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Olympe de Gouges : une femme contre la Terreur

Olympe de Gouges : une femme contre la Terreur
Un siècle et demi avant l'écriture du Deuxième Sexe par Simone de Beauvoir, une femme, Olympe de Gouges, avait voulu trancher l'hydre de la misogynie, ce frein entravant l'évolution des sociétés. Malheureusement, c'est sa tête à elle qui roula sur l'échafaud de la Terreur en 1793. Victime de son sexe, victime de ses idées trop humanistes, trop révolutionnaires pour la Révolution elle-même, victime aussi de son origine de classe. Destin transgressif Comme l'histoire est assez ingrate avec certains de ses « grands hommes », la pionnière Olympe de Gouges a dû subir une injustice supplémentaire : celle qui osa écrire, en 1791, la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, acte fondateur d'un féminisme qui ignorait encore son nom, fut reléguée aux oubliettes par... les féministes. Mais, avec Olympe de Gouges, c'est une tout autre histoire. Militantisme humaniste A son arrivée à Paris, elle rêve de théâtre. Oeuvre de salut public Related:  Antisexisme et féminisme

Emma Watson launches He For She movement UN Women Global Goodwill Ambassador, Emma Watson, is gathering global attention for the new He For She movement with a speech delivered at the United Nations Headquarters in New York on September 20, 2014. HeForShe is a campaign led by UN Women in which men all over the world are being encouraged to speak out against the inequalities faced by women and girls. The campaign, online at HeForShe.org, includes Instagram, Twitter and Facebook elements. “Men – I would like to take this opportunity to extend your formal invitation. Gender equality is your issue, too.” “I’m inviting you to step forward, to be seen, and to ask yourself…If not me, who? Secretary General Ban Ki-moon is the FIRST #HeForShe to make his commitment and activated the real-time map that will track progress around the world. “Lifting women up lifts up our economy and lifts up our country…We’ve got to make sure that…somebody is standing up for them.” – President Barack Obama Credits Related UN Women Autocomplete Truth In "Print"

Olympe de Gouges Contexte historique Les femmes et la Révolution La participation politique des femmes aux événements s’est affirmée durant la Révolution française. Tantôt dans la rue, tantôt dans les tribunes des clubs, sociétés ou assemblées, les femmes ont occupé le terrain de l’action militante à plusieurs reprises, en particulier du 31 mai au 2 juin 1793 et le 9 thermidor an II (27 juillet 1794), journées insurrectionnelles qui virent respectivement la chute des Girondins et celle des robespierristes. Analyse de l'image Olympe de Gouges, une militante féministe Née en 1748 à Montauban d’un père boucher ou, d’après ses dires, du noble Le Franc de Pompignan, Marie Gouze monte à Paris en 1766, après son veuvage, et, sous le nom d’Olympe de Gouges, se lance dans une carrière littéraire tout en partageant la vie de Jacques Biétrix de Rozières, un haut fonctionnaire de la marine. Interprétation La Révolution : une avancée pour les droits des femmes ?

Les femmes pendant la guerre de 14-18 Contrairement à ce qui est généralement admis, l’émancipation féminine en France ne commence pas pendant la Première Guerre mondiale. Certes, les images de femmes participant à l’effort de guerre, en travaillant à des métiers alors exclusivement réservés aux hommes ou en soignant les soldats, ont induit ce constat ; de plus, au lendemain de la Première guerre mondiale, la population française a un nouveau visage, plus féminin, avec 1 103 femmes pour 1 000 hommes en 1921, et les nouvelles responsabilités de chef de famille des veuves de guerre ou l’abandon du corset et la mode à la garçonne de l’après-guerre ont renforcé cette idée de libéralisation de la condition féminine. Mais c’est oublier le taux d’activité féminin avant la Grande Guerre, qui représente déjà, en 1906, 37 % de la population active.

Laissez Mélanie Laurent tranquille Notre détestation pour elle n'est qu'une nouvelle manifestation du sexisme que l'on fait subir aux actrices. Les règles du celebrity bashing sont globalement les mêmes que celles du harcèlement moral: c’est souvent quand elle pense s’être enfin faite oublier que la victime reprend un grand coup derrière la nuque. Concernant la dernière phase en date du dossier Mélanie Laurent, les choses sont simples: qu’a fait récemment fait ou déclaré l’artiste pour faire de nouveau l’objet de moqueries depuis ce début de semaine? Rien. Mais ça n’a pas empêché des petits malins disposant d’un logiciel de montage de s’amuser à compiler des bribes de citations issues d’interviews de l’actrice –réalisatrice, chanteuse– pour en tirer un bout-à-bout disponible depuis peu sur leur joli Tumblr Mélanie is curious of everything. Dans cette vidéo*, on l’entend donc prononcer successivement les phrases (ou miettes de phrases) suivantes: Montage fourbe Mélanie, Marion, Gwyneth, Anna... Anna Gunn Thomas Messias

Les trois urnes, Olympe de Gouges Voici le texte qui conduisit Olympe de Gouges en prison puis sur l’échafaud. Les trois urnes, ou le salut de la patrie, par un voyageur aerien (Affiche publiée le 19 juillet 1793) Je me nomme Toxicodindronn ; je suis du pays des fous ; j'arrive du Monomotapa ; j'ai parcouru les quatre Parties du Monde, plus en rêve qu'en réalité ; car notre vie n’est qu'un songe : partout j’ai trouvé les mêmes hommes, des sots et des méchants, des dupes et des fripons; c'est-à-dire, partout des erreurs ou des crimes. Mais, comme les extrêmes se touchent, et que de l’excès du mal naît toujours le bien, il semble qu'il soit de 1'essence des révolutions de régénérer les gouvernements par 1'excès même de leur dépravation. Je doute fort que le Monde ait commence par Adam et Eve, et qu'il doive finir par la Révolution française. Mais, ce qui se présente à notre raisonnement, ce que 1'histoire ancienne et moderne nous apprend, c’est que jamais aucun peuple ne soit mort à 1'époque de sa régénération. « Oh !

