La vie du futur chef du MI 6 étalée sur Facebook L'épouse de Sir John Sawers a diffusé toutes sortes de détails sur leur famille, leurs fréquentations et leurs vacances. De quoi sérieusement compromettre la sécurité du futur patron des services de renseignements britanniques. Ça s'appelle faire voler en éclat sa couverture. L'affaire a en plus de quoi embarrasser l'agence popularisée par James Bond, à plusieurs égards. D'une part, la fuite n'est pas l'œuvre d'espions malveillants, mais de sa propre épouse, Lady Shelley Sawers qui n'a pas protégé ses données privées. D'autre part, les documents et informations mis en ligne sur le site de social networking mettent directement en danger Sir John Sawers, sa famille et ses amis, parmi lesquels plusieurs personnalités britanniques. Nom de code : «C» N'importe quelle personne malintentionnée pouvait aussi connaître les endroits où se trouvaient les trois enfants du couple ainsi que leurs grands-parents. L'affaire n'a pas tardé à provoquer l'ire de plusieurs responsables politiques.
Réseaux sociaux : Tu ne dénigreras point ton employeur ! Dans un arrêt en date du 13 mai 2014, la Cour d’appel de Rennes a condamné une ancienne salariée, qui plus de deux ans après avoir été licenciée – et alors qu’un litige sur des droits d’auteur l’opposait encore à son employeur – avait publié, sur le réseau social Twitter, des propos injurieux à l’encontre de celui-ci (CA Rennes 13 mai 2014, n° 12-07372). La Cour a considéré que « le préjudice en résultant [pour l’entreprise] est une atteinte à l’image de l’entreprise » et, sur le fondement de l’article 1382 du code civil, a condamné l’ex-salariée pour ces faits « pouvant être qualifiés de dénigrement » au paiement de cinq mille (5.000) euros de dommages et intérêts ainsi qu’à la somme de cinq mille (5.000) euros sur le fondement de l’article 700 du Code de procédure civile. Le contentieux en matière de réseaux sociaux se développe de plus en plus. Par Stéphanie Heulin - Counsel
Licenciement « à cause de Facebook » : les enseignements à tirer. | NumeriCube facebook_1 Ce matin, le Tribunal des Prud’hommes de Boulogne valide le licenciement de trois personnes d’une société de service. Pour aller au delà de l’assertion « Facebook est dangereux » (voici un exemple de formulation), voici un article qui s’adresse aux salariés et DRH souhaitant comprendre le problème et surtout s’en protéger ! Pourquoi ces salariés ont-ils été licenciés ? Les salariés ont été licenciés pour avoir tenu des propos dénigrant leur employeur (je reste vague sur le sujet, les propos n’ayant été ni insultants ni injurieux) sur Facebook. Ce sont là les faits. Il est donc très probable que ces propos sur Facebook ne furent qu’un prétexte au licenciement et qu’ils ne sont qu’une cause parmi d’autres. Les propos tenus sur Facebook sont-ils publics ? Il n’existe aucun précédent, aucune jurisprudence en la matière (cette première réponse des prud’hommes ne fera sans doute pas jurisprudence en l’état). NumeriCube vous recommande donc de rendre votre compte strictement privé !
Rupture du contrat de travail : infos - ComprendreChoisir Écrit par les experts ComprendreChoisir | La rupture du contrat de travail résulte toujours de l'initiative de l'employeur ou salarié, sauf en cas de résiliation judiciaire. La rupture du contrat de travail peut être à l'initiative du salarié ou de l'employeur. Il existe différents types de rupture : Un avocat spécialisé de votre région vous contacte et vous apporte son aide. Trouver un avocat Rupture contrat travail : volonté d'une ou des deux parties Dans la plupart des cas, la relation contractuelle de travail s'achève comme elle a commencé : par une manifestation de la volonté mais visant, cette fois, à la faire cesser. Cette volonté peut être celle : de l'employeur ; ou du salarié. Modalités rupture contrat de travail : selon le type de contrat Les modalités de rupture du contrat de travail ne sont pas les mêmes selon le type de contrat de travail : Tableau des modalités de rupture du contrat de travail Voici quelles sont les modalités selon le type de contrat : Par exemples :
Bad buzz : la FNAC frôle le carton rouge A ceux qui douteraient encore de la puissance virale des réseaux sociaux, il est vivement conseillé de lire la mésaventure vécue par une jeune directrice artistique indépendante avec un vendeur du rayon informatique de la FNAC des Ternes à Paris. Le « consom’acteur » n’est plus un mythe et les entreprises vont devoir définitivement intégrer cette notion au risque de multiplier les embardées numériques. Il s’en est fallu de peu le 28 mai pour qu’une mauvaise expérience en magasin ne vire au bad buzz implacable sur Internet pour la FNAC. Sans le sang-froid des community managers de la page Facebook de l’enseigne, l’entreprise aurait probablement pu se retrouver dans une posture encore plus délicate face au message rageur abondamment « liké » de Claire Maoui, une cliente dédaigneusement traitée par un vendeur en informatique. Réel et digital ne font qu’un Tout commence avec un ordinateur qui rend l’âme au moment le moins opportun. Pas de chance, le nouvel objet est endommagé.
L’absence de preuve de l’originalité d’un logiciel fait échouer l’action en contrefaçon Citation : Cabinet Caprioli & Associés, L’absence de preuve de l’originalité d’un logiciel fait échouer l’action en contrefaçon, www.caprioli-avocats.com Date de mise en ligne : 21 avril 2015 Depuis trente ans, les logiciels sont protégés par le droit d’auteur dès lors qu’ils présentent le caractère d’originalité, condition nécessaire et suffisante à cette protection. Ainsi, l’auteur d’un logiciel ou tout au moins le titulaire des droits, disposant d’une exclusivité sur l’exploitation du logiciel pourra se défendre de tout usage par un tiers par l’action en contrefaçon (art. En l’espèce, le titulaire des droits sur un logiciel déposé auprès de LOGITAS en 2011 et reprochant à un site de téléchargement légal de musique sur l’internet d’exploiter une copie servile dudit logiciel, fait dresser des procès verbaux en 2011 et diligente des opérations en saisie contrefaçon (dûment autorisées par le Juge) dans les sociétés liées au site en 2012.
Plug-ins sociaux de Facebook: des recommandations pour les internautes et propriétaires de sites Internet | Commission vie privée Les propriétaires ou exploitants de sites Internet qui utilisent les modules sociaux proposés par Facebook (comme les boutons "J'aime" ou "Partager") ont une responsabilité concernant l'utilisation de cookies au moyen de ces modules sociaux sur leur site Internet. La Commission vie privée renvoie à cet égard à sa recommandation d'initiative concernant l'utilisation des cookies. Le propriétaire du site Internet doit informer correctement le visiteur de son site Internet et doit obtenir son consentement spécifique pour les cookies et autres métafichiers dont il ne maîtrise probablement pas la réutilisation. À ce sujet, la Commission vie privée renvoie notamment aux réseaux sociaux et recommande que les boutons de réseaux sociaux ne soient activés que lorsque le consentement spécifique de l'utilisateur a été obtenu. La Commission vie privée recommande dès lors :
Confidentialité Facebook : les 20 réglages à connaître Avant de partager votre vie entière avec l’illustre inconnu situé à l’autre bout de la planète, avant de donner vos données personnelles à une société privée, voici les 20 questions que vous devez vous poser. Parce que vous êtes novice en la matière, le langage employé ici est volontairement simpliste. Que l’on soit débutant ou utilisateur confirmé, la maîtrise de la visibilité de son profil et de ses actions reste toujours difficile. Guide mis à jour avec la version 2017 de Facebook. Mise à jour : selon une étude très intéressante relayée par le site The Information en avril 2016, les utilisateurs partagent de moins en moins de contenus personnels. 1. Si vous ne modifier aucun réglage, n’importe qui pourra trouver votre compte Facebook en tapant simplement votre nom dans Google (ou un autre moteur de recherche). Modifier ensuite le paramètre situé tout en bas de la section dédiée pour que le Non apparaisse. Votre compte Facebook ne sera plus trouvable sur Google ! 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
Oui, les recruteurs vérifient bien votre profil Facebook - Entreprises Au vu des résultats de cette étude*, vous soignerez d'autant plus votre profil Facebook et y apposerez de nombreux paramètres de confidentialité afin de ne pas laisser un potentiel employeur traîner sur vos dernières photos de soirées arrosées ou sur des blagues un peu limites affichées sur votre mur. Ces chercheurs de l'université Paris-Sud ont fait un test : entre mars 2012 et mars 2013, ils ont répondu à 837 offres d'emploi, avec deux CV de candidats comptables fictifs que rien ne distinguait: mêmes diplômes et expériences, sexe, adresse et âge, des prénoms et noms "à consonance française", sauf que quand on y regarde de plus près, l'un maitrise l'anglais et Italien, l'autre, l'anglais et...l'arabe. Résultat : le candidat dont le profil pouvait laisser supposer une origine étrangère sur son profil a enregistré un taux de réponses positives de 13,4%, contre 21,3% pour son homologue français, selon les informations publiées par nos confrères de L'Express. * Do recruiters "like" it?
Trucs et astuces - Partage responsable - Conseils pour utiliser Facebook de façon responsable Prends connaissance des informations concernant la confidentialité de tes données et leurs conditions d'utilisation. Tu les trouveras au bas de ta page Facebook Définis avec soin les parmamètres de confidentialité de ton profil, de ton compte,de tes applications N'installe pas une trop grande quantité d'applications.Garde un oeil sur ta liste d'amis et n'accepte pas n'importe qui dans tes contacts.Soit attentif à ce que tu divulgues comme données personnelles, à ce que tu publies, à ce que tu partages.Choisis avec attention avec qui tu vas partager les contenus de ton Facebook.Surveille ce qui est publié sur toi.N'adhère pas à n'importe quel groupe, vérifie d'abord ses objectifs et renseigne-toi sur ses membres.