Groupes et comm#
Dynamique de groupe A/ L’étymologie et les définitions : De l’italien « groppo » ou « gruppo » (1668), le terme est porteur d’une signification en tension. Du sens premier « nœud », « assemblage », nous pouvons entendre, d’une part, ce qui réunit, relie entre plusieurs éléments et, d’autre part ce qui retient, qui emprisonne. On va nommer « groupe », un ensemble de personnes orienté vers un but commun. « C’est dans l’interdépendance qu’un groupe se forge. B/ Les différentes catégories de groupe D’après Anzieu et Martin (1968), on distingue 5 grandes catégories de groupes. C/ L’apport de Freud, Moreno, Mayo et Kurt Lewin Sigmund Freud (1856-1939). Le test sociométrique permet de mettre en évidence : les leaders (les membres du groupe choisis par une majorité de membres)les isolés (les membres qui ne recueillent que de l’indifférence)les parias (membres systématiquement rejetés)Kurt Lewin (1890-1947) est l’un des principaux inspirateurs de la psychosociologie. Voir aussi → Wikipedia
Mais pourquoi contribue-t-on ?
La question des motivations revient dès que l’on évoque les mécanismes de contribution dans l’open data ou les données collaboratives. On a parfois du mal à comprendre pourquoi des individus a priori sains de corps et d’esprit consacrent une partie de leur temps libre à ce type d’activité, qu’il s’agisse de développer une application mobile sans grand espoir de gain, ou de cartographier son quartier pour Open Street Map… Les processus contributifs et participatifs sont au coeur de l’open data. Dans le concours organisé par Rennes Métropole en 2010, deux tiers des participants étaient des particuliers. Il y avait certes parmi eux quelques apprentis entrepreneurs et quelques rares militants de la cause du logiciel libre et de l’open source, mais plus généralement les motivations n’étaient ni pécuniaires ni politiques. 1 – Une approche par les motivations : mais pourquoi contribuez-vous ? En résumé, les grandes catégories de motivations sont : 3 – Ne pas sous estimer le facteur d’opposition
Micropolitique des groupes — pour une écologie des pratiques (...) - Livre de David - Autres lectures
« Que pourrait-il se passer si une attention était désormais portée à ces savoirs que fabriquent les réussites, les inventions et les échecs des groupes ? » La question est posée par David Vercauteren au début de son ouvrage Micropolitique des groupes — pour une écologie des pratiques collectives (écrit en collaboration avec Thierry Müller et Olivier Crabbé, HB Éditions 2007). Il n’y est pas question d’engagement militant ni de stratégies d’action — tout ce qui relève de la « macropolitique » — mais de la dynamique interne qui régit le fonctionnement d’un groupe et rend possible cet engagement. L’ouvrage est construit à partir de questions le plus souvent posées après une série d’échecs ayant entraîné la dissolution du collectif. Dans le climat de ressentiment qui s’ensuit, les réponses risquent d’être superficielles et peu propices à une meilleure compréhension des pratiques collectives. NDLR : Le sujet est passionnant, et au coeur des thématiques chères à Passerelle Eco. Le livre
Nous on fait la Révolution ! Et vous ?
Cet article a été publié il y a 3 ans 2 mois 25 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. On aura beau s’évertuer à créer ou à animer une communauté autour d’un objectif, d’un produit ou d’un service particulier ; c’est limite peine perdue si on n’essaie pas de savoir à qui l’on s’adresse. Il est de fait hautement nécessaire de savoir cibler la communauté dans sa psychologie, sa culture et surtout à travers son histoire. Prenez par exemple deux types de communautés que nous connaissons à priori assez bien : une communauté française et une communauté américaine. Mis à part une différence notoire de langue, on se dit à priori que nous ne nous différencions pas tellement l’une de l’autre, les français consomment tous les jours des produits américains, tels que Coca Cola, séries télévisées, et autres café Starbucks. 1. Let’s take a closer look… L La différence dans tout cela ? 2. 3. Qu’en pensez-vous ? Sources :
Le Transfert d’émotion en sept règles : mode d’emploi
mars 9, 2012Médias sociaux, Stratégie webNo Comments L’homme, dans ses choix, est guidé avant tout par ses émotions et non par sa raison comme on veut souvent le faire croire. Les médias sociaux ont l’opportunité par le biais de leur proximité et de leurs approches sociales de jouer sur cette donnée. La corde sensible de l’émotion chez les individus est un axe sur lequel de nombreuses marques tentent de s’appuyer afin de remporter leur affection. Mais cette opération, dans le cadre de son optimisation, répond à plusieurs règles simples qui favorisent un véritable transfert d’émotions entre la marque et l’individu.Dans son ouvrage « le marketing des émotions » Georges Chétochine présente 7 règles à prendre en compte lors d’un transfert d’émotions. - Parler au cerveau reptilien : Le cerveau reptilien est responsable des comportements primitifs assurant nos besoins fondamentaux. - Respecter le triangle des émotions : -Créer de la compassion -Impliquer -Révéler les seniors (1901-1946)?