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Comment nourrira-t-on les mégapoles du futur ?

Comment nourrira-t-on les mégapoles du futur ?
Depuis la publication du désormais fameux rapport du McKinsey Global Institute sur les mégapoles de 2025, nous en savons un peu plus sur les véritables rapports de force qui structureront progressivement les relations internationales dans les prochaines décennies. Les Etats d’aujourd’hui (entre 185 et 193 selon les critères de reconnaissance utilisés) devraient conserver leurs contours géographiques et leurs prérogatives apparentes mais, de plus en plus, pour ce qui concerne la production, les investissements, la consommation et les échanges, le monde « utile » sera circonscrit aux 600 plus grandes villes du monde. En 2025, tout comme en 2007, ces 600 villes produiront 60 % de la richesse mondiale, mais la composition de ce peloton de tête urbain aura considérablement changé. Concentrations humaines Quelques chiffres pour prendre la mesure du basculement. Comment nourrir ces mégapoles dans un monde aux ressources naturelles de plus en plus limitées ? Rappelons le contexte. Sky Greens

Vers la ville “durable et connectée” : un chemin plus tortueux qu’il n’y paraît L’initiative pour le « développement urbain connecté » (Connected Urban Development, CUD) que promeut Cisco, et qui a tenu conférence à Amsterdam les 23 et 24 septembre 2008, frappe d’abord par son ambition et par le niveau d’engagement qu’elle a obtenu de 7 grandes métropoles mondiales. Le maire d’Amsterdam a consacré toute une journée à la conférence, celui de Lisbonne a fait le déplacement ; Manoel Barroso, président de la Commission européenne, et Viviane Reding, commissaire européenne à la Société de l’information et aux Médias, ont envoyé un message vidéo. Chacune des villes associées a engagé un ou plusieurs projets de grande ampleur : un réseau de télécentres de proximité, un système de péage urbain, des bâtiments verts, flexibles et intelligents, une production et une distribution d’énergie décentralisées… Si ces projets réussissent, ils peuvent avoir une incidence significative sur la consommation d’énergie, les congestions urbaines, la pollution. 6 milliards d’absents ?

Villes intelligentes : 2 questions à se poser J'ai tendance à penser que les technologies de l'information et de la communication peuvent aider à améliorer nos vies en général et nos villes en particulier. Elles ne résolvent pas tout, entraînent plein de conséquences inattendues (souvent désagréables) et n'entraînent pas la disparition des conflits et des injustices. Nouveaux affrontements Mais elles sont le théâtre de nouveaux affrontements dans lesquels les positions dominantes sont redistribuées, ce qui offre une chance à ceux qui ne bénéficiaient pas du rapport de force antérieur. En bref, les TIC sont un bel outil pour aborder la révolution urbaine en cours dans de meilleures conditions. Tout le problème est qu'aujourd'hui les exemples dont on parle le plus - qu'il s'agisse des villes « nées intelligentes » comme Songdo en Corée ou Masdar à Abu Dabhi, ou de celles qui essayent de le devenir comme Rio de Janeiro ou Londres - semblent aller tout droit dans le mur. La première question est celle du modèle technologique.

13 méthodes participatives détaillées : jury citoyens, consensus, panel expert, focus group, Delphi, scénarios, World Café ... Comment mettre en oeuvre une approche participative? Le principal objectif de cette trousse à outils est de guider les praticiens dans le processus de mise en oeuvre des méthodes participatives. De nombreuses techniques différentes ont été conçues et adaptées afin d’améliorer la participation à toutes les phases du projet, depuis la planification jusqu’à l’évaluation. Certaines techniques contribuent à l’analyse des questions étudiées, tandis que d’autres se concentrent sur la facilitation et la coordination du processus collectif. Bon nombre de ces techniques, qu’elles soient utilisées seules ou en combinaison, peuvent s’avérer utiles dans les processus participatifs. L’événement comprend plusieurs étapes et techniques.Conséquence partielle du premier critère, un plan de gestion du projet est nécessaire à l’organisation de l’événement. Pour un projet donné, plusieurs méthodes et/ou techniques peuvent être combinées et adaptées afin de répondre aux objectifs d’un projet en particulier.