Etude sur la Révolution et les femmes, Magnard 4e Recrutement des profs : elle a des rêves, il a de l'ambition Le ministère de l’Education nationale, « premier employeur de France », recrute cette année 17 000 personnes « dans un contexte où l’ensemble de ses métiers évolue en profondeur ». Il lance une campagne destinée à tous les étudiants qui réfléchissent à leur avenir professionnel. Il s’agit « d’attirer les meilleurs talents au service de la plus noble des missions : assurer la réussite de chaque élève ». ► Elle : Laura a des « rêves » Elle s’appelle Laura, elle lit (un roman... « Madame Bovary » ?). Et elle « rêve ». « Et l’avenir pour elle, c’est de faire vivre et partager sa passion, transmettre [eh oui, la vie, ndlr], se consacrer à la réussite de ses élèves. » L’univers de Laura : tons crème et lin, bois clair, zen et féminine attitude. Elle rêve aussi d’emmener « ses » classes découvrir la Rome antique (là encore, il s’agit de supputations sexistes de l’auteure). ► Lui : Julien a des « ambitions » Changement de code couleurs : on passe au bleu, au gris, high-tech.

Olympe de Gouges Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marie Gouze, dite Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748 et morte guillotinée à Paris le 3 novembre 1793, est une femme de lettres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français. Elle est souvent prise pour emblème par les mouvements pour la libération des femmes. Biographie[modifier | modifier le code] Montauban[modifier | modifier le code] Née le 7 mai 1748 à Montauban, Marie Gouze a été déclarée fille de Pierre Gouze, bourgeois de Montauban qui était boucher — il n’a pas signé au baptême car absent — et d’Anne Olympe Mouisset, fille de drapier[1], mariés en 1737[2]. Rien ne la rattachant à Montauban, sinon sa mère qu’elle aida financièrement par la suite[7], elle rejoignit sa sœur aînée à Paris. Paris et le théâtre[modifier | modifier le code] Portrait d’Olympe de Gouges. La Révolution française[modifier | modifier le code] La fin[modifier | modifier le code]

1791 : DECLARATION DES DROITS DE LA FEMME ET DE LA CITOYENNE DéCLARATION DES DROITS DE LA FEMME ET DE LA CITOYENNEFrance septembre 1791 De son vrai nom Marie Gouze, née en 1748 à Montauban, dans une famille de bourgeois drapiers, Olympe de Gouges affirmera être la fille illégitime du noble et poète Lefranc de Pompignan. Veuve d’un riche négociant, elle s’installe à Paris où elle mène une vie de femme libre et courtisée et se consacre à la littérature, publiant notamment plusieurs pièces et romans qui prennent parti contre l’esclavage, ainsi que, de 1788 à 1793, une soixantaine de pamphlets politiques dont l’un, intitulé Remarques patriotiques, contient un programme économique et social. Pendant la Révolution, elle fréquente le Cercle social, où viennent des révolutionnaires comme Condorcet ou Collot d’Herbois, ainsi que d’autres adversaires des préjugés à l’égard des femmes. Extraits Les mères, les filles, les sœurs, représentantes de la Nation, demandent à être constituées en Assemblée nationale.

Collections - Dina Goldstein On | Off Collections Modern Girl Gods of Suburbia Fallen Princesses In The Dollhouse David Trackrecord Commissions Teen Party Dog Show Bodybuilders Fun In The Sun North Americana The Making of Modern Girl The Making of Dollhouse The Making of Gods of Suburbia Gods of Suburbia from Lisa Wu on Vimeo. © Copyright Dina Goldstein Photography Dina Goldstein Olympe de Gouges Google | Twitter | Facebook | RSS | Lettre d'information | Fnac | Kobo | Immatériel | iTunes | Amazon Marie Gouze, dite Olympe de Gouges, est née à Montauban le 7 mai 1748. Son père légal, Pierre Gouze, est boucher. Sa mère, Anne-Olympe Mouisset, fille d'un drapier aisé de la ville, aurait longtemps entretenu une liaison avec son parrain, Jean-Jacques Lefranc de Caix, Marquis de Pompignan, président de la Cour d'Assises de Montauban, poète membre de l'Académie Française et futur auteur d'une pièce à succès intitulée Didon. Jean-Jacques Lefranc serait en réalité le véritable père d'Olympe de Gouges mais il n'a jamais formellement reconnu l'enfant (Plus tard, à la suite d'une rumeur laissant entendre qu'elle serait même une "bâtarde" de Louis XV, Olympe répondra qu'elle n'est "point fille de roi mais d'une tête couronnée de lauriers"). Marie Gouze passe son enfance à Montauban. L'année suivante, alors que la Révolution gronde, elle multiplie les libelles politiques.

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