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Les 7 pires galères quand on travaille à Facebook

Les 7 pires galères quand on travaille à Facebook
Travailler à Facebook… Un rêve pour beaucoup de jeunes diplômés. A tel point que Google, inquiet de voir les cohortes de jeunes diplômés de Harvard ou de Stanford snober son campus multicolore pour les plateaux "open space" de Facebook a dû augmenter d'un coup les salaires de 10% en 2010 pour calmer ses troupes. Mais travailler pour Mark Zuckerberg, est-ce vraiment un rêve? 1. Keith Adams, Engineer at Facebook "Le pire pour moi, quand j'ai travaillé à Facebook, ça a été le "oncall duty", c'est-à-dire l'astreinte informatique, qui consiste à assurer une permanence 24h sur 24 pour résoudre des bugs. Anonyme "Ce n'est pas une surprise : les employés FB sont (implicitement) encouragés à "être eux-mêmes" au travail. Elaine C. "Le pire, quand je travaillais à Facebook, c'était l'impossibilité de me focaliser sur mon équipe. Je dirais aussi que la qualité du code (la qualité de la programmation informatique NDLR) varie beaucoup entre les équipes. Noah M. Noah M. "La nourriture est trop bonne.

8 raisons de détester travailler chez Facebook Facebook bénéficie plutôt d’une bonne réputation et à même été élue « entreprise ou il est le plus agréable de travailler« . Il est donc assez surprenant de découvrir 16 raisons pour lesquelles certains employés de Facebook sont mécontents qui se sont exprimés sur Quora. Je vous laisse juger. « Durant 6 semaines dans l’année, je suis d’astreinte 24 heures sur 24, 7 jours sur 7″. Keith Adams, ingénieur chez Facebook, explique qu’il doit dormir avec son téléphone et qu’il est de sa responsabilité que le service fonctionne, quoiqu’il en coute. « Il n’y a pas de mur chez Facebook ». L’ingénieur, qui témoigne anonymement, ne parle pas de mur physique mais de la barrière entre la vie professionnelle et la vie priée. « Il n’y a pas de vraie infrastructure ». L’entreprise a grandit très vite et manque d’organisation. « Ne vous plaignez pas de Facebook auprès de moi juste parce que j’y travaille ». « Le manque total de concentration de mon équipe » « Ce fut ma pire expérience à ce jour »

Ingénieur, Aurélien va travailler chez Facebook Entretien avec Aurélien Fredouelle, ingénieur manceau. Vous partez dans quelques jours travailler comme ingénieur au siège de Facebook, près de San Francisco. Le rêve pour un jeune informaticien, non ? Disons que c'est, avec Google, le plus gros site internet du monde. Comment avez-vous été recruté ? Au départ, un peu le hasard. Quel type de poste allez-vous occuper là-bas ? Je ne sais pas encore. Vous connaissez vos conditions de travail ? Sur les 3 000 salariés, il y a un millier d'ingénieurs. Les conditions sont très intéressantes : deux fois le salaire d'ici, l'assurance santé, ainsi que tous les repas pris en charge par l'entreprise. Qu'est-ce qui vous a séduit dans cette entreprise ? Sa jeunesse et celle de ses salariés, et son dynamisme. Le fait d'être Français a été un atout ? Je pense que Facebook souhaite des chercheurs d'horizons divers, avec des points de vue différents. Vous êtes un utilisateur de Facebook ? J'ai un compte, comme tout le monde. Vous êtes un geek ? Laurence PICOLO.

Google vs Facebook: où fait-il bon travailler? Le site du magazine américain BusinessWeek se fait l’écho des impressions d’un ancien développeur informatique pour Google passé en 2007 chez Facebook sur les conditions de travail dans les deux entreprises. David Braginsky, qui répond en détail sur le site Quora à la question «Pour quelle société vaut-il mieux travailler?», passe en revue tous les aspects de la vie au travail, des pressions de la direction à la qualité du café. De manière générale, il estime que l’ambiance à Mountain View (le siège de Google) ressemble aux dernières années des études supérieures: l’entreprise encourage les initiatives audacieuses (par exemple, elle encourage ses salariés à prendre 20% du temps pour leurs recherches persos, d'où sont nées Gmail et GoogleNews), chacun est attaché à rendre une copie soignée, et le travail est constamment soumis à un contrôle-qualité. L’inconvénient étant que le processus de production est souvent long, du fait de la taille gigantesque de la société:

Facebook (entreprise) Facebook [ˈfeɪsbʊk][3] Écouter (litt. « trombinoscope » en anglais) est une société américaine créée en 2004 par Mark Zuckerberg. Elle est un des géants du Web, regroupés sous l'acronyme GAFAM[4], aux côtés de Google, Apple, Amazon et Microsoft. Histoire La société a enlevé la particule « The » de son nom après l'achat du nom de domaine facebook.com en 2005 pour 200 000 dollars[5]. En avril 2006, Jeff Hammerbach, mathématicien auparavant employé par Bear Stearns, est embauché par Facebook, qui dispose alors de moins de 100 salariés, afin d'analyser les données des utilisateurs et développer des programmes permettant un meilleur ciblage publicitaire. Le 8 août 2010, Facebook achète 19 brevets à Friendster pour 40 millions de dollars[9]. Début janvier 2011, Facebook est valorisé 50 milliards de dollars américains[10]. En mars 2011, Facebook se lance dans la vidéo à la demande (VàD)[11]. En avril 2012, Facebook achète l'application Instagram pour un milliard de dollars américains[15]. Lobbying

+48% d'employés en un an chez Facebook - ZDNet En un an, Facebook a recruté 48% d’employés en plus. Ils sont désormais 10 082 (chiffre à date de la fin du mois de mars) à travailler pour Mark Zuckerberg. A titre de comparaison, et bien que Facebook soit 5 fois plus petit, on peut noter que l’accroissement des employés chez Google n’a été ‘que’ de 12% l’an passé. Pourquoi travailler chez Facebook n'est pas un job de rêve Le géant des réseaux sociaux rafle la première place des entreprises les plus attirantes aux yeux des chercheurs d'emplois. Mais est-ce à juste titre ? Facebook est souvent considéré comme l'un des employeurs les plus convoités du secteur technologique. Après tout, ses stagiaires gagnent 25 000 dollars de plus que le citoyen américain moyen. Pas mal, non ? Et pourtant : selon un fil de discussion Quora, d'anciens et actuels employés du géant du social media pensent le contraire. Du manque de professionnalisme (il est courant de se retrouver à faire la lessive de son boss) à l'attitude suffisante de Mark Zuckerberg, nous avons rassemblé les détails les plus intéressants. "Six semaines par an, je dois être disponible 24h/24." Lorsqu'ils sont d'astreinte, les ingénieurs sont responsables du maintien et du bon fonctionnement des services quoi qu'il arrive. "La barrière entre travail et vie privée n'existe pas." "Il n'existe pas d'infrastructure véritablement fonctionnelle."

Pourquoi il fait si bon travailler chez Facebook C'est comment, la vie chez Facebook ? Au top, si l'on en croit le classement Glassdoor des entreprises dans lesquelles il fait bon travailler, basé sur les notes délivrées par les salariés eux-mêmes. Facebook arrive en première position, tous secteurs confondus, ralors que Google pointe seulement à la 30e place. Comment expliquer l'amour qu'ils portent à leur employeur ? L'Expansion.com est allé chercher du côté des avantages, de la culture d'entreprise et de la vie sur le "campus" de Palo Alto. Des avantages au-dessus de la moyenne Chez Facebook, un comité d'audit est chargé d'étudier ce qui se pratique ailleurs dans les grandes entreprises, afin de s'assurer que les avantages offerts par Facebook, au global (salaires fixe, variable, bonus annuel, mutuelle, avantages en nature, etc.) sont supérieurs à la moyenne du marché, explique Damien Vincent, le directeur commercial France de Facebook. Dans le reste du monde, la liste des avantages est moins longue, taille oblige.

Facebook annonce un bénéfice net de 2,4 milliards de dollars et un chiffre d'affaires dingue - LCI ECONOMIE - Mark Zuckerberg va bien, merci pour lui. Son réseau social, qui compte de plus de en plus d'utilisateurs, a publié des résultats financiers en augmentation pour ce 3e trimestre. La rédaction de LCI La publicité mobile a continué d'entretenir la croissance de Facebook au troisième trimestre, où le réseau social américain a de nouveau fortement amélioré ses performances financières et étendu son audience, selon des résultats publiés mercredi. Facebook a vu son bénéfice net bondir de 166% à 2,4 milliards de dollars, tandis que son chiffre d'affaires grimpait de 56% à 7 milliards de dollars, dépassant ainsi les attentes des analystes. Facebook a parallèlement continué à augmenter son nombre d'utilisateurs, qui atteignait 1,79 milliard fin septembre, contre 1,71 milliard trois mois plus tôt.

Facebook : 3,5 milliards de chiffre d'affaires et 1,4 milliard d'utilisateurs Facebook a annoncé hier soir ses résultats financiers pour le premier trimestre de 2015. Le réseau social continue de s'étendre et compte toujours plus d'utilisateurs, ce qui lui permet d'afficher de solides performances, avec notamment une hausse de son chiffre d'affaires de plus de 40 % en un an. Un demi-milliard de bénéfices Mark Zuckerberg peut garder le sourire, Facebook se porte toujours extrêmement bien. Le réseau social a réalisé au dernier trimestre un chiffre d'affaires de 3,54 milliards de dollars, contre seulement 2,50 milliards un an plus tôt sur la même période, soit une hausse de 41 %. Cette différence d'une année sur l'autre est principalement due à une forte progression des dépenses en recherche et développement, qui sont passées de 455 millions de dollars début 2014 à 1,06 milliard de dollars cette année. Bientôt un milliard et demi d'utilisateurs De trimestre en trimestre, Facebook continue d'attirer de plus en plus d'utilisateurs dans ses filets. Kevin Hottot

Nombre d'utilisateurs de Facebook en France Facebook compte désormais 33 millions d'utilisateurs actifs mensuels en France, contre 26 millions en mai 2012. Facebook compte désormais 33 millions d'utilisateurs actifs chaque mois en France, contre 30 millions en septembre 2015 et 26 millions en mai 2012. Parmi eux, 18 millions sont actifs sur mobile, contre 13 millions en mai 2012. En mars 2016, Facebook a donné quelques précisions sur ses utilisateurs français. 80% se rendent sur le réseau social sur un smartphone ou une tablette. 25 millions d'utilisateurs ont consulté au moins une fois dans le mois Facebook via un smartphone ou une tablette en mars, contre 24 millions six mois plus tôt. Le nombre de personnes actives chaque jour sur le réseau social a atteint 23 millions en mars, contre 20 millions en 2015. 19 millions d'internautes français se sont rendus quotidiennement sur le réseau social en mars. Tous les chiffres clés de l'Internet

Facebook au bureau : du temps en moins pour les salariés ? - Alors qu’une enquête KPMG International montre que 70 % des entreprises sont désormais actives sur les réseaux sociaux et que l’utilisation de Facebook au travail se répand, se pose la question de la productivité ou de la contre-productivité de cet usage pour les salariés ? La problématique de la « Génération Y » La « Génération Y » correspond aux jeunes travailleurs : âgés de moins de 35 ans, ces jeunes ont évolué avec internet et l’apparition des réseaux sociaux. Souvent un casse-tête pour les DRH, leurs codes de conduite en entreprise sont différents. Contrairement à leurs prédécesseurs, la frontière entre leur vie professionnelle et leur vie privée est souvent étroite : ainsi, ils n’hésitent pas à répondre à leurs courriels professionnels en pleine nuit, à promouvoir leur entreprise sur Twitter après 21h, mais encore moins à chatter avec leurs amis pendant les heures de travail. Interdire Facebook ? Facebook, un moteur pour l’entreprise Sources :

Les salariés peuvent-ils parler de leur employeur librement sur Facebook ? Question de droit social. Les salariés doivent maîtriser leurs propos, car cette liberté d’expression a une limite : l’abus. Les salariés bénéficient, certes, d’un droit à la liberté d’expression applicable quel que soit le support des propos tenus. Pour autant, les salariés doivent maîtriser leurs propos, car cette liberté d’expression a une limite : l’abus. Le contrôle de l’employeur peut porter sur le contenu des propos tenus, par ses salariés, sur les réseaux sociaux. Caractère privé ou non ? Le respect de la vie privée qui implique en particulier, comme l’a jugé la Cour de cassation dans l’arrêt Nikon (Cass. soc. 2 octobre 2001 n°99-42.942), le secret des correspondances, oblige en effet le juge à déterminer, lorsqu’il est saisi d’une contestation par un salarié d’une sanction motivée par les propos tenus par ce dernier sur les réseaux sociaux, si ces propos avaient ou non un caractère privé. Des décisions divergentes Les juges du fond ont rendu des décisions divergentes.

Salariés & usage de Facebook : Attention à ce que vous dites Les réseaux sociaux occupent une place prépondérante dans le quotidien des salariés. Selon une récente étude Cegos, 6 salariés sur 10 se connectent chaque jour à Facebook et consorts. Autre enseignement : 1 salarié sur 3 parle ouvertement de son entreprise, ses activités professionnelles, ses coups de coeur ou ses coups de gueule. Mais attention, la loi peut se montrer parfois sévère. Billet invité signé par Cyrielle Bonny. J’ai le plaisir d’accueillir Cyrielle Bonny. Les affaires concernant l’usage de l’ordinateur et des réseaux sociaux par des salariés alimentent les tribunaux. Propos tenus sur Facebook : relèvent-ils de votre sphère privée ? Nous avons déjà tous entendu parler de cette affaire : une salariée licenciée après avoir publié des photos de ses vacances alors qu’elle était supposée être….en congé maladie. Les propos que vous tenez sur votre compte Facebook, en principe, relèvent de votre vie privée. « Dénigrer votre employeur en public » ??? Pourquoi?

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