Outils collaboratifs Google Drive
Travailler avec des applications en ligne est aujourd’hui chose courante avec la généralisation des terminaux mobiles. Google offre, depuis plusieurs années, une panoplie d’applications devenues aussi performantes que les applications dites lourdes. Cette prouesse technologique s’est accompagnée de possibilités de travail collaboratif qui ont multiplié l’intérêt des pratiques pédagogiques en ligne. L’objet de cet article n’est pas de faire de la publicité pour Google, il est destiné aux enseignants soucieux d’enrichir leur expérience avec les outils en ligne. Introduction Depuis avril 2012, Google Doc est devenu Google Drive. Avec l’arrivée de Google Drive, le stockage et de partage de fichiers en ligne est devenu d’une grande simplicité avec un espace de stockage par défaut de 5Go. Google innove en permanence, essayant de distancer ses concurrents (principalement Yahoo et Microsoft), ou d’intégrer le fonctionnement d’autres solutions existantes (comme Dropbox par exemple).
Sociocratie
Collaboratif / Coopératif : quelle différence ? — Enseigner avec le numérique
François Bocquet Quand parle-ton de travail collaboratif ? « Quand deux ou plusieurs personnes - échangent des points de vue sur des informations existantes - planifient et gèrent leur temps - organisent leur travail collectif - partagent de l'expérience - définissent des objectifs communs - construisent des informations ensemble - construisent des compétences ensemble Quand parle-ton de travail collaboratif ? Quand deux ou plusieurs personnes travaillent en mode synchrone - dans le même milieu (salle de réunion, cafétaria, préau ou couloir...) - dans des lieux différents (audio-conférence, visio-conférence, partage d'application). » Séminaire TICE. Jean Heutte « La distinction entre coopératif et collaboratif s'opère en distinguant les relations qu'entretient chaque individu avec les membres du groupe, sa responsabilité par rapport aux actions, sa capacité à influer sur la définition et l'enchaînement des actions permettant d'atteindre l'objectif assigné au groupe. » Université de Genève
Un petit tour des sites et études francophones autour des pratiques
Une veille effectuée à partir du wiki "Autour des pratiques collaboratives" et des moteurs de recherche, merci de compléter en signalant d’autres références : Michel point Briand at Telecom-bretagne.eu ou en les rajoutant dans le wiki ! en partage et coopération Sont ici indiqués les sites, rubriques, outils autour des pratiques collaboratives de celles et ceux qui font le choix de permettre une réutilisation des contenus Site et rubriques sur les pratiques collaboratives dans un esprit de coopération et de partage a-brest la rubrique pratiques collaboratives, rubrique du magazine hebdomadaire a-brest. Voir aussi les sous rubriques Réseaux coopératifs, AnimFR, Figures de la coopération, Doc@brest ; les rubriques wikis, web2.0,Intelligence collective, co-produire et de manière plus large Coopération et innovations sociales. Etudes, guides, contenus de formation La coopération nouvelles approche v1.2, (pdf, 123 pages), Jean Michel Cornu, 24 décembre 2004. Autour des études et méthodes
Vous avez dit outils coopératifs et collaboratifs ?
Quelle est l’origine d’Outils Réseaux ? Il y a 10 ans que le projet Outils Réseaux a démarré. Il est né du besoin de certaines structures d’éducation à l’environnement d’améliorer leur travail en commun. A cette époque on cherchait « LA » solution miracle pour mieux communiquer entre nous. Ca a aussi coïncidé avec ma rencontre avec David Delon. Donc au départ, il y a quelques structures qui ont commencé à échanger autour de ces problèmes : les écologistes de Lozières, Téla Botanica, École et nature (réseaux de structures d’éducation à l’environnement), l’APIEU (éducation à l’environnement urbain). Puis, nous avons commencé à avoir des demandes d’autres structures pour partager nos « échanges de tuyaux ». Au début, le projet a été hébergé par Téla Botanica. Quel bilan tirez-vous de ces 10 ans ? En 10 ans, il y a eu une grande évolution au niveau des outils. En 10 ans, nous avons aussi accompagné plus de 200 collectifs, groupes de personnes qui voulaient plus coopérer/collaborer.
Communication et coopération ou le projet coopératif commutativement revisité
1S’agissant des problèmes de communication et d’organisation « communicationnelle » – dans une structure coopérative et inter-coopérative mes observations participantes s’allongent maintenant au long d’un demi-siècle : depuis mes implications dans des communautés de travail, au début des années 1940, jusqu’à des explications contemporaines autour du 30ème Congrès mondial de l’ACI (Alliance coopérative internationale) à Tokyo en cette fin d’année 1992. 2Peut-être sera-t-il compatible avec le présent dossier de cette revue que de prélever dans les miens trois contributions coopératives à une stratégie de communication qui serait : interactionnelle : ou la communication dans un carré d’acteurs inter-organisationnelle : ou la communication en modèle EMEREC intergénérationnelle : ou la communication dans une référence axiologique. 3C’est ce qu’une tradition de Congrès mondiaux aura nommé : la démocratie coopérative. Encore convient-il d’en circonstancier les modalités. 1 l. 71. 92. 103.
Le tour du monde des pratiques collaboratives
Appréhender la complexité du nouveau monde Le nouveau monde est complexe, rapide, multiple, paradoxal, imprévisible… Saviez-vous que la vitesse moyenne d'une automobile dans Paris est de 17 km/h ? Une vitesse moyenne inchangée depuis le 19ème siècle, dans un monde où l’on peut pourtant discuter sans contraintes spatiales. Dans cette complexité nouvelle, les entreprises qui se sont construites sur une logique binaire ne sont pas forcement armées. Le monde change aujourd’hui plus vite que notre capacité à apprendre individuellement. Comment les pratiques collaboratives changent le monde ? "je donne et je reçois naturellement" La collaboration passe d’abord par le don. Connaissez-vous la Smile Cards ? Ce concept n’est pas nouveau, et rappelle la coutume du café suspendu, cher aux Napolitains. "JE PARTAGE et tout m’est accessible" On reçoit un don et on a ensuite envie de partager ses connaissances. "JE M’OUVRE à de nouvelles façon de penser"
Faire des hommes libres - Boimondau et les communautés de travail à Valence
« L’autogestion c’est pas de la tarte ! » est une formule de Marcel Mermoz. Il fut l’un des piliers de l’aventure de Boimondau qui montre qu’à toute époque, même les plus difficiles, l’envie d’autogestion peut animer les travailleurs. Les plus âgés d’entre nous se souviennent que dès la première élection présidentielle au suffrage universel en 1965 les candidats « marginaux » ont été présents. Cette année-là, ce fut Marcel Barbu. En pleine guerre Le hasard, et non la prémonition, fait qu’on croise Lip au tout début de l’aventure. Mais c’est en 1941 qu’il crée à Valence une nouvelle entreprise « Société Marcel Barbu : BOItiers de MONtre du DAUphiné » qui se fera connaître sous l’acronyme Boimondau. Résistance et réflexion Le refus du STO (service travail obligatoire) fera entrer Marcel Barbu et ses salariés dans la Résistance. La difficulté de durer Les différences de vue entre Barbu et Mermoz persistent. Un livre vivant et plein de questions