Les éco-quartiers sont-ils le futur de la ville ? C’est dans les villes que sont consommés 75% de l’énergie mondiale. Elles sont encore très dépendantes des énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz naturel). Ces cinquante dernières années, les villes européennes se sont étendues en moyennes de 78% alors que les populations ne grossissaient que de 33%. L’étalement urbain entraîne un allongement des distances et donc une augmentation du trafic automobile. Si, vingt ans après le Sommet de la Terre, les clignotants sont encore plus rouges qu’alors, certains experts mettent en cause un urbanisme qui ne serait jamais sorti de l’utopie fonctionnaliste issue de la Charte d’Athènes de 1933, séparant les fonctions de la ville (habiter, circuler, travailler, consommer). Enfin et surtout, de quelles marges de manœuvre dispose-t-on ? BedZed Difficile de définir l’éco-quartier autrement que sous la forme du « portrait-robot ». Ne le perdons pas de vue, l’objectif est entre autres de lutter contre l’étalement urbain. De nouveaux ghettos ? Masdar

Une carte de géo parodique choque Le Portugal décrit comme «maçons poilus», l'Italie comme «macaronis qui aiment le football» ou la Suède comme «bonnasses blondes», voilà quelques exemples tirés d'une carte de géographie qui fait grincer des dents, en Belgique. Le site enseignons.be a mis en ligne une représentation du monde qui fait la part belle aux clichés de toutes sortes et qui est censée servir d'outil pédagogique aux professeurs. L'artiste montois Sébastien Laurent, qui en est l'auteur, a voulu provoquer. Les responsables du site internet temporisent. Mais le Mouvement contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie (MRAX) ne l'entend pas de cette oreille. Le Ministère de l'enseignement belge a réagi quant à lui en affirmant que cette publication était une «maladresse». (cbx) Fragen und Antworten rund um die Kommentar-Funktion «Warum dauert es manchmal so lange, bis mein Kommentar sichtbar wird?» Unsere Leser kommentieren fleissig - durchschnittlich gehen Tag für Tag 4000 Meinungen zu allen möglichen Themen ein.

Dans les coulisses du futur fablab d'Orléans Il fait partie des quatorze dossiers retenus en décembre 2013 par la Direction générale de la compétitivité, de l'industrie et des services dans l'appel à projets lancé par le ministère du Redressement productif pour aider au développement des ateliers numériques. Dans les tuyaux depuis 2011, le fablab d'Orléans doit ouvrir ses portes à la rentrée 2014 au sein de l'université, plus précisément dans les locaux de Polytech et de l'IUT. Sa particularité est d'avoir été porté par la technopole d'Orléans, et donc d'être connecté directement au développement économique de la région. Première étape : l'étude de marché Impliquée dès le début de l'histoire par l'intermédiaire de Polytech, son école d'ingénieurs, et par l'IUT d'Orléans, l'université s'est "naturellement" imposée comme lieu d'accueil du nouveau fablab. C'est également un moyen de trouver de futurs collaborateurs parmi les étudiants ingénieurs ou techniciens supérieurs qui fréquenteront le ­fablab. Impliquer les collectivités

Projet de Cité du Corps Humain La Cité du Corps Humain puise ses racines dans la tradition humaniste et médicale de Montpellier pour développer une proposition unique en Europe. Convoquant les approches artistiques, scientifiques et les questions de société elle explorera les connaissances et les interrogations liées au corps pour permettre à chacun d'accéder, à son rythme, à une meilleure connaissance de soi, des autres et des enjeux liés à ce corps commun. Ouverte aux familles, aux enseignants et à leurs classes, aux amateurs d'art et aux férus de sciences aussi bien qu'aux visiteurs du monde entier, la Cité sera accessible à toutes et à tous.

Trafic Aérien en Temps Réel Created in 2009 by Laurent Duval, this website did not have a business vocation, it was just a passion about flying machines. On April 14th 2010 the icelandic volcano Eyjafjöll went into eruption, and cause the cessation of a major part of the air traffic in Europe. Our website was overwhelm with connections and stay offline for half a day before it can progressibely be in service again. Thank to Guillaume Esnault of the company Digicube for his help, and the whole contributor. We decide in June 2010 to create a company named Openskymap, to respond to the users' expectations. In October 2014 we create a new company named ADS-B NETWORK, to respond to the needs of aeronautic's sector profesionnal, software editors, by supplying a service of geo location using a web service. Today this service also supply the site beta.radarvirtuel.com Exemple of the stream's structure : <HexIdent>3944f0</HexIdent> <RegCode> F-GRHQ </RegCode> <DateMsgGenerated>2016-08-16</DateMsgGenerated> <Squawk>7621</Squawk>

Google Mobility Service, Et si nous le faisions sans attendre Comme nous ne pouvons pas prévoir l’avenir et les principales innovations, qui par définition changent les usages, les pratiques et les modes de fonctionnement. Mettons tout en œuvre pour accélérer ces évolutions sans forcément les orienter. Que ferait Google à ma place ? Avant tout orienté utilisateur, simple, rapidement accessible et compréhensible, faisant largement participé les utilisateurs, ouvert à tous les industriels, totalement transparent. Est-ce que les constructeurs, la SNCF, VeoliaTransdev, RATP, Total, Vinci ou AirFrance connaissent vraiment les besoins de leurs clients avant, pendant et après chaque déplacement ? Partons du principe que nous ne connaissons pas les services les plus adaptés aux besoins. Google Mobility permettra à ceux qui mettent en œuvre ces normes et standards de s’engager dans des économies d’échelles sans précédent grâce à une propagation virale de leurs composants. Google Mobility Service est une chance pour tous. Créons le.

Vocabulaire et notions générales Auteur(s) : Sylviane Tabarly, professeure agrégée de géographie, responsable éditoriale de Géoconfluences de 2002 à 2012 - Dgesco et École normale supérieure de LyonMarie-Christine Doceul, professeure de chaire supérieure, responsable éditoriale de Géoconfluences - DGESCO, ENS de LyonJean-Benoît Bouron, agrégé de géographie, responsable éditorial de Géoconfluences - DGESCO, ENS de Lyon. Etudiants du master "Systèmes territoriaux, développement durable et aide à la décision" sous la direction d'Emmanuelle Boulineau, maître de conférence à l'ENS de Lyon, pour l’année 2012-2013 : Constance Berte, Pauline Brunschwig, Paula Dolci, Marie-Caroline Gaymard, Chloé Reiser, Jean-François Perrat

La recherche environnementale doit élaborer les scénarios du futur L'Agence nationale de la recherche s'attache à anticiper les évolutions des écosystèmes en dépassant les études d'impacts. Maurice Héral, responsable du département environnement et ressources biologiques à l'ANR dresse pour Actu-environnement le portrait de la recherche de demain. Maurice HéralResponsable du département environnement et ressources biologiques à l'ANR Actu-environnement.com : Quels sont les défis sociétaux de la recherche environnementale ? Maurice Héral : La recherche environnementale s'attache effectivement à répondre à un ensemble d'enjeux et de défis sociétaux. AE : Comment fixer des priorités dans cet immense champ de recherche ? MH : 2000 scientifiques français et internationaux sont impliqués dans les comités "environnement" de l'ANR. AE : L'ANR a-t-elle les moyens de ses missions ? MH : Pour les recherches en environnement et les ressources biologiques associées, l'ANR a été dotée d'un budget de 693 millions d'euros pour la période 2005 - 2012.

La première ville conçue et réalisée pour expérimenter des systèmes complexes Réalisée au Nouveau Mexique (USA) à Lea County, cette ville aura d'une superficie de 15 miles carré, n'aura aucun habitant mais représente l'équivalent d'une ville de 35000 habitants. Pegasus Global Holdings porte ce projet sur fonds privés. Cette ville réelle permettra d'expérimenter des systèmes complexes: télécommunication, smart grids, véhicules automatiques sans chauffeur, ... CITE (Center for Innovation Testing and Evaluation) offrira de nombreuses infrastructures, un centre de recherche : Ce moyen d'essais présente de nombreux avantages pour les acteurs économiques visant à mettre au point des systèmes urbains complexes. Cette ville à la fois réelle et virtuelle présente un réel intérêt mais l'intégration du vivant dans ces infrastructures reste à préciser.

Des Belges préparent la télé 3D du futur - Technologie - Actualité C'était le 4 novembre 2008. Soirée d'élection présidentielle aux Etats-Unis. Sur le plateau new- yorkais de CNN, deux journalistes apparaissent debout, face à face, pour commenter la victoire de Barack Obama. L'image est truquée : si Wolf Blitzer est bien dans le studio de New York, sa collègue Jessica Yellin se trouve en réalité à Chicago, fief du nouveau président. Holographique ? Cette télévision du futur, trois équipes de scientifiques tentent de l'inventer. Image-objet "Le téléviseur n'affichera plus d'image, explique Gauthier Lafruit, conseiller scientifique à l'Institut louvaniste. Principal avantage ? L'autre atout de l'holographie, c'est que le téléspectateur ne devra plus rester calé en face du téléviseur. Un autre Belge dans la course Joignant la théorie à la pratique, les chercheurs de l'Imec ont conçu un premier prototype. Reste que, tant à Louvain qu'au Japon et aux Etats-Unis, personne ne peut encore dire quand les recherches aboutiront. Laurent Hovine

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