de la situation initiale. voir le commentaire? l'action: c'est généralement la partie la plus longue du récit puisqu'elle correspond aux aventures du personnage principal; elle relate les épreuves qu'il rencontre et qu'il doit surmonter; voir le commentaire? l'élément de résolution: un événement, un personnage ou une action mettent fin aux aventures du personnage principal; voir le commentaire? voir le commentaire? voir le commentaire?
Mythologies, Barthes
On ne cesse de citer les Mythologies, mais il est rare qu’on explique ce qu’est précisément une mythologie. La Citroën DS est une cathédrale moderne, la viande rouge et les frites sont le signe de la « francité », le catch fonctionne comme le théâtre antique, etc., etc. Mais encore ? Le mythe est une histoire Barthes dit : le mythe est une histoire. En effet, en communauté, les objets renvoient à autre chose qu’eux-mêmes. La particularité des mythologies se situe alors, pour commencer, dans le « type de renvoi ». En d’autres termes, à force de raconter leur histoire, les objets ne renvoient plus à une histoire : elle finit par faire partie intégrante de la nature même des objets. Une histoire collective Un mythe est donc une représentation collective non pas incarnée « par » un objet, mais encrée « dans » les objets eux-mêmes. Ainsi, une mythologie n’est jamais l’histoire effective des objets étudiés (apparition, évolution, etc.). Le mythe est donc un mensonge ? Oui et non. Conclusion
Creation d' un conte, production écrité, tâche prédagogique, Flenet
- Vous allez inventer un conte à partir des dix éléments qui suivent. - Cliquez sur les différents liens ou mots soulignés et écrivez celui que vous avez choisi. - Rédigez un premier brouillon de votre récit, puis déposez-le dans le blog, en utilisant la fonction "Commentaires" 1. Le héros ou l'héroine Choisissez : 2. Sélectionnez un décor . 3. Découvrez la raison qui poussera votre héros à quitter son actuel lieu de vie. L'envie de découvrir le vaste monde. La certitude d'avoir un jumeau. La recherche de ses parents. L'envie de devenir quelqu'un d'autre. La famine. La mort de sa mère. La recherche d'une nouvelle vie. 4. Votre héros va devoir traverser une série d'épreuves. -Retrouver un anneau d'or. -Passer trois nuits sans manger, ni dormir. -Traduire un message codé. -Dérober la formule aux trois secrets. -Retrouver une clé. -Déchiffrer le message invisible. -Tuer un dragon de feu. - Passer trois nuits sans manger, ni dormir. -Voler l'épée plus lourde que mille tonnes. -Sortir du labyrinthe. 5. 6. 7. 8.
La culture rapporte sept fois plus au PIB de la France que l'automobile
D'après une enquête menée conjointement par le ministère de la culture et celui de l'économie, la culture a apporté, en 2011, à l'économie française 105 milliards d'euros, soit 57,8 milliards de valeur ajoutée (3,2% du PIB). Cette part de la culture dans la valeur ajoutée nationale a augmenté entre 1995 et 2005, atteignant alors 3,5%, avant de connaître une baisse jusqu'à 2013. Avec ces résultats, la valeur ajoutée de la culture s'approche de celle de l'agriculture et des industries alimentaires (60,4 milliards d'euros), est deux fois plus important que celle des télécommunications (25,5 milliards) et sept fois supérieure à celle du secteur de l'industrie automobile (8,6 milliards). Un "PIB culturel" Au ministère de la culture, cette étude a surtout permis de faire reconnaître le poids économique de la culture : " L'idée était de calculer une sorte de "PIB culturel" ". Et dans ce PIB, le spectacle vivant représente 8,8 milliards d'euros et le patrimoine 8,1 milliards.
Activité 2nde : L'étude des personnages d’un roman avec une carte heuristique
par Françoise Cahen, professeur au lycée Maximilien Perret d’Alfortville Un exemple en classe de seconde, dans le cadre de l’étude du roman Une saison blanche et sèche d’André Brink Quand ils arrivent au lycée, bien souvent les élèves de seconde ne savent pas comment mener des recherches dans un livre sur un thème donné, de façon à la fois autonome et méthodique. C’est pourquoi j’ai organisé en début d’année des exposés à conduire en groupes sur une œuvre intégrale, le roman d’André Brink Une saison blanche et sèche. Le thème des personnages s’est imposé, car ceux-ci sont assez nombreux, et j’ai pensé qu’étudier toutes les facettes d’un personnage permettrait aux élèves de se préparer efficacement à l’objet d’étude de première : « le roman et ses personnages », tout en leur permettant de parcourir le roman à la recherche d’éléments divers. Déroulement de la séquence Première séance : comment étudier un personnage ? Le diaporama est visible à la fin de l’article. Bilan