Définition et présentations des addictions L’usage de certaines substances est très ancien. En Asie, les feuilles du cannabis sont utilisées à des fins thérapeutiques depuis des millénaires. L’alcool apparaît dès l’Antiquité. La médecine grecque de l’Antiquité utilisait l’ opium et en signalait déjà les dangers. Aux XVIe et XVIIe siècles on se servait du tabac pour guérir les plaies. coca ïne. Alcool, tabac, cannabis, héroïne, cocaïne, etc. sont des substances psychoactives qui agissent sur le cerveau c'est-à-dire qu’elles modifient l'activité mentale, les sensations, le comportement et qu’elles provoquent des effets somatiques (sur le corps) variables selon les propriétés de chacune, leurs effets et leur nocivité. Le cannabis, la cocaïne, l' ecstasy , l'héroïne (…) sont des substances illicites : le code pénal en interdit et en réprime la production, la détention et la vente, conformément aux conventions internationales.
Les parents pris au piège des écrans Tablette, smartphone, télévision… Ne faut-il pas limiter le temps d’utilisation des parents ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Guillemette Faure Vous pouvez baisser la télé que je puisse faire mes devoirs ! », demande un ado dans une pub radio pour Volkswagen. Exagéré ? « Mon fils n’arrive pas à décrocher de ses jeux », entendent les enseignants, qui voient ces mêmes adultes quitter une réunion de parents d’élèves pour prendre un appel. « Une espèce d’euphorie avec leurs écrans » « Au moment du coucher, ils regardent une vidéo sur leur tablette. Evidemment, on se dira que les enjeux ne sont pas les mêmes, entre un enfant dont les cellules grises sont en développement et un adulte pour qui les dés cérébraux sont quasi jetés. Lire aussi Si les mots de passe pouvaient parler Dans les trois quarts des cas, les parents utilisaient leur smartphone, la plupart d’entre eux plus absorbés par leur mobile que par leurs enfants. Des parents fascinés… et piégés
« Journée sans Facebook » : peut on parler d’addiction aux nouvelles technologies L’initiative de la « journée sans Facebook » est un indice, parmi d’autres, d’une préoccupation grandissante autour des effets de l’usage abondant de certains services ou outils numériques. Le succès actuel de la notion de « binge watching » qui indexe la visualisation de séries télévisées sur la consommation excessive et répétée d’alcool en est un autre signe. La terminologie psychopathologique de l’addiction est aujourd'hui dans toutes les bouches : dans une enquête récente, nos interviewés se disent volontiers « addict » (à leur téléphone, à Facebook, à Twitter, aux séries TV…), de nombreux articles de presse fleurissent sur le sujet, des robinsonnades qui vantent les mérites de quelques mois « sans » ( internet, mobile, …) paraissent dans plusieurs pays (dont « J’ai débranché, Comment revivre sans Internet après une overdose », de Thierry Crouzet), et des études quantitatives mesurent désormais combien de français se déclarent « dépendants ». Agir contre soi Méthodologie :
VIDEO. «L’addiction au numérique se mesure à la perte de liberté» SANTE A l'occasion de la sortie du MOOC de l'université de Nantes sur l'addiction numérique, Didier Acier, professeur de psychologie clinique fait le point sur ce phénomène... Propos recueillis par Delphine Bancaud Publié le Mis à jour le Un phénomène de société qui est devenu un sujet d’étude. C’est ce lundi que l’université de Nantes lance un Mooc sur l’addiction au numérique. L’occasion pour 20 minutes de faire le point sur ce fléau avec Didier Acier, professeur de psychologie clinique à l’université de Nantes. Qu’entend-on par addiction au numérique? Beaucoup de Français ont un usage excessif des nouvelles technologies et peuvent passer une trentaine d’heures sur les écrans. Quelle est l’ampleur du phénomène en France? Il reste rare, puisqu’il concerne 2% de la population française, mais il risque fort de progresser dans les années à venir avec la multiplication des objets connectés. Qui en sont les principales victimes? Les «digital natives». Comment savoir si l’on est cyberdépendant?
