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L’acte pédagogique de Philippe Meirieu

L’acte pédagogique de Philippe Meirieu
Dans cette vidéo, Philippe Meirieu nous présente les trois actes forts qui constituent l’acte pédagogique. Vous trouverez ci-dessous le lien de sa vidéo provenant du site FranceTvEducation mais aussi la carte mentale de son intervention que j’ai réalisé avec le logiciel MindMapper 12 Arena . Cliquer sur l’image pour accéder à la vidéo Résumé en carte mentale : Cliquer sur l’image pour agrandir la carte Bonne consultation Olivier L Related:  PEDAGOGIE Theories de l APPRENTISSAGEcyrille95120

De Piaget à Vygotski La psychologie de Vygotski s’appuie sur l’idée que les facultés rationnelles dépendent du contrôle et de la régulation des processus cognitifs au niveau conscient, grâce à l’utilisation d’« outils » cognitifs médiateurs de la pensée. C’est pourquoi elle subordonne le développement cognitif de l’enfant à son appropriation progressive de construits culturels, et notamment de construits organisés tels que le langage et les systèmes conceptuels. L’idée suivant laquelle l’apprentissage interagit avec le développement confère un rôle clé à l’éducation formelle et, à cet égard, à l’asymétrie de la relation adulte-enfant dans le processus d’apprentissage. Cette dynamique du développement intellectuel s’oppose à la dynamique piagétienne pour laquelle le moteur du développement est un processus d’auto-équilibration d’origine interne. Piaget centre son modèle de développement des facultés cognitives sur l’idée d’interaction entre l’individu et son environnement. Nathalie Bulle.

Apprentissages informels: quel poids dans le développement des compétences pro ? Dans certaines entreprises, le modèle 70-20-10 est érigé en dogme. Mais qu’en est il réellement ? Et comment bien l’utiliser ? Pourquoi cette « vogue » des apprentissages informels ? Parce que les cycles technologiques et économiques se sont accélérés. Une étude de Bersin, en 2009, indiquait que « 78% des chefs d’entreprise estiment que le taux de renouvellement et la rapidité de circulation de l’information pose un défi de formation majeure à leur organisation ». Robert Kelley, de Carnegie Mellon, a demandé à des « travailleurs du savoir » (knowledge workers) « Quel pourcentage des connaissances dont vous avez besoin pour faire votre travail est emmagasiné dans votre cerveau ? En 1986, la réponse est de 75%En 1997, 18%En 2006, 9% Et aujourd’hui, où en sommes-nous ? Les connaissances que nous utilisons pour notre travail sont embarquées dans les systèmes d’information, et dans le réseau des personnes avec lesquelles nous travaillons. Mais au fait, d’où vient ce modèle ? P.

Mieux enseigner avec les tablettes Tenter d’introduire l’usage des tablettes dans une école n’est pas gagné d’avance. L’idée peut paraître excellente pour certains et une aberration pour d’autres, qu’ils soient professeurs, administrateurs, parents et même élèves. Les écoles où l’usage des tablettes est un succès ont toutes procédé systématiquement, avec une bonne préparation et une attention continue. Mais beaucoup d’autres ont connu des difficultés et essuyé des critiques à différents niveaux. Voici les principales erreurs à ne pas faire. 1- Laisser les professeurs se faire leur propre idée sans les accompagner. Beaucoup de professeurs chercheront essentiellement des applications de contenu dans leur domaine et seront probablement très déçus de celles qu’ils trouveront. 2- Laisser les professeurs se débrouiller en classe sans les préparer ni les accompagner Travailler avec une tablette s’apprend assez intuitivement, mais travailler avec 25 à la fois n’a rien à voir avec la gestion traditionnelle d’une classe. Références

