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Réservation d’hôtel : peut-on échapper aux agences en ligne

Réservation d’hôtel : peut-on échapper aux agences en ligne
La plupart des touristes à la recherche d'un hôtel passent par une agence de réservation en ligne, telle que Booking, Expedia ou HRS. Ont-ils raison ? Peuvent-ils retrouver un hôtel qui aurait refusé de contracter avec l'un de ces puissants opérateurs ? Essayons de le savoir en cherchant sur Internet l'hôtel du Cheval rouge à Versailles, trois étoiles, dont le gérant a refusé tout accord avec eux. Sur le moteur de recherche Google, si nous tapons "hôtels Versailles", nous tombons en premier lieu sur le site Booking.com, qui annonce référencer quinze hôtels dans cette ville : . Vous avez bien vu : il n'y a aucune mention de l'hôtel du Cheval rouge, puisque le directeur a refusé de payer son référencement. Retournons sur Google. Bravo, vous avez trouvé : on ne peut pas cocher la case "voir les prix". Mais un site lui fait vraiment du tort : il s'agit du comparateur Trivago. Avez-vous bien lu, à droite de l'écran ? Et vous, qu'en pensez-vous ? Signaler ce contenu comme inapproprié

Fairbooking vs les OTA: une bataille perdue d'avance? J’adore la France et un séjour là-bas est toujours synonyme d’expériences riches à plusieurs égards, tant sur le plan personnel que professionnel. Ayant participé et intervenu lors des Rencontres Institutionnelles du e-tourisme qui avaient lieu à Pau, en Aquitaine, les 25-26 septembre derniers, j’ai été à même de constater la forte gronde qui monte dans l’Hexagone via-à-vis des agences de voyages en ligne (OTA – ou online travel agencies), plus précisément celle qui semble le Diable incarné en bleu, Booking.com. Il faut comprendre que Booking tient un rôle dominant en Europe, et plus précisément en France, alors qu’au Québec et en Amérique du Nord, c’est Expedia le gros joueur, avec ses filiales performantes comme Hotels.com ou Hotwire. On sait que les OTA ont pris au cours de la dernière décennie une position névralgique dans la distribution hôtelière en ligne et que cette domination commence à devenir intenable pour certains. 1. 2. 3. NYC et Booking.com

Booking.com empoche 16,1% de commission en France Commission, part de marché, éventuelle assignation: Olivier Bisserier, directeur financier de Booking, aborde ces sujets dans une interview exclusive à L’Echo touristique. C'est un nombre qui donne le vertige : Booking écoule 550 000 nuitées d’hôtels par jour, en moyenne, au niveau mondial. En France, l’agence en ligne travaille avec 30 000 établissements français, avec lesquels elle entretient des relations aussi étroites que compliquées. Pour certains hébergeurs et syndicats, le géant de la réservation hôtelière exige, comme d’autres OTAs d’ailleurs, des commissions excessives. Olivier Bisserier, directeur financier de Booking.com, s’en défend : "Les commissions versées doivent couvrir nos frais publicitaires, pour que nous soyons visibles sur Internet", explique-t-il en préambule. Le site dépense effectivement des sommes colossales en référencement payant*. Sa part de marché en France Le site indique ne pas connaître précisément sa part de marché réelle. Une assignation en justice ?

C'est par l'intérieur que nous périrons Email 347EmailShare Je suis fatigué …. Je reviens des journées du etourisme à Pau. Un des grands rdv annuel des institutionnels. Le pro booking déroule ses arguments, tout le monde applaudit Alain Larouche y a eu un grand moment d’expression pour vanter les mérites du partenariat entre son canton (office de tourisme) et booking.com. On va se prendre une déferlante dans la gueule J’ai bien peur qu’une énorme vague ne déferle dans ce sens. Quelle trahison, quel cout de couteau dans le dos vont-ils nous mettre si ils décident tous de confier la commercialisation à un tiers. Faut dire qu’on à tous merdé Je peux presque les comprendre, ils ont dépensé des budgets colossaux pour essayer de faire de la resa en ligne, nous autres, hôteliers, on n’a pas été à la hauteur à ce moment, en leur donnant nos fonds de stocks a des prix élevés (argument d’Alain). Booking sur le site de l’OT, est ce la bonne solution ? Vous pouvez pas nous faire ce coup là ! Ressources Et Google Hotel Finder alors ?

History of online travel | Internet Observer When travel moved online, consumers found it more efficient to book hotels and flights on travel agencies like Expedia. At this time, the website was just like the traditional agency where they provide almost the same service. As time is gone, this type of website provides more and more agency, even seems to replace the traditional travel agency. However, it’ll never come true, for one reason is that the traditional agency i.e. Hilton, CheapTickets and airlines has gr aduatelly move part of their business online so that people could also visit their website directly to book what they need.  Flights Hotels Car Rentals Vacation Packages Cruises Deals and Destinations Maps Business Travel Online travel agency (OTA) is mature today. Although the OTA bring a lot convenience to the life, new online travel business model is introduced because of the human nature- the demand of low price. boom of online travel, how to choose the best price? some destinations. opportunity space. Like this:

Alain Larouche - Il y a déjà une quinzaine d'années que les DMO... Quand l’hôtel devient prisonnier de Booking.com Des hôteliers refusent parfois d’accorder à des clients, à la réception, le prix qu'ils ont concédé à Booking.com. Une preuve d'impuissance face à la centrale de réservations hôtelières. Sur la recommandation d'un ami, Gilles Granger, directeur général du site d’avis Vinivi.com, choisit de séjourner dans un hôtel toulousain 4*. La réponse est claire, presque cinglante : "Non, Booking a des tarifs spéciaux, que je ne peux pas vous appliquer", lâche le réceptionniste, avant d’inviter son interlocuteur à réserver via Booking.com pour payer 110 euros. "J'ai donc rempli la demande sur le site du distributeur, poursuit Gilles, un peu désabusé. "Comme professionnel, je me dis que l'on marche sur la tête, et que Booking a bien fait son travail pour (…) qu'on lui attribue des ventes dont il n'est pas issu". Client perdu Avec une telle expérience, quel client ne tournerait pas les talons ? Si le voyageur ne revient pas dans l’hôtel, il peut de surcroit créer du mauvais buzz.

Distribution hôtelière et OTA: enjeux et solutions 18 avril 2013 Selon une étude de Google auprès de consommateurs américains à la fin 2012, l’internaute-type visite en moyenne 17 sites web de voyages sur quatre plateformes de recherche différentes avant de réserver sa chambre d’hôtel. Dans ce contexte ultra-compétitif, la conversion est à son apogée lorsque le dernier résultat affiché est naturel (ou organique), ce qui explique pourquoi les hôteliers mettent tant d’emphase sur une stratégie de mots-clés dans leur marketing numérique. Or, de plus en plus de chaînes hôtelières multinationales et indépendantes se heurtent à une compétition sans merci de la part d’intermédiaires supposés agir en tant que partenaires: les agences de voyages en ligne, ou OTA (online travel agencies). Le site etourisme.info publiait récemment un excellent billet à ce sujet, intitulé Booking.com n’est pas votre ami. Parité tarifaire: Une chambre, aux même dates et conditions, doit être au même tarif sur votre site web que sur les OTA.

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