Fear of missing out Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les téléphones mobiles permettent aux gens de demeurer en contact constant avec leur réseau social et professionnel. Cela peut engendrer une consultation compulsive de peur de manquer quelque chose[1]. La peur de manquer quelque chose (FOMO, acronyme de l'anglais fear of missing out) est une sorte d'anxiété sociale caractérisée par la peur constante de manquer une nouvelle importante ou un autre événement quelconque donnant une occasion d'interagir socialement[2]. Avec l'utilisation croissante de l'Internet, une certaine proportion d'internautes développent une dépendance psychologique d'être en ligne, ce qui peut mener à une anxiété d'être hors connexion, s'exprimant sous la forme de « peur de manquer quelque chose »[4]. Source[modifier | modifier le code] Une étude de Andrew Przybylski montre que le FOMO se produit fréquemment chez les personnes qui possèdent des besoins psychologiques insatisfaits tels être aimé et respecté[5].
Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique. En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification. Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance. Michel Lejoyeux, un professeur de psychiatrie et d'addictologie à l'université Paris 7, estime que le problème n'est pas de savoir s'il est possible de vivre déconnecté ou non. On peut avoir une relation complètement passionnelle et exagérée vis-à-vis du téléphone. Quant à l'écrivain Thierry Crouzet, il considère que la dépendance à Internet peut causer un trouble physique tel que des crises d'angoisse ou encore un trouble social. Lire la suite
Addiction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance, ou addiction (qui est un anglicisme), est, au sens phénoménologique, une conduite qui repose sur une envie répétée et irrépressible, en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire. Le sujet se livre à son addiction (par exemple : utilisation d'une drogue, ou participation à un jeu d'argent), malgré la conscience aiguë qu'il a — le plus souvent — d'abus et de perte de sa liberté d'action, ou de leur éventualité. L'anglicisme addiction est au sens courant souvent synonyme de toxicomanie[1] et désigne tout attachement nocif à une substance ou à une activité. Le terme d’assuétude, également noté bien que peu utilisé, a un sens similaire sans toutefois être aussi négatif (assuétude au chocolat mais dépendance à la cocaïne). Les problèmes engendrés par une addiction peuvent être d'ordre physique, psychologique, relationnel, familial et social. Étymologie et introduction[modifier | modifier le code]
Dans la «clinique» pour cyberdrogués Actu 18.02.2015 06:00 Internet, jeux vidéo en ligne, smartphones: quand est-ce que le divertissement vire à la dépendance? Visite d’un centre de «désintoxication numérique», à Seattle, où l’on tente de soigner la génération des hyperconnectés. Texte Xavier Filliez C’est une petite maison en bois sous une grosse chape de cumulus. Autour, l’immense forêt des environs de Seattle semble l’envelopper pour l’hiver. Ici résident actuellement cinq jeunes adultes traités pour des problèmes d’addiction à l’internet et aux jeux vidéo dans le cadre de reSTART, un programme unique, non hospitalier, de «désintoxication numérique» aux Etats-Unis. Ironie du sort - ou pas - les sièges sociaux de Microsoft et de Nintendo sont à quelques kilomètres. Shlok, originaire de Pune, pas loin de Bombay, arrivé il y a deux semaines, a le blues. Ces trois dernières années, Shlok n’est plus allé à l’école. Il raconte ses crises à répétition, à briser des claviers, lorsque sa connexion le lâchait.
Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Une enquête sur les loisirs devant écran (Internet, jeux vidéo et télévision) a été menée auprès de 444 élèves de 3e scolarisés dans l'ensemble des collèges publics et privés d'une grande ville du Nord de la France53(*). En bref, s'il existe bien une cyberaddiction, plus puissante que la dépendance à la télévision, qui commence à prendre des proportions inquiétantes, la solution est connue : il s'agit du contrôle des parents, qui disposent des moyens pour couper la connexion ou pour maîtriser les horaires de navigation. Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Selon M. Par ailleurs, la dépendance aux jeux vidéo est bien analysée par l'ouvrage de Mme Christine Kerdellant et M.
Bonjour,
Merci pour le partage de cet article très intéressant, qui vient compléter ma collection et éclairer davantage la problématique que soulève le terme "d'addiction" face à l'usage du numérique. by maillot_gpea_psy Mar 2
Je partage un lien sur un article de Vanessa Lalo qui a retenu mon attention.
Vanessa Lalo est psychologue clinicienne, spécialisée dans les jeux vidéo, les usages numériques et leurs impacts (thérapeutiques, cognitifs et pédagogiques).
Dans cet article, elle livre la définition du terme "addiction" pour introduire le sujet de l'addiction aux jeux vidéos. Par son développement, Vanessa Lalo tente de répondre à ces questions : Comment repère-t-on une dépendance à un jeu vidéo chez un sujet ? Peut-on parler d'addiction aux jeux vidéos ?
Je vous souhaite une bonne lecture. by salgado_groupea_psy Feb 21