Les 101 théories de la motivation En 1971, Deci montrait que la persistance des individus, durant une période de libre choix, est moins importante pour les sujets récompensés que pour ceux qui ne le sont pas. Ce résultat, contre-intuitif pour l’époque, montrait pour la première fois chez l’homme de façon expérimentale que la récompense n’est pas un facteur motivant dans tous les cas de figures. Depuis les années 70, Deci (1975, 1980) et Ryan (Deci & Ryan, 1985, 2000, 2002) ont proposé différentes formulations et reformulations théoriques qui ont permis de conceptualiser ce résultat et donne lieu à une volumineuse littérature afférente produite aux cours des trois dernières décennies. La dernière formulation en date (Deci & Ryan, 2002) repose, selon les propos des auteurs, sur ce qu’ils appellent des « mini-théories » : la théorie de l’évaluation cognitive, la théorie de l’intégration organismique, la théorie de l’orientation causale et celle des besoins de bases.

06-07-03-texte Apprentissages formels et informels : de quoi parle-t'on ? Blog de la FPC Intégrer les apprentissages informels comme leviers à part entière de développement des compétences … Fertiliser des « écosystèmes d’apprentissage » … Voilà qui fait rêver, mais en pratique ce n’est pas si simple. Des pistes se dégagent pour une vraie prise en compte – et la facilitation- des apprentissages informels. Voici donc, sur le sujet, un premier billet. De quoi parle t’on ? Dans le langage ordinaire, on parle habituellement d’apprentissage informel lorsqu’il se situe en dehors de la salle de classe, ou de formation. A la suite de Shugurensky (2007), on distingue différents types d’apprentissage informels. la socialisation (apprentissage tacite, « apprentissage presque naturel des valeurs, attitudes, comportements, savoir-faire et connaissance qui se produit dans la vie quotidienne »),l’apprentissage fortuit (apprentissage non intentionnellement recherché, coproduit d’une autre activité),l’apprentissage autodirigé (projet éducatif entrepris sans l’aide d’un professeur) ».

Migrer des ordinateurs aux tablettes dans un contexte pédagogique Voici un excellent rapport de nos voisins suisses sur l’usage et le coût des tablettes dans l’enseignement. Ce dossier dresse un état des lieux objectifs (Mars 2015) du marché des tablettes et de l’édition numérique, tout en étant axé sur le contexte Éducation et Pédagogie. Vous trouverez des expérimentations en cours mais, aussi, les conditions de réussite de l’innovation en milieu pédagogique. Vous trouverez également des recommandations d’équipements (comme la connexion internet) et d’usages. 1. 1.1. 2. 2.1 Liseuses numériques 2.2 Tablettes : systèmes d’exploitation 2.3 Tablettes : état du marché, mars 2015 2.4 Contenus numériques pour tablettes 3. 4. 4.1 Soutien institutionnel 4.2 Formation des enseignant(e)s 4.3 Infrastructure – outils 4.4 Matériel d’enseignement 5. 5.1 Choix des outils 5.2 Déploiements recommandés 5.3 Déploiement : petite échelle ou large échelle ? 5.4 Stratégie pour le primaire 5.5 Stratégie pour le secondaire Info : Conversion CHF >>> EUR au 27/09/2015

A. Bandura. Auto-efficacité. Le sentiment d’efficacité personnelle 1Albert Bandura est docteur en psychologie et enseigne à l’université de Stanford (Californie). Il est l’auteur de L’Apprentissage social (Mardaga, 1985). 2Depuis les années 80, Albert Bandura s’intéresse au sentiment d’efficacité personnelle. Ce concept s’inscrit dans le cadre de la théorie sociocognitive (théorie issue du béhaviorisme et du cognitivisme). Selon cette théorie, le fonctionnement et le développement psychologique doivent être compris en considérant trois facteurs en interaction : le comportement, l’environnement et la personne. 3Le sentiment d’efficacité personnelle désigne les croyances des individus quant à leurs capacités à réaliser des performances particulières. L’expérience active de maîtrise est une des sources les plus influentes sur la croyance en l’efficacité personnelle car elle est fondée sur la maîtrise personnelle des tâches à effectuer.

