background preloader

Collèges connectés

Collèges connectés
Dans le cadre de la stratégie pour faire entrer l'École dans l'ère du numérique, soixante-douze collèges ont été sélectionnés afin de bénéficier d'un accompagnement pédagogique et d'investissements spécifiques, pour leur permettre d'aller plus loin dans l'intégration du numérique dans les enseignements et la vie scolaire. Ces soixante-douze collèges connectés pilotes seront accélérateurs d'innovation et de changement. Les collèges connectés : pourquoi ? Démontrer les apports concrets du numérique pour les élèves, les enseignants et les famillesIntégrer le numérique dans le quotidien de l’établissement et de la communauté éducativeFavoriser les usages massifs et transversaux du numérique propices à la réussite scolaire Les collèges connectés : c’est quoi ? Une ambition nationale constituée par des usages numériques enrichis Une ambition nationale constituée par des conditions de pérennisation de ces usages La qualification "collège connecté" pour les établissements les plus avancés Rural Urbain

Développer le numérique pédagogique - Collèges connectés Le projet « Collèges connectés » Le projet « Collèges connectés » est le fruit d'une collaboration entre le ministère de l'Education Nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, les académies, et les conseils généraux concernés. Il est né d'une volonté d'accompagner l'évolution des situations d'apprentissage des élèves à l'ère du numérique. Le projet présente trois grands objectifs : démontrer les apports concrets du numérique pour les élèves, les enseignants et les familles ; intégrer le numérique dans le quotidien de l'établissement et de la communauté éducative ; favoriser les usages massifs et transversaux du numérique propices à la réussite scolaire. Il repose sur : Il s'appuie sur l'accompagnement suivant : un suivi et une évaluation tout au long de l'année et dans la durée ; des formations pour l'équipe pédagogique ; une évaluation des plus-values. Les Collèges connectés : qu'est-ce que c'est ? Une ambition nationale constituée par : Des usages numériques enrichis : Rural

La qualité de l’enseignement est-elle réellement améliorée grâce aux TICE ? Néanmoins, chacun est en droit de s’interroger sur leur réelle utilité dans une salle de classe. En quoi l’usage d’un vidéoprojecteur ou d’un TBI apporte-il concrètement une valeur ajoutée à l’élève et au professeur ? Parce qu’aujourd’hui, le savoir et l’apprentissage sont démocratisés. De la démocratisation du savoir découle une nécessaire adaptation de l’enseignement à l’apprenant ; et cette démarche à un double intérêt, à la fois pour l’élève mais également pour le professeur, dans la mesure où elle permet l’absorption des connaissances dans un cas et facilite leur transmission dans l’autre. En effet, dans une société de l’image où près de 60% des apprenants français sont de type visuel et près de 40% auditif(1), il est fondamental de faire évoluer le mode de transmission. Les TICE pour retenir l’attention de son auditoire En France, cette dynamique prend encore plus de valeur dans les zones sensibles. lu : 3383 fois

Programmes : enseignement primaire — Enseigner avec le numérique Une large place est faite aux TICE. Préambule"... L’école primaire doit avoir des exigences élevées qui mettent en œuvre à la fois mémoire et faculté d’invention, raisonnement et imagination, attention et apprentissage de l’autonomie, respect des règles et esprit d’initiative. [...] Les programmes nationaux de l’école primaire définissent pour chaque domaine d’enseignement les connaissances et compétences à atteindre dans le cadre des cycles ; ils indiquent des repères annuels pour organiser la progressivité des apprentissages en français et en mathématiques. Ils laissent cependant libre le choix des méthodes et des démarches, témoignant ainsi de la confiance accordée aux maîtres pour une mise en œuvre adaptée aux élèves. La liberté pédagogique induit une responsabilité son exercice suppose des capacités de réflexion sur les pratiques et leurs effets. - Cycle des apprentissages fondamentaux programme du CP et du CE1Français... Français3. Tableaux

Numérique et éducation : mythe de l’autonomie des apprentissages Share Tweet Email Peut-on concevoir des outils numériques qui vont prendre en compte la manière dont les gens apprennent, se comportent, interagissent et leur donner un “feedback“ qui soit adapté ? Franck Amadieu pose le débat de l’autonomie et définit cette notion de manière plus précise : est-ce que l’autonomie signifie d’être seul face à une tâche d’apprentissage sans avoir besoin de régulation extérieure, par exemple d’un enseignant ? L’autonomie dans les apprentissages n’est pas forcément facilitée par numérique. Franck Amadieu précise que, dans la réalité, les résultats sur cette notion d’autonomie facilitée avec les outils numériques, sont loin d’être très probants. « Lorsqu’on regarde la formation à distance, on s’aperçoit qu’il y a beaucoup d’échecs et beaucoup d’abandons dans des situations d’autonomie avec ces apprentissages numériques », souligne t-il. Acquérir des compétences pour être autonome : une qualité de l’apprenant, pas celle des outils numériques. lu : 6630 fois

L’École est morte, vive l’École numérique !, Le Cercle Le système éducatif français confronté à de nombreux échecs Depuis 1990, le taux d’échec scolaire ne cesse d’augmenter : l’OCDE pointe alors des écarts croissants entre "bons" et "mauvais" élèves. Selon l’étude PISA 2012, publiée le 10 février 2016 par l’OCDE, la France enregistre le plus grand nombre d’élèves "faibles" pour un pays développé, loin derrière des pays infiniment moins riches comme la Pologne ou le Viêt Nam. De 2003 à 2012, le taux d’élèves dits "faibles" a augmenté de 1,4 % alors que celui de l’OCDE a régressé de -1,7 %. Conséquence : chaque année, ce sont plus de 100 000 jeunes qui quittent le système scolaire sans avoir acquis les compétences de base, aujourd’hui plus que jamais nécessaires pour évoluer dans une société caractérisée par un marché du travail atrophié. Cependant, l’écart qui se creuse dans le système éducatif ne peut justifier à lui seul cet alarmant constat. La pédagogie numérique, un second souffle pour l’enseignement ? Et pour cause !

L'enseignement numérique : une nécessité urgente pour la France ! Dans un article récent [1], la fracture numérique entre les élites et une partie des français était mise en exergue. Evidemment, ces questions peuvent paraître peu importantes aux vues des défis qui attendent notre système éducatif de plus en plus inégalitaire. C'est justement le problème : alors que les débats sur l'éducation en France tournent encore autour de questions idéologique, le manque de consensus autour du modèle que nous souhaitons pour notre école empêche de se concentrer sur des questions pressantes pour nos élèves telles que la place de l'Anglais ou les modalités de l'enseignement des technologies de l'information et de la communication. L'importance des TIC à l'école C'est cependant une erreur, l'Anglais comme les TICE font désormais partie intégrante du bagage commun que tout élève se doit de maitriser à la fin de la scolarité obligatoire. Mais notre pays doit avoir des citoyens capables de communiquer efficacement d'un point de vue technique et langagier. La flexibilité

Le numérique dès la maternelle, une solution contre l'échec scolaire? On pourrait croire qu’il s’agit du énième rapport sur l’échec scolaire, un de ces tristes refrains qu’on entonne pour se plaindre que tout va mal à l’école. Sauf que cette fois-ci c’est un rapport sur la réussite scolaire. Simple changement de mot? Pas tout-à fait, l’institut Montaigne, un think tank de tendance libérale présidé par Henri de Castries, a en effet voulu examiner les initiatives en France et ailleurs qui avaient un impact positif sur les apprentissages et publie ce lundi un rapport "Education et numérique" qui propose des solutions pour réussir dès l’école primaire. Sans surprise, tout part d’un constat à la fois désespérant et banal: 200.000 jeunes français sortent du système éducatif sans maîtriser les savoirs fondamentaux. Le coût d'un décrochage: 235.000 euros "Il faut 35 heures pour maîtriser les apprentissages de la lecture, s’insurge Henri de Castries, PDG d’Axa et président de l’institut Montaigne, le système français n’en donne qu’une vingtaine.

Fabrication d'un cours histoire-géographie avec une tablette tactile Un cheminement classique La préparation d’un cours avec une tablette tactile ne diffère pas dans les grandes lignes d’un cours classique. Le respect du programme, les objectifs en terme de capacités, de notions, la réflexion sur le discours de l’enseignant, les activités des élèves, la gestion du temps… restent des questions transversales. Certains points vont cependant être traités différemment, tant dans la présentation que dans la mise en œuvre. Un statut du document différent Le document occupe une place importante en histoire-géographie. Son choix va bien évidemment différer selon le support de présentation. Le travail sur des documents numériques induit d’autres réflexion sur les droits liés à l’utilisation du document, le mode de transmission du document à l’élève (on ne travaille pas de la même manière avec un document vidéo projeté qu’avec un document sur la tablette de l’élève). lu : 4557 fois

Le numérique va-t-il bouleverser les pratiques pédagogiques La vague du numérique se propage dans toute la société et submerge peu à peu les établissements d’enseignement. De l’école primaire à l’université, des programmes d’équipements et d’expérimentations sont financés par différents acteurs locaux ou nationaux. Beaucoup de hauts décideurs et d’élus (ministres, présidents de régions et de conseils généraux, maires…) investissent le numérique comme un terrain d’avenir. Les annonces se succèdent tous azimuts sans que les initiatives paraissent nécessairement coordonnées. Sur le terrain, le numérique immerge de plus en plus enseignants, élèves et parents, tous engagés dans des processus de consommation de masse : les échanges en ligne, les ressources en ligne et la vente en ligne se généralisent et se banalisent grâce au haut débit domestique, aux bornes wifi et à la 3G. Sous la poussée irrésistible des évolutions en cours, peut-on imaginer que les pratiques pédagogiques ne changent pas ?

Projet de connexion des collèges entre eux pour faire évoluer les situations d'apprentissages des élèves par le numérique. by davidleduc Nov 3

Related: