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BYOD : où en sont les entreprises BYOD : où en sont les entreprises ? Publié le 07 | 03 | 2012 Le BYOD (Bring Your Own Device) repose sur l’utilisation par le salarié de son matériel informatique personnel dans le cadre professionnel. Le BYOD, une réflexion globale qui reste encore à mûrir Le BYOD (Bring Your Own Device) repose sur l’utilisation par le salarié de son matériel informatique personnel dans le cadre professionnel. Le support matériel par l’entreprise est alors limité, voire inexistant.
L’organisation apprenante… 1. Introduction L’organisation apprenante… 1. Introduction Cet article représente le premier volet d’une série de sept articles sur l’organisation apprenante. Il s’agit d’une réflexion réalisée par Daniel Tanguay en 2001 à la suite d’une lecture du livre La Cinquième discipline de Peter Senge que le lecteur pourra trouver dans les lectures recommandées de notre Boîte à outils (La cinquième discipline, Le guide terrain, préface et adaptation d’Alain Gauthier). Plus de BYOD = plus de frais et plus de risques Les appareils ‘bring your own device’ (BYOD) feront plus que doubler d’ici 2014, mais engendreront plus de risques et de frais qu’imaginé ou souhaité. Le succès des appareils privés qui sont utilisés à des fins professionnelles, semble inéluctable. Un rapport de Juniper Research - ‘Mobile security strategies: threats, solutions & market forecasts 2012-2017’ - prévoit plus qu’un doublement du nombre d’appareils BYOD qui passeront de 150 millions en 2012 à 350 millions en 2014. La raison est bien connue: les utilisateurs veulent couvrir tant leurs besoins privés que professionnels avec un seul appareil de leur choix et bénéficier ainsi d’une technologie plus perfectionnée que celle que leur entreprise met généralement à leur disposition. Ce qui est intéressant par ailleurs, c’est que selon Juniper Research, l’Europe occidentale fait figure de chef de file en la matière.
Communication et organisation 20 juillet 2010 par Mario Asselin sous Lorsqu’on m’a confié la responsabilité de ce cours, mon premier geste a été de chercher le cadre pédagogique le plus propice à fournir aux étudiants des apprentissages de qualité. J’ai immédiatement pensé aux avantages de devenir une organisation pour mieux apprendre des processus de communication. Oeuvrant dans un des volets de ma pratique régulière dans plusieurs communautés de pratique, je cherchais une posture à peu près équivalente au niveau de «l’état d’esprit» qui permettrait de responsabiliser les étudiants face à ce tout ce qui peut être appris sur ce beau sujet des organisations et des communications. Le modèle d’une organisation apprenante m’est apparu clairement comme répondant à plusieurs critères de l’organisation que je voulais développer pour mes étudiants. Voici d’ailleurs (selon Garvin, 1993) cinq activités que les organisations doivent privilégier pour devenir apprenantes:
Que nous faut-il pour “Refaire société” « C’est l’état actuel de notre société, « fragilisée, écartelée… » qui nous amène à nous poser la question de comment « refaire société« , explique l’historien Pierre Rosanvallon en introduction des trois jours de conférences initiées par le collectif la République des idées qui avaient lieu à la Maison des jeunes et de la culture de Grenoble du 11 au 13 novembre 2011. Nous vivons une « terrible régression », assure Pierre Rosanvallon dans son introduction au colloque comme à Refaire société, l’ouvrage collectif qu’il a dirigé et qui accompagnait les questionnements de ces trois jours. Et de n’évoquer qu’un exemple pour souligner la manière dont celle-ci se décompose, celui de la progression de l’écart moyen de rémunération entre les plus petits salariés et leurs PDG, qui était de 1 à 40 au début du XXe siècle et qui est aujourd’hui de 1 à 400. En France, les 1 % les plus aisés accaparent 24 % du patrimoine. Le grand retournement et la crise des communs
L’organisation apprenante… 2. La pensée systémique L’organisation apprenante… 2. La pensée systémique Cet article représente le deuxième volet d’une série de sept articles sur l’organisation apprenante. L’Unesco a-t-il besoin de Wikipédia pour protéger notre Patrimoine mondial… immatériel La lecture de la semaine, il s’agit d’un papier posté le 1er novembre sur le site du magazine américain Wired, on le doit à Jonathon Keats, auteur d’un livre sur les mondes virtuels. L’article s’intitule : “Pourquoi Wikipédia est aussi importante que les Pyramides”. Le 31 juillet 2007 commence Keats, une vieille mine d’argent japonaise connue sous le nom de Iwami Ginzan a été considérée par l’Unesco d’une “valeur universelle exceptionnelle” et ajoutée à la liste du Patrimoine mondial, au côté des Mégalithes de Stonehenge et des Pyramides d’Egypte. Les Japonais sont restés perplexes. Abandonné en 1923, le site ressemble aujourd’hui plus ou moins à un trou dans le sol.
L’organisation apprenante… 3. La maîtrise personnelle L’organisation apprenante… 3. La maîtrise personnelle Cet article représente le troisième volet d’une série de sept articles sur l’organisation apprenante. Il s’agit d’une réflexion réalisée par Daniel Tanguay en 2001 à la suite d’une lecture du livre La Cinquième discipline de Peter Senge que le lecteur pourra trouver dans les lectures recommandées de notre Boîte à outils (La cinquième discipline, Le guide terrain, préface et adaptation d’Alain Gauthier).
Les limites d’âge n’aident pas parents et enfants à comprendre les réseaux sociaux Par Hubert Guillaud le 04/11/11 | 2 commentaires | 2,575 lectures | Impression Aux Etats-Unis, l’âge légal pour rejoindre les sites sociaux est de 13 ans, selon le Children Online Privacy Protection Act (Coppa) : une mesure destinée à aider les parents à protéger leurs enfants des risques des réseaux sociaux. Ce qui n’empêche pas beaucoup d’enfants de s’inscrire sur les sites sociaux avant l’âge légal, assez souvent avec l’accord explicite de leurs parents d’ailleurs.
L’organisation apprenante… 4. Les schémas mentaux L’organisation apprenante… 4. Les schémas mentaux Cet article représente le quatrième volet d’une série de sept articles sur l’organisation apprenante. Il s’agit d’une réflexion réalisée par Daniel Tanguay en 2001 à la suite d’une lecture du livre La Cinquième discipline de Peter Senge que le lecteur pourra trouver dans les lectures recommandées de notre Boîte à outils (La cinquième discipline, Le guide terrain, préface et adaptation d’Alain Gauthier). « Un homme se rend chez un psy et lui déclare : « Je viens juste de me faire virer. C’est la septième fois en cinq ans. Education et nouvelles technologies : y croire ou ne pas y croire Après un premier article polémique (voir Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas), Matt Richtel a continué son enquête pour le New York Times sur le « pari éducatif high-tech ». Comme le montrait déjà le début de son enquête, ses derniers articles dessinent un fossé, une coupure assez radicale, entre ceux qui croient dans les vertus des technologies pour l’éducation et ceux qui n’y croient pas, avec des arguments aussi faibles dans l’un ou l’autre camp que ceux qu’on éprouve entre les tenants du livre papier et du livre électronique. La valeur des TICE dépend-elle du niveau d’argent dépensé ? Le second article de cette série s’intéressait donc au « boom des logiciels éducatifs », mais avant tout pour dénoncer leur manque de résultats effectifs. Ainsi, les évaluations de ces logiciels montrent qu’ils n’ont « aucun effet discernable » sur les résultats aux tests standardisés que subissent les élèves du secondaire aux Etats-Unis.
L’organisation apprenante… 5. La vision partagée L’organisation apprenante… 5. La vision partagée Cet article représente le cinquième volet d’une série de sept articles sur l’organisation apprenante. Il s’agit d’une réflexion réalisée par Daniel Tanguay en 2001 à la suite d’une lecture du livre La Cinquième discipline de Peter Senge que le lecteur pourra trouver dans les lectures recommandées de notre Boîte à outils (La cinquième discipline, Le guide terrain, préface et adaptation d’Alain Gauthier).