La pyramide de Maslow La pyramide de Maslow est une classification hiérarchique des besoins humains. Maslow distingue cinq grandes catégories de besoins. Il considère que le consommateur passe à un besoin d’ordre supérieur quand le besoin de niveau immédiatement inférieur est satisfait. Nous proposons une nouvelle approche de ce modèle en : reprenant les 5 catégories de Maslow, brisant cette vision hiérarchique (aujourd’hui contestée), introduisant un nouveau besoin, déduit de notre modélisation. Les besoins humains selon Maslow : Les besoins physiologiques sont directement liés à la survie des individus ou de l’espèce. Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui nous menacent. Le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu qui a besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels il vit (famille, travail, association, ...). Le besoin d’estime prolonge le besoin d’appartenance. Notre modélisation révèle un sixième besoin : elle n’a pas encore d’existence

Les 10 ans des ENT : 7 projets, 7 aventures Lors des dernières NetJournées*, une table ronde a réuni les représentants des 7 projets qui ont déployé des solutions ENT avec l'éditeur Itop éducation. L'occasion pour chacun d'eux de rappeler la genèse de leur projet, de partager bons et moins bons souvenirs, ou encore de tracer les lignes forces de demain. A la question « comment réussir la généralisation », les porteurs de projets présents ont apporté des réponses finalement assez variées. La taille et la nature même des projets induisent des formes de généralisation distinctes. « Sur la base du volontariat et à petit pas » (Hélène Rabboni) La formule de la chargée de l’ENT au Conseil général de l’Isère a été reprise et déclinée par ses collègues des Alpes Maritimes, des Hauts-de-Seine, du Val-d'Oise ou encore de la Somme ! Nul doute qu'outre la volonté politique, les capacités financières de la collectivité en responsabilité constituent un levier décisif. Un déploiement volontaire et à grande échelle Des étapes nécessaires Rappel

Auto-efficacité : le sentiment d'efficacité personnelle (Bandura, 1977, 1997, 2003) - Bloc-notes de Jean Heutte : sérendipité, phronèsis et atharaxie sont les trois mamelles qui nourrissent l'Épicurien de la connaissance ;-) Article mis à jour le 19 mars 2011 La théorie de l’auto-efficacité de Bandura (1977, 1997, 2003) entre dans le cadre théorique plus large de la théorie sociale cognitive (Bandura, 1986), dénommée ci-après TSC. La TSC stipule que « le fonctionnement humain est le produit d’une interaction dynamique et permanente entre des cognitions, des comportements et des circonstances environnementales. En 1986, il expose ainsi son modèle de « causalité triadique réciproque » : le comportement (C) et les facteurs personnels internes (P) sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques (E) interagissent ensemble de façon réciproque et s’influencent mutuellement ; le comportement (C) et l’environnement (E) interagissent ensemble de façon réciproque et s’influencent mutuellement ; les facteurs personnels internes sous forme d’événements cognitifs, émotionnels et biologiques (E) et l’environnement (E) interagissent ensemble de façon réciproque et s’influencent mutuellement. L’agentivité

Lev Vygotski (1896-1934). Pensée et langage Le développement de l'enfant ne procède pas de l'individuel vers le social, mais du social vers l'individuel. Telle est l'une des thèses développées par Vygotski et qui, soixante ans après, sert de fondement à de multiples recherches contemporaines. Quels rapports la pensée et le langage entretiennent-ils? Pensée et Langage est un gros ouvrage de plus de 500 pages, divisé en 7 chapitres de longueur très inégale. Vers le langage intérieur Selon Vygotski, la psychologie scientifique a hésité jusqu'à présent entre deux positions extrêmes au sujet des liens entre la pensée et le langage : soit la fusion, soit la complète dissociation. Mais ce qui intéresse surtout Vygotski, c'est la manière dont pensée et langage se développent chez l'être humain, en particulier au cours de l'enfance. Jean Piaget et Vygotski ont deux interprétations radicalement différentes de cette évolution. Pour asseoir son propos, il consacre de longues pages à l'analyse du langage «égocentrique». Lev Vygotski

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