Fiche Dysphasie Qu'est-ce que la dysphasie? La dysphasie est un trouble spécifique du développement de la parole et du langage entrainant l’échec d’une acquisition normale du langage réceptif et/ou expressif et ne résultant pas d’une déficience intellectuelle, ni d’un déficit sensoriel, ni d’un trouble autistique de la communication et de la relation. La sévérité, attestée par des échelles étalonnées, et la durabilité sur des années, bien après l’âge de six ans, en dépit de stimulations adéquates et d’une prise en charge orthophonique adaptée, différencient classiquement la dysphasie du retard de langage «simple», plus fréquent. La dysphasie de développement se différencie des troubles du langage acquis à l’occasion d’un événement aigu, comme un traumatisme crânien, ou une autre atteinte cérébrale chez un enfant dont le langage oral était préalablement normalement développé pour son âge. Pourquoi ? Quels symptômes et quelles conséquences ? L’enfant dysphasique parle tard et mal. Quelques chiffres Traitement
DYSPHASIE - Idées ASH La dysphasie de développement est un trouble de l’élaboration du langage oral qui touche le langage expressif (production du langage) et/ou le langage réceptif (compréhension du langage). La dysphasie est un désordre langagier durable en lien avec un dysfonctionnement des structures cérébrales spécifiquement mises en jeu lors du traitement de l’information langagière. Différentes formes de dysphasie : L’enfant ne développe pas son langage de façon distincte. Difficulté de compréhension verbale, essentiellement en l’absence de contexte ou de support concret. Les deux versants du langage oral sont touchés (expressif et réceptif). Caractéristiques de l’enfant dysphasique : Son retard de parole ou de langage est durable et difficilement rééducable. Conséquences pour les apprentissages : Les troubles dysphasiques ont un retentissement constant sur les apprentissages, puisque le langage est l’outil privilégié de la transmission du savoir à l’école. Il peut exister des troubles associés :
l'élève dyslexique au primaire Ce document a été rédigé par un comité pluridisciplinaire comprenant des parents, des enseignants, des psychologues et des orthophonistes dans le cadre d'un groupe de réflexions sur ce thème à Deuil-La Barre. La rubrique "Que faire, comment les aider" a été élaborée avec le concours des enseignants qui ont généreusement détaillé nombre de leurs "Trucs, méthodes et stratégies". Le dyslexique est un élève qui va devoir, sans arrêt, compenser, parfois à son insu, parfois en recherchant activement des moyens, afin d'avoir le même rendement que les autres élèves. Il est très important de savoir que l'erreur est presque toujours incomprise par l'enfant car jugée "bête", "illogique". N'oublions pas que la plupart des dyslexiques subissent leur trouble, sans le comprendre, et se rejettent, acceptant le jugement de "nul" porté par l'extérieur. Voici quelques exemples de difficultés rencontrées dans les apprentissages. Accepter qu'il souligne, surligne, encadre ou annote les textes sur son cahier.
Guide de survie du prof face aux élèves dys E.Nuyts - Memoire, Concentration, Dyslexie, Dyscalculie Outils | Repérage Orthographique Collectif Cet outil permet aux enseignants de CM2, 6ème et 5ème de repérer les élèves en grandes difficultés de lecture/orthographe. ROC - Repérage Orthographique Collectif par_mail Afin de rendre aisé ce repérage et peu coûteux en temps nous avons choisi une modalité de repérage écrite collective (en classe entière) qui permet à l’enseignant en moins d’une demi-heure d’identifier les élèves de sa classe en grande difficulté avec la langue écrite (lecture, orthographe). Cet outil à destination des enseignants a été élaboré par le laboratoire Cogni-Sciences de l’IUFM de Grenoble, les académies de Grenoble, Montpellier et Rennes, le LPE UMR CNRS de l’UPMF de Grenoble, Département de Psychologie de l’Université Rennes 2, le Centre de référence des troubles d’apprentissage du CHU de Grenoble et de Montpellier. les lecteurs lents (correspondant aux 20 % les plus lents dans l’échantillon) les lecteurs très lents (correspondant aux 10 % les plus lents dans l’échantillon).
La tétine entrave le développement émotionnel Pour en savoir plus P. Niedenthal et al., in Basic and Applied Social Psychology, vol. 34, p. 387, 2012 L'auteur Sébastien Bohler est journaliste à Cerveau & Psycho Pouce ou tétine ? Les chercheurs ont testé l’hypothèse selon laquelle la présence d’une tétine lors des interactions d’un jeune enfant avec ses parents ou ses éducateurs réduit la mobilité des muscles du visage impliqués dans le mimétisme facial (sourire quand l’autre sourit, exprimer l’inquiétude quand il a l’air inquiet). Chez de jeunes adultes âgés de 19 ans, les chercheurs ont ensuite constaté que l’usage précoce de la tétine était lié à une plus faible intelligence émotionnelle : les jeunes gens ont plus de difficultés à identifier les émotions ressenties par leurs interlocuteurs, de même que leurs émotions propres, et à réagir de façon appropriée. L’Organisation mondiale de la santé recommande de limiter l’usage des tétines.
Dyspraxie, Dyslexie, Dysgraphie, Dyscalculie : 4 cartes trouvées sur le net Nous vous livrons ces 4 cartes telles que nous les avons trouvées . Voici quelques-unes des remarques que m’inspirent ces cartes ( elles ne sont que personnelles bien sûr !) : Une synthèse de symptômes dans ces 4 cartes, certains se recoupent , on peut y reconnaître nos petits « Dys » parfois dans plusieurs cartes, comme un « saupoudrage » qui prouve encore la complexité de leur fonctionnement mais aussi des remarques notées qui ne sont pas toujours vérifiées chez un enfant en particulier ( et parfois c’est même le contraire que l’on observe !). Et vous, qu’en pensez-vous ? J'aime : J'aime